Corrado Malanga – Les implants oculaires
Cette photographie représente un objet en matériel céramique que le docteur Derrel Sims, il y a quelques années, a trouvé dans l’œil droit d’un de ses patients.
Les sites Internet plus représentatifs où nous pouvons trouver des informations concernant les « implants extraterrestres » sont: alienhunter.org et
alienscalpel.com
Dans ces sites tant Sims que Leir, deux chercheurs américains qui ont donné une grande impulsion à la recherche sur les implants extraterrestres, exposent une partie de leurs idées, étayées aussi par des photos et des témoignages des présumés enlevés.
Il faut déclarer tout d’abord que le monde des implants extraterrestres est en vérité très complexe et il faut constater aussi que, en ces dernières années, on n’a pu y comprendre grand chose. Au delà de quelques photos et témoignages, bien que importants, il nous manque aujourd’hui quelques confirmations expérimentales sur la composition chimique de ces micro-implants et des détails sur leur structure interne. (pour de indications plus précises sur l’analyse chimique-organique de ces implants, qui ont été révélés postérieurement à l’ article présent, je vous conseille: The Aliens and The Scalpel du Dr. Leir – NdT)
Pour ce qui concerne le premier point, quand je fis connaissance de Sims, il y a quelques années à S. Marino, j’insistais sur l’importance d’une analyse chimique spécifique qu’on aurait du faire absolument sur ces objets. Probablement je dû être assez convaincant:, Sims retourna aux Etats-Unis et fit accomplir cette analyse par au moins cinq instituts universitaires locaux.
Il s’agissait de mesurer le pourcentage isotopique des divers composants des micro-implants, pour en vérifier la compatibilité avec les matériaux terrestres. Il est connu effectivement que le pourcentage isotopique (les isotopes sont des atomes qui possèdent le même numéro atomique et se différencient pour le nombre de neutrons présents dans leur noyau) n’est pas le même partout dans l’univers et, si quelque chose vient « de dehors » (par exemple un météorite – nda), il possède un pourcentage isotopique de ses éléments différent de ceux qui sont présents dans les mêmes éléments terrestres.
L’analyse est prise en charge par un instrument qu’on appelle Spectrographe de Masse a Structure Fine, qui peut « peser » chaque partie d’une molécule ou d’un composé complexe et vérifier le nombre exact de neutrons dans le noyau de chaque élément qui constitue le « produit manufacturé » que nous devons examiner.
Sims a obtenu les fonds nécessaires grâce à des « particuliers très riches et intéressés au problème » et est parvenu, parfois, à obtenir que ces analyses soient remplies.
Parmi ces laboratoires nous distinguons, entre autre: Labs of Los Alamos, New Mexique Tech, University of California et University of Toronto.
Vous pouvez prendre vision d’un extrait de ces analyses à cette adresse Internet.
Eh bien, les pourcentage isotopiques de certains des éléments qui constituent quelques implants résultaient différents de ceux terrestre!
Ceci représente pour moi la preuve inattaquable que les implants trouvés par Sims sont d’origine extraterrestre et signifie, entre autres, que nous partons d’un point ferme et qu’il est impossible de revenir en arrière.
Cela ne veut pas dire, cependant, que les micro-implants d’origine terrestre n’existent pas, comme semblent démontrer les recherches que n’importe qui peut faire auprès des Bureaux des Brevets des différents pays, mais surtout auprès de celui américain.
Pour ceux qui désirent accomplir une recherche personnelle je conseille de jeter un coup d’œil ici.
Vous allez en découvrir de belles.
En Italie, l’adresse Internet plus intéressante du point de vue des micro-implants n’est pas, bien entendu, gérée par des ufologues:
Et j’ajoute que ça ne pourrait pas être autrement.
Bien que le Dr Maurizio Fossarello, Spécialiste en Ophtalmologie répond à une de ses patientes sur ce site de la façon suivante:
La greffe cellulaire et les micro-implants oculaires sont à l’heure actuelle, et le seront encore pour pas mal de temps, une frontière en phase d’exploration…
D’autres experts ne sont pas du même avis. Il suffit de lire par exemple dans le site violence.de les travaux qui démontreraient comme le Dr Robert G. Heath, de la Tulane University, a implanté 125 électrodes dans le cerveau d’une personne, parvenant à en altérer la mémoire et les activités sexuelles, et en lui provoquant des hallucinations.
A mon avis les implants oculaires occupent une importance particulière mais personne ou presque n’ose en parler: il s’agirait de puces électroniques implantées, avec fonctions différentes, en certains endroits du système visuel humain.
Derrel Sims a été le premier a en dénicher un dans l’œil droit d’un de ses patient, mais depuis nous n’avons plus eu de nouvelles sur cet objet mystérieux.
J’ai essayé de mettre en corrélation la présence d’un tel objet avec certaines cicatrices qui, parfois, se trouvaient sous la paupière inférieure de l’œil droit des enlevés, et aussi avec la description, donné sous hypnose, de l’opération chirurgicale subie justement par cet œil. Mais procédons avec ordre.
La cicatrice dont je parle ressemble à une succession de marques qui se trouvent sous la paupière inférieure, comme une ligne interrompue, comme s’il s’agissait d’une série de coupures, courtes et longues, disposées presque en ligne droite.
Mais nous avons aussi le récit d’une étrange opération chirurgicale qui a le but d’introduire un électrode mince dans l’œil droit de l’enlevé. L’électrode est relié à un appareil suspendu au plafond de la pièce où l’opération est pratiquée et, généralement, la scène se déroule en milieu reptiloïde.
Celui qui opère est toujours un être petit et gris, ou bien noir avec des reflets bleus sur la peau luisante: les reflets sont dus à la lumière bleu intense présente dans la pièce.
Pendant l’hypnose l’abducté, en évident état de souffrance et avec une réaction émotive plutôt forte due à la scène revécue, commence à pleurer de l’œil droit.
À un premier examen de l’œil cité aucun traumatisme provoqué par l’opération, pourtant plutôt invasive, apparaît mais nous ne pouvons pas exclure qu’une future analyse plus approfondie, faite par un oculiste expérimenté, soit en mesure de relever la présence de micro-cicatrices sur la surface externe de l’œil.
Je me suis posé les questions suivantes:
- 1. Nous possédons les connaissances techniques, en ce qui concerne la chirurgie terrestre, pour placer et faire fonctionner une puce dans l’œil, ou dans le système visuel de l’homme
- 2. Si c’est le cas, il s’agit de la technique utilisée par les militaires qui travaillent au projet MKUltra (Mind Control)?
- 3. A quoi sert un implant oculaire?
Ces questions ont trouvé une série de réponses possibles et intéressantes.
L’image que vous voyez reproduite ci-dessus est un « trasponder » parmi les plus volumineux (basse technologie, employé aussi par exemple, comme protection anti-vol pour des objets de valeur commerciale), capable de transmettre des signaux numériques à une antenne réceptrice, mais en mesure aussi de recevoir des signaux externes. À partir de ces derniers est produite l’alimentation électrique nécessaire à fin de maintenir en état de fonctionnement la puce interne, qui, de cette manière, n’a pas besoin de batteries. Nous avons aussi des « trasponder » plus petits qui fonctionnent à l’aide du flux mécanique du sang, ou bien capable de prendre l’énergie de chaleur transportée par le sang même.
Mais voyons comment s’exprime Rauni-Leena Luukanen-Kilde, MD, Former Chief du Medical Officer finlandais, dans un de ses articles qui concerne certaines puces étudiées et appliquées dans le projet MKUltra:
(source
Quand une puce de 5 micromètres (le diamètre d’un cheveu est de 50 micromètres) est greffée sur le nerf optique de l’œil, elle reprogramme les impulsions nerveuses de la partie du cerveau qui est députée aux expériences, les odeurs, la vue et la voix de la personne greffée. Une fois transférés et stockés dans un ordinateur, ces impulsions nerveuses peuvent être modifiées et après, encore au moyen de la puce, être « reexperienced » (comme disent les anglo-saxons, c’est-à-dire réintroduits dans la mémoire). Cela signifie qu’en utilisant une de ces puces, appelée RMS, un informaticien peut envoyer des messages bio-électriques (codifiés comme simples signaux binaires) au système nerveux, reprogrammant le comportement de la cible (le cobaye greffé – nda). Avec le RMS, une personne saine peut être induite à avoir des hallucinations et à entendre des voix inexistantes.
Le quotidien La Repubblica du 2 Décembre 2002 reportait un article terrifiant qui soulignait l’évènement où deux scientifiques avaient présenté un projet pour graver sur CD toutes les expériences du cerveau humain. Il suffit de quelques CD pour stocker toutes les expériences d’une vie humaine.
Voilà l’exposition de Riccardo Staglianò, l’auteur de l’article:
ROME – Le but final, avec une attitude de surhomme, est d’abolir tout oubli. Car l’homme, qui cherche depuis toujours des expédients pour mieux se souvenir, a aussi besoin vital d’oublier.
L’ordinateur n’a pas de problème en ce sens et se souvient de tout tant que vous n’appuyez pas sur le bouton « efface ». Une solution qui vu l’incroyable capacité des mémoires numériques pourrait se considérer comme inutile. Pourquoi devoir se priver d’une donnée qui pourrait peut-être nous servir un jour, du moment que le fait de la conserver ne nous coute rien? Voici en quelques mots l’idée ambitieuse, et pour certaines personnes inquiétante, du MyLifeBits Project: sauvegarder chaque document, chaque conversation, chaque photo et n’importe quel autre lambeau de notre vie privée dans une énorme mémoire numérique online… Gordon Bell et Jim Gemmell, ingénieurs du laboratoire de recherche de Microsoft à San Francisco et cobayes de l’expérience, dont les premiers résultats seront présentés au congrès international de la Association for Computing Machinery qui se tiendra à Juan Les Pins, en France, à partir de demain 6 Décembre. Pour cette date Bell aura recueilli dans cette géante base de données (qui ensuite devrait être mise à disposition de tout le monde) son propre journal intime numérisé. Plus de 10 Gigabyte d’articles écrits, livres lus, CD écoutés, films vus et ainsi de suite, le tout réduit en bit au moyen de sauvegardes en format texte, scannérisations et gravures de tout genre. « Imaginez de pouvoir faire une recherche du genre Google sur votre vie entière », exulte le savant
Toute cette histoire ne pouvait que me rappeler ce que j’appelle mémoires extraterrestres, qui se trouvent dans les vécus des enlevés et sont situés dans une zone de leur cerveau qui est pour ainsi dire à accès nié. On accède à cette zone de mémoire uniquement avec un mot de passe bien précis, comme j’ai reporté déjà précédemment (voir le document Scénario Abduction – ndZ).
Donc, tout ce que l’homme est en train de faire ressemble étrangement à ces technologies extraterrestres dont celui qui s’occupe d’enlèvements est accoutumé depuis longtemps.
Mais que dit la science sur la possibilité d’enregistrer tout le contenu d’un cerveau? Il ne s’agit pas peut-être de milliers de milliards de byte?
Ralph C. Merkle (merkle.com) a fait le calcul de combien de byte peuvent être contenus par un cerveau humain:
De nombreuses approximations de ce chiffre ont déjà fait apparition dans la littérature, qui se fondent sur des considérations sur le »hardware » (bien que pour le cerveau humain le terme « wetware » serait plus approprié). Une estimation de 10 à la vingtième bit est une des premières évaluation de toutes les impulsions neuronales qui traversent le cerveau pendant une vie (faite par Von Neumann dans « the Computer and the Brain »). Ce chiffre est probablement plus grand que la réponse correcte. Une autre méthode est celle d’évaluer le nombre total de synapses et de présumer donc que chaque synapse contienne un certain nombre de bit. L’estimation sur le nombre de synapses ont été faits entre environ 10 à la treizième et 10 à la quinzième, chiffre qui correspond à l’évaluation de la capacité de mémoire.
Thomas K. Landauer (« How Much Do People Remember? Some Estimates of the Quantity of Learned Information in Long-term Memory », in Cognitive Science 10, 477-493, 1986), a calculé aussi la grandeur d’espace qu’occupe la mémoire d’un être humain.
Le résultat intéressant pour cette étude nous indique que les êtres humains se souviennent environ 2 bit/s, en condition expérimentale. En mode visuel, verbal, musical, de toute manière toujours 2 bit/s.
En continuant pendant une vie entière, cette rapidité de mémorisation produira quelque chose comme 10 à la neuvième bit, sensiblement moins d’un terabyte.
Ce résultat est sensiblement inférieur à celui trouvé par Von Neumann, mais que ce soit l’un ou l’autre qui ait eu raison, cela signifie qu’il est possible et plausible d’effectuer l’opération classique de graver la sauvegarde de notre cerveau, comme il semblerait que certaines races extraterrestres effectuent justement sur celui-ci. Il serait possible, en faisant recours à une puce, non seulement de graver les souvenirs de la vie d’une personne, mais aussi, si on le veut, de les reprogrammer. Et jusque là il n’y a pas de problème, mais il est nécessaire aussi d’utiliser un canal de communication en mesure de faire passer les informations du cerveau de l’homme à l’ordinateur extraterrestre et vice- versa en un temps relativement court. Ce canal représente le véritable « goulot d’étranglement », car vous pouvez avoir un ordinateur très rapide, mais si les données passent lentement à travers le canal de communication, il vous faudra un temps décidément trop long pour transférer les résultats d’une opération exécutée en un millième de seconde.
Que pouvons nous faire pour éliminer le problème?
On a essayé donc d’élever la fréquence de clock où l’ordinateur fonctionne en temps normal (le clock de notre cerveau à base de carbone semblerait avoir une fréquence extrêmement inférieure par rapport à un ordinateur à base de silicium, mais un cerveau fonctionne en parallèle et exécute lentement, mais simultanément, un chiffre extrêmement élevé d’opérations élémentaires, tandis qu’un ordinateur les exécute de manière séquentielle, c’est-à-dire l’une après l’autre, et est par conséquent plus défavorisé) mais la panacée pour l’échange de données est représentée par les fibres optiques. Celles-ci font voyager les photons à une vitesse proche de celle de la lumière dans le vide (environ 300.000 Km/s), tandis que les câbles font voyager les électrons à la vitesse de quelques mètres par seconde. Les électrons qui sortent chaque instant du câble sont cependant nombreux, donc à l’intérieur d’un câble on peut faire transiter beaucoup d’informations par seconde, mais les photons qui sortent chaque seconde d’une fibre optique sont beaucoup plus nombreux, du moment qu’ils sont plus rapides et que, à section égale, il y a plus de photons que d’électrons, donc une fibre optique possède une rapidité de transmission de données inconcevable pour les câbles traditionnels.
Typiquement une abduction ne dure pas plus de 45 minutes de notre temps. Pendant ce temps l’enlevé est opéré plusieurs fois, transporté d’un côté à l’autre de l’espace-temps, physiquement copié, on lui extrait l’âme pour la lui remettre à sa place, etc…, et le temps consacré à la sauvegarde de la mémoire apparaît, à travers les descriptions faites sous hypnose, franchement court.
L’opération est exécutée par moyen d’ un étrange appareil qui montre plusieurs figures en succession rapide: la succession des images est tellement rapide que le sujet la ressent comme un traumatisme. L’expérience peut être rapprochée à celle que nous avons quand nous passons un électro-encéphalogramme et on est, yeux fermés, devant une lumière stroboscopique dont les éclairs, de plus en plus rapides, traversent les paupières fermées et sont perçus par le nerf optique, stimulant le système para-sympatique, qui a tendance à entrer « en crunch » et provoque tachycardie, insuffisance respiratoire, panique, etc…
Pour la transmission de données on pourrait faire recours à un câble électrique relié au cerveau avec une série d’électrodes placés sur des zones corticales particulières et en mesure d’introduire/extraire des impulsions biologiques interprétables tant par le cerveau que par l’ordinateur.
Quelqu’un y est parvenu: en employant 38 électrodes situés sur la zone corticale qui est responsable de la vision il semble qu’on obtient environ 256 pixel de vision artificielle, suffisants pour faire déplacer le sujet non-voyant chez lui et à le faire lire sans gros problèmes.
Quelqu’un avait déjà essayé aussi une autre méthode toujours avec le but officiel de redonner la vue aux non-voyants. La méthode est reproduite ci-dessous.
Voici de même la reconstruction de la partie externe d’un implant rétinal: Small Times, Nov./December 2001.
Il s’agit, donc, de placer une micro-caméra sur une lentille d’une lunette spéciale: la caméra émet un rayon laser qui, à travers le cristallin, excite un certain nombre d’éléments artificiels (34) qui ont été placés, sous forme de puce, sur la rétine qui n’exerce plus sa fonction. Cette rétine artificielle serait en mesure de bipasser celle naturelle, qui ne fonctionne plus, stimulant directement le nerf optique.
Mais on pouvait encore faire mieux, et effectivement:
LEUVEN, 27 AVRIL 2000 – Tiré du quotidien La Nazione. – un « œil artificiel » qui pourra lui redonner la vue sera implanté sur un patient non-voyant dans les mois prochains. L’appareil sera connecté directement au nerf optique et pourra redonner la possibilité de la vue à tout patient dont la rétine à été endommagée ou détruite. C’est ce que soutient l’équipe du Dr Veraart de l’Université Catholique de Leuven, en Belgique.
En ce cas l’appareil est plutôt innovateur et fonctionne de la manière suivante: une caméra, placée extérieurement, transmet des images, grâce à un émetteur, à une puce implantée derrière l’oreille. Cette puce est reliée, avec des électrodes, directement au nerf optique. Des portions différentes du nerf optique sont stimulées altérant les signaux.
La nouvelle intéressante est que la puce est placée derrière l’oreille, justement là où ont été repérés certains implants de nature exogène à la planète. Mais quelle étrange coïncidence!
Il est clair, à ce stade, que si on voulait envoyer des informations au cerveau avec une certaine rapidité, il faudrait employer quelque chose qui soit équivalent à une fibre optique. Mais quelle fibre optique est plus biologiquement compatible que le nerf optique?
Le nerf optique est un véritable câble multiconducteur de connexion entre le cerveau et ce dispositif optique que constitue la rétine et possède la capacité de transmission de données comparables à celles d’une fibre optique.
Combien d’informations peuvent voyager sur un nerf optique?
Ralph C. Merkle à ce propos nous apporte les considérations suivantes:
Une approche est celle d’évaluer la puissance de traitement de la rétine, et de multiplier donc cette évaluation par le rapport entre la grandeur du cerveau et celle de la rétine. La rétine est relativement bien connue et nous pouvons par conséquent donner une évaluation convenable de sa capacité de traitement. L’output de la rétine, transporté par le nerf optique, provient principalement des cellules des ganglions rétinaux qui exécutent un traitement « central-environnant » [NdT - "center surround computations"] (ou traitements interdépendants d’une telle complexité).
Si nous admettons qu’un traitement central-environnant typique exige environ 100 sommes analogiques et est exécuté environ 100 fois par seconde, par conséquent le traitement de l’outpout axonel de chaque élément ganglionnaire, exige environ 10.000 sommes analogiques par seconde. Nous comptons environ 1.000.000 axones dans le nerf optique, de cette façon la rétine entière exécute environ 10 à la dixième sommes analogiques par seconde. Il y a environ 10 à la huitième cellules nerveuses dans un cerveau, ainsi le cerveau est environ de 100 à 10.000 fois plus grand que la rétine. D’après cette logique, le cerveau devrait être en mesure d’exécuter environ de 10 à la douzième à 10 à la quatorzième opérations par seconde (calcul qui s’accorde bien à l’évaluation de Moravec, qui considère cette approche plus dans le détail).
En quelques mots, la rétine est en mesure de transmettre, en un temps compris entre 100 et 10.000 secondes, autant d’informations que le cerveau entier peut contenir. Naturellement il faudra un temps beaucoup plus court s’il faut en remplir une partie uniquement.
Donc si un extraterrestre voulait lire dans notre cerveau et stocker nos souvenirs, ou bien voulait y introduire des souvenirs d’autrui, il devrait passer à travers le nerf optique et être ainsi en mesure de PROGRAMMER (et non pas reprogrammer – nda) comme il préfère une partie du cerveau humain.
Tout ce que j’ai énoncé ressemble beaucoup moins à la science-fiction de ce que ça en a l’air et, pour pouvoir le vérifier il suffit de visiter le tas de U.S. Patent parmi ceux qui concernent les puces déjà réalisées avec notre technologie actuelle.
Par exemple le 4,140,997 – Brain wave responsive programmable electronic visual display systems ou le 4,508,105 – Shadow generating apparatus, ou bien encore le 4,616,261 – Method and apparatus for generating subliminal visual messages, ou le 5,017,143 – Method and apparatus for producing subliminal images, juste pour en citer quelques uns.
Avec la méthode si-dessus, donc, on pourrait implanter ce que l’on appelle « Mémoires Extraterrestres » dans le cerveau des enlevés.
Des enquêtes que nous avons menées résulte que la première implantation de ces mémoires a lieu quand le cerveau du fœtus, futur nouveau-né et futur enlevé, est prêt. L’action se déroulerait à travers une intervention intra-utérine évoquée nouvellement, sous hypnose, par certaines enlevées. Science-fiction?
Lisez ceci:
INSERTED FETAL MONITORS – HUMANS:
NASA’s has developed a pill-sizd transmitter that is small enough to be introduced into the uterus to monitor high-risk unborn children while still in the mother’s womb. NASA’s implantable biotelemetry device will allow monitoring of a human fetus and its uterine environment. The device will provide the ability for doctors to measure intra-uterine conditions in order to evaluate and treat preterm labor. The Sensor2000 (or S2K as it’s called) can measure intra-uterine pressure changes, body temperature, and the heart rate of the fetus.
Ce petit objet mesure 22 millimètres de longueur et 8 de largeur.
Qui sait que pourrait-il faire encore!
(ces deux pages n’existent plus mais vous pouvez consulter le site de la NASA qui indique que le produit existe bien toujours et illustre ses fonctions de base – NdT):
http://ntrs.nasa.gov/search.jsp?No=10&N=4294776639
et encore:
http://www.patentstorm.us/patents/6689056.html
CONCLUSION
Voilà, donc, à quoi sert cette étrange aiguille qui est introduite dans l’œil du malheureux abducté, qui lui produit un certain nombre de traumatismes et des douleurs très fortes pendant une fraction de seconde.
On se relie au nerf optique ayant précaution de ne pas procurer de lésion au système visuel, on insère la puce et on y décharge à l’intérieur des informations, ou bien on lit le contenu de notre cerveau.
Tout ceci est déjà possible sur Terre.
Chez qui nos gouvernants auront pris ces idées?
Source : http://zorgonaute.wordpress.com/2010/07/19/corrado-malanga-les-implants-oculaires/