Construstions, Vaisseaux, Artefacts, sur la lune

par damino - 2724 vues - 0 com.
Alien, ovni, ufologie
Depuis des temps immémoriaux ressurgit régulièrement la question de savoir si nous sommes les seules créatures vivantes de notre univers. Et alors que de plus en plus d’habitants de cette planète, à commencer par de nombreux scientifiques, sont désormais convaincus du contraire, l’hebdomadaire russe « Vecherny » de Volgograd (anciennement Stalingrad), puis la Pravda de Moscou ont révélé le 5 octobre dernier qu’une présence d’êtres intelligents aurait été détectée depuis plusieurs années sur notre satellite naturel : la Lune. Mais, selon la Pravda, nos dirigeants auraient jugé bon de classifier cette « découverte » top secret après avoir réalisé que leur pouvoir et leurs privilèges ne résisteraient pas longtemps à la divulgation d’une telle information.

La NASA détient une impressionnante série de photos à ce sujet. La plupart ont été classées top-secret et ne sont pas diffusées, mais même les documents dont nous disposons prouvent que certaines régions de la Lune ne ressemblent pas du tout à ces paysages froids, désolés et inhospitaliers que l’on a cherché à nous montrer.

Il est maintenant établi qu’il y a des constructions sur la Lune ; il y a des ponts, des tours, des bâtiments, et des dômes gigantesques. Richard Hoagland, spécialiste en recherches spatiales, estime que la NASA s’efforce depuis des années de retoucher les documents photo avant de les publier. Certains chercheurs, dont Hoagland fait partie, sont persuadés qu’une race d’extraterrestres avait jadis utilisé la Lune comme une base avant de venir se livrer à différentes expérimentations sur la Terre et sur les humains. Cette interprétation semble confirmée par les mythes et légendes de nombreuses anciennes civilisations de la Terre. Consultant de l’Agence Spatiale américaine, Richard Hoagland soutient depuis des années la thèse établissant une corrélation entre les pyramides égyptiennes, les monuments mégalithiques anglais autour desquels se multiplient les formations de crop circles, et les édifices prétendus artificiels de la Lune et de la planète Mars.

 Le projet « Mission indépendante sur Mars », à la base des découvertes sur le site de Cydonia, fut imaginé par lui et soutenu par le SRI entre 1983 et 1984. Le Stanford Research Institute (SRI) est lui-même un institut de recherche californien lié aux services de renseignements américains et financé à 75 % par le Pentagone.

Cet institut a mené de nombreuses recherches sur le site de Gizeh depuis 1973, cherchant des chambres secrètes dans les monuments égyptiens. Il est probable qu’une importante salle d’archives ait été récemment découverte sous la patte droite du Sphinx, et que cette découverte, aussi bien que le secret qui l’entoure soient imputables au SRI et à la mainmise de la CIA sur cet organisme.

Les ruines des cités lunaires s’étendraient sur des kilomètres. Elles renfermeraient des dômes gigantesques édifiés sur des fondations massives et reliés par de nombreux tunnels, ce qui oblige les scientifiques à reconsidérer leurs anciennes hypothèses à propos de la formation de la Lune. D’ailleurs, ils n’arrivent toujours pas à comprendre comment est né notre satellite naturel ni de quelle manière ont commencé les révolutions qu’il effectue autour de la Terre.

Les amas de ruines découverts sur la Lune ne peuvent en aucun cas être assimilés à des formations géologiques naturelles, car leur disposition et leur structure géométrique sont bien trop complexes pour l’envisager. On a découvert dans la partie supérieure du lieu-dit « Rima Hadley », non loin du site d’alunissage d’Apollo XV, une construction entourée d’une haute muraille en forme de D.

À ce jour, des constructions artificielles du même genre ont été découvertes dans 44 sites différents. Le Centre de Vols Spatiaux Goddard et le Planetary Institute de Houston font actuellement des recherches sur ce sujet. On a ainsi découvert des excavations en forme de terrasses à proximité du cratère Tiho. Ces terrasses sont elles-mêmes disposées en forme d’hexaèdres concentriques convergeant vers l’entrée d’un tunnel, de telle sorte que ce site ressemble davantage à une exploitation minière à ciel ouvert qu’à une formation géologique naturelle.
Il y a également un dôme tout à fait extraordinaire illuminé de l’intérieur par une étrange lueur blanc-bleue. Un autre objet très mystérieux a été découvert au nord de ce site. Il s’agit d’un disque d’environ 50 mètres de diamètre, qui repose sur un socle en forme de losange entouré de murs. Sur l’une des photos, on aperçoit, non loin du losange, une embrasure sombre et ronde qui ressemble à l’entrée d’une galerie souterraine. Et entre ce site et le cratère Copernic, il y a une sorte d’esplanade rectangulaire de 400 mètres de long sur 200 mètres de large.

Quand Richard Hoagland demanda pour la seconde fois à consulter les photos originales du « Château », on lui soutint qu’elles n’existaient pas. Leurs numéros d’identification avaient même disparu de la liste établie initialement par l’équipage d’Apollo X. On ne retrouva qu’une série de photos floues qui ne permettaient pas de se faire une idée de la structure interne de l’objet.

En 1971, quand le module lunaire d’Apollo XIV se posa sur la surface de la Lune, les membres de l’équipage réalisèrent que leur alunissage était observé à distance depuis un objet volant semi-transparent de forme pyramidale. Il était immobilisé à seulement quelques mètres au-dessus du sol et irisait les couleurs de l’arc-en-ciel sur le ciel noir. Après son retour sur la Terre, lorsqu’un journaliste demanda à l’astronaute Edgar D. Mitchell comment il avait vécu cette expérience, il répondit : « J’en ai encore mal au cou, à force de me retourner dans tous les sens, tellement nous avions l’impression de n’être pas seuls et d’être sans cesse observés. Mais nous n’avions pas d’autre solution que de prier. »

Johnston, qui travaillait au Centre Spatial de Houston et avait étudié les photos et vidéos réalisées au cours du programme Apollo, eut un jour une conversation avec Richard Hoagland à propos des objets trouvés sur la Lune. Il lui déclara que la direction de la NASA était très ennuyée, du fait du nombre considérable d’objets mystérieux de provenance inconnue qui avaient été répertoriés. Elle avait même décidé, selon lui pour cette raison, d’interrompre tous les futurs programmes de vols habités à destination de la Lune.

Les chercheurs de la NASA s’intéressent particulièrement aux structures qui font penser à d’antiques cités disparues. Les photos font ressortir une configuration géométrique étonnamment régulière basée sur des constructions carrées ou rectangulaires. Elles ressemblent à l’aspect des villes de la Terre, lorsqu’elles sont observées de l’espace depuis une altitude de 5 ou 8 kilomètres.

Un chargé d’études de la NASA a fait ce commentaire à propos des photos : « Nos gars ont pu voir des ruines de villes lunaires, des pyramides transparentes, des dômes, et bien d’autres choses encore qui sont conservées dans nos archives secrètes. Ils ont vécu un peu ce qu’avait vécu Robinson Crusoe, le jour où il tomba sur les empreintes des pieds de Vendredi, après s’être longtemps cru tout seul sur son île. »

Les géologues et les chercheurs qui ont étudié les images de ces cités et objets lunaires semblent unanimes : ces objets et constructions ne peuvent pas être et ne sont pas des formations naturelles, particulièrement les dômes et les pyramides. Nous devons admettre qu’ils sont l’œuvre de créatures intelligentes appartenant à une civilisation établie à proximité de la Terre, dont nous ignorions jusqu’à présent l’existence.

Nous n’étions, semble-t-il pas prêts à l’accepter en 1969.
Mais le sommes-nous davantage aujourd’hui ?

Source : http://homme-et-espace.over-blog.com/article-15982042.html

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