L'ANTIGRAVITE PRINCIPES ET REALISATIONS
Il y eu de nombreux inventeurs indépendants qui au cours de l’histoire, s’intéressèrent à la possibilité de pouvoir faire léviter des objets. Avec l’arrivée de l’aviation, dès le début du XXème siècle, plusieurs voulurent fabriquer des engins volants, utilisant comme technologie la propulsion « à antigravité ». Mais voyons tout d’abord, au niveau de « la Physique », l’historique des différentes théories. Lesquelles ont inspirées et permirent la réussite, de la réalisation de ce mode de propulsion révolutionnaire.
Les différentes théories liées à « l’antigravitation ».
La première de ces théories, qui remonte à l’Antiquité Grecque, est celle des monocordes. En langage moderne on dirait qu’il s’agit de la théorie des résonances et des harmoniques ondulatoires. Une petite partie de ce savoir s’est retrouvé, du Moyen Age à nos jours, dans les lois du solfège et de la gamme bien tempérée en musique. Voilà pourquoi, aussi étonnant que cela puisse paraître, les travaux sur les « sons » ont aussi eu leurs importance. Car chaque son émet bien une fréquence, et les fréquences ont elles-aussi leur utilité.
La seconde est la théorie implosive de Shumann et de Schappeller qui permis à Viktor Schauberger, dès les années vingt, de construire et de faire fonctionner plusieurs engins révolutionnaire, entres autres des turbines hydrauliques implosives à rendement apparent « sur-unitaire », c’est à dire produisant plus d’énergie à la sortie de la turbine qu’à l’entrée. (Photo du dépôt de brevet ci-dessous, cliquez pour agrandir).
La troisième théorie (publiée en 1903) nous vient du mathématicien Britannique Whittaker et pour l’expérimentation, du physicien Nicola Tesla. Il s’agit de la théorie des potentiels et des ondes longitudinales scalaires. Dès 1896, Tesla avait observé des pertes de masse et d’inertie d’objets de son laboratoire, soumis aux ondes scalaires en phase (ou en résonance synchrone si vous préférez) à très basse fréquence (6Hz) de ses bobines « Tesla ». Ces expériences ont étaient reproduites avec succès depuis 1995 par un expérimentateur indépendant de Vancouver (Canada), John Hutchison, ainsi que par le physicien Brésilien Fran De Aquino qui a publié ses travaux en référé au Brésil et les a soumit également au CERN (Centre Européen de Recherche Nucléaire).
C’est principalement sur ces théories que se basèrent les Allemands pendant la guerre, pour réaliser leurs soucoupes. Les autres théories qui ont suivies viennent des recherches menées aux Etats-unis, après la Seconde Guerre Mondiale.
Les Etats-Unis lancèrent la recherche dans ce domaine dès la fin des années quarante. Les Américains avaient en effet récupéré en 1945, beaucoup de plans et de pièces détachées de soucoupes nazies. Mais malheureusement pour eux, après montage, ils n’arrivèrent pas à faire fonctionner cet engin.(1)
Mais ils ne résonnaient pas, par rapport à la théorie qu’il aurait fallu. De plus, soit par « chauvinisme », ou une « mentalité Américaine », bien connu (croyant être les seuls à pouvoir détenir la solution) les physiciens militaires Américains ont toujours rejeté obstinément toute l’approche théorique qu’avait eu les nazis sur l’antigravité, préférant alors travailler uniquement sur le modèle quantique standard et celui de la « relativité générale étendue ». Ceci explique pourquoi les moteurs à anti-gravitation Américains étaient alors au départ si différents des moteurs Allemands, de type Schuman et Gerlach. Ils tentèrent donc de reproduire le fonctionnement exact de ce type d’engin, sans y parvenir, pendant plusieurs années.
Jusqu’en 1968, les chercheurs Américains avaient utilisé la théorie de la relativité générale étendue d’Einstein, publiée en 1928 (qui prévoit pour la première fois la possibilité d’annuler la masse et l’inertie sans dématérialisation), tout en échouant à pouvoir comprendre et reproduire parfaitement la technologie des engins extraterrestres. Comme ceux trouvés à San Diego, Roswell, Kingman et ailleurs (2).
En 1971, la section militaire du « Lawrence Livermore Laboratory » réussit péniblement à mettre en place un nouveau « modèle mathématique » (assez complexe) à partir du modèle quantique standard. Il ne permettait de reproduire, que partiellement la propulsion de certains des engins extraterrestres capturé. Ce système fonctionnait, mais pas pour toutes les « directions », que l’on veut voir appliquer à un engins volant. (ils travaillaient en fait, d’après une base de la Physique qui est fausse, il ne fallait donc pas s’attendre à trouver la solution).
Ce modèle théorique, établit qu’une inversion de la température quantique statistique dans un système d’atomes inverse (autrement dit: « annule ») le signe de masse et d’inertie du système. Cet effet, appelé « Magnetic Field Disruption » (MFD) par les militaires, est utilisé pour le système de propulsion de l’engin triangulaire « TR-3B ». Ce dernier utilise en fait un moteur hybride (« MFD », antigravitationnel et « EMHD », Electro-Magnéto-Hydro-Dynamique). La propulsion « MHD » étant parfaitement connu, et développée d’après la théorie de Maxwell.
Ces différentes théories, donneront en fait plusieurs manières différentes, de concevoir des systèmes de propulsion à antigravité.
Les différents engins utilisant l’antigravité, mit au point depuis le début du XXème siècle.
Les premiers modèles, « à tornades d’eau », de Viktor Schauberger.
Dans les années trentre, Schauberger s’intéressa aussi à l’antigravité et fît de nombreux travaux dans ce domaine. Il fit voler lors de ses expérimentations deux types différents de modèles réduits de « soucoupes volantes », qu’il baptisa « Répulsim » (photo ci-dessous). Une turbine spéciale, placée au sommet de la soucoupe, met en rotation un mélange d’air et de 1% d’eau refroidie à sa température critique de transition de 2,93°C. L’air est centrifugé en tornade sous la soucoupe et remonte par la colonne centrale de la tornade vers le sommet de la soucoupe où il est à nouveau centrifugé par la turbine. Les différences de température entre le haut et le bas de la tornade ainsi que les différences de pression et de charge électrostatique entre le centre et la périphérie de la tornade (appelée aussi vortex) créent une énorme force de propulsion par dépression de l’environnement de la soucoupe. A partir d’une vitesse de rotation de 7000 Tours/min. La tornade s’auto entretient et la turbine n’a plus besoin de son moteur d’entraînement. De plus, à partir de 30000 Tours/min., le vortex annule la masse et l’inertie de la soucoupe et aussi de tout corps placé dans sa proximité immédiate (à quelques centimètres). Il y a alors antigravité.
Les soucoupes Allemandes et la recherche nazi pendant la guerre.
Le dernier modèle de moteur antigravitationnel conçu par les nazis et le plus évolué, fût élaboré en 1943-44. Il comprenait deux cylindres superposés et contrarotatifs, de un mètre de diamètre, en métal diamagnétique. Chaque cylindre contenait de la vapeur de mercure, sous vide, mise en rotation équatoriale par les cylindres. Des ondes radio, émises à l’intérieur des cylindres formant une cavité résonante, induisait un courant électrique intense dans la tornade de vapeur de mercure. Une fois ionisée, la vapeur de mercure devenait un puissant électro-aimant tournant. Chaque tornade de mercure tournait dans le sens de rotation mécanique de son cylindre respectif. A partir d’une vitesse de rotation relative entre les tornades, d’environ 8Km/seconde. Le système annulait totalement sa masse et son inertie. L’ajout d’un faisceau radio supplémentaire permettait alors de créer une force de propulsion dirigée dans le champ antigravitationnel. L’énergie électrique du vide quantique dans le vortex de mercure était récupérée par auto-induction, ce qui permettait d’alimenter éternellement la tornade.(3)
Le concepteur de l’original de ce type de moteur, était le Professeur Gerlach, qui avait travaillé sur les extensions de la relativité générale en relation avec Albert Einstein dans les années vingt. Son moteur n’était qu’une évolution moins « grossière » du moteur magnéto-électrostatique et électromécanique de Shumann développé à partir de 1934 et dont la première version opérationnelle fût installée sur le « RVZ-1″, qui vola en 1936.
Les moteurs Shumann (appelés aussi « lévitators Shumann »), développés dans le cadre du programme de recherche Allemand, équipèrent eux tous les prototypes « Vril » et « Haunebu », à l’exception du Vril 8 « Odin » et du Haunebu III, qui étaient eux équipés du moteur Gerlach. Les nazis firent aussi appel, assez tardivement et en complément des autres théories (citées plus haut), à la théorie (incomplète) « unifiée des champs » d’Einstein (appelé aussi « relativité générale étendue ») datant de 1928. A partir de 1944, ils prirent du retard car ils furent confrontés à des distorsions « spatio-temporelles » (le phénomène de « vortex »), durant les vols avec leurs prototypes Vril 8 « Odin » et Haunebu III. Problèmes qu’ils eurent du mal à appréhender et à résoudre, car ils ne pouvaient être décrits par les modèles théoriques existants à l’époque (4).
Les différents engins connu, issu de la recherche militaire Américaine.
L’engin triangulaire « TR-3B », « Darkstar » (illustration ci-dessous), existe depuis 1986. Il a était mit au point conjointement par les firmes Boeing et Lockheed. C’est en fait un engin à moteur « hybride » (« MFD », antigravitationnel et « EMHD », Electro-Magnéto-Hydro-Dynamique). Les moteurs du TR-3B, ont seulement quelques points communs avec le moteur de l’Allemand Gerlach, mais en beaucoup plus compliqué et en moins efficace.
C’est en quelques sortes, le successeur du TR-3A « Black Manta » (illustrations ci-dessous), qui datait de 1965-66, un modèle presque identique, mais avec un système de propulsion différent. Le « TR-3A » et le « TR-3B » sont tous les deux capables d’évoluer dans l’espace, mais à quelques milliers de kilomètres seulement, sans trop s’éloigner de la Terre (en effet, cet éloignement diminue proportionnellement la puissance de leurs « moteurs »).
Tous les deux font suite à l’ARV, « Antigravity Research Vehicle » (photo et schema ci-dessous), qui a été développé plusieurs années auparavant, aux cour des années cinquante. Il s’agissait d’une soucoupe expérimentale, pouvant évoluer dans l’espace. Son mode de propulsion « à antigravité » est différent des engins cités précédemment (ses capacités d’évolution la limite à notre système Solaire). Elle fût construite en plusieurs exemplaires et existe en trois versions (5).
Un aperçu de la recherche indépendante, avec les disques de John Searl.
John Searl était un chercheur indépendant, qui découvrit son principe de l’antigravité, alors qu’il cherchait à concevoir un générateur pour produire de l’énergie, à partir du vide (6).
Poursuivant ces recherches, il construira près de quarante disques à antigravitation, tous contrôlé, qu’il appela des « IGV » (« Inverse Gravity Vehicle »). Voici l’un des appareils fabriqué, et qui vola effectivement en octobre 1967 (photos ci-dessous), malheureusement perdu par la suite. Ce n’était pas un petit modèle, mais un disque de plusieurs mètres de diamètre, élaboré en tant que prototype, pour pouvoir voler avec des passagers et qui pesait plusieurs centaines de kilos.
Ce modèle en vol (cliquez pour agrandir):
Les disques évoluaient grâce au système de production d’énergie « SEG » (« Searl Energy Generator »), qu’il avez conçu. Comme vous le voyez avec le schéma ci-dessous, d’un autre modèle de Searl, appelé le « Demo 1″:
Les tentatives de Searl, de révéler cette technologie aux dirigeants et aux autorités officielles.
Dans les années soixante-dix, Searl voulu offrir sa technologie au Royaume-Uni. Au couple royal, la Reine Elisabeth et le Prince Philip, il fit parvenir le message suivant: »Veuillez accepter ceci, je peux vous montrer comment construire cet appareil pour produire de l’énergie et pour fabriquer réellement un nouveau type de vaisseau aérien, ou simplement un appareil capable de remplacer l’avion. » Dans leur réponse le couple le remercia vivement, mais en précisant bien qu’il ne désirait pas le voir.
Searl montra alors son invention aux autorités Américaines. Il se livra même à une démonstration à la Edwards Air Force Base. Au cours de la démonstration, à la télécommande, il fît faire un tournant à 25 « G », pour montrer les performances de son disque volant. Les militaires Américains lui dirent: « Bon, cela pourrait tuer tous les passagers à bord des avions, nous ne voulons pas voir cet appareil, trop dangereux, nous ne pouvons pas nous en servir. »
Searl fit alors des essais pour déterminer la valeur des « G » à l’intérieur de son appareil. Dans un de ses essais, une ampoule était suspendue à l’intérieur de l’appareil. Elle était censée se casser sous la force minimale de 2 « G ». Searl fit diverses évolutions avec l’engin, qui auraient dût détruire l’ampoule, mais après les essais, elle était intacte. Démontrant ainsi que l’attraction terrestre à l’intérieur de l’appareil n’était pas la même que dans un avion classique.(7)
Quand les autorités tentèrent de mettre fin aux recherches de Searl.
En fait, comme beaucoup d’autres, Searl gênait terriblement avec ses inventions innovantes.
En 1982, alors qu’il était dans sa maison de Mortimer dans le Berkshire en Angleterre, un groupe de soldats pénétra chez lui, confisqua son appareil prototype et arracha tout le câblage électrique de son atelier. Il fut accusé de vol d’électricité par la compagnie locale et condamné à payer une amende. Comme son appareil ne lui fut jamais rendu, il refusa de payer l’amende, et à la suite de ce refus, il se retrouva en prison.
Searl avait demandé à un ami d’aller chez lui pour reprendre ses papiers. Il s’y rendit, mais dira à Searl, qu’il y avait trop de choses en désordre et qu’il y retournerait plus tard. Et pendant son incarcération, son atelier de travail fut incendié par des militaires Britanniques. Tous ses papiers, les montages, les plans,…etc. Tout a était brûlé. Ils ne leur aura fallu que quatre jours pour détruire des années de travail.
Quelques années plus tard, Searl avait installé en Nouvelle Zélande, un atelier pour construire un nouveau prototype et le mettre au point (suite à ce qui c’était passé, il avait décidé pour la sécurité de ces travaux de s’éloigner du Royaume-Uni). Pendant un séjour dans son pays natal, il fût de nouveau arrêté sous un faux prétexte, mais suffisant pour l’envoyer une fois de plus en prison pendant un certain temps.
Son nouveau prototype resta donc sans surveillance, mais il le croyait être en sûreté. Quand il retourna en Nouvelle-Zélande après sa libération, les choses avez changées. L’homme qui lui avait permis d’utiliser son terrain était depuis décédé, et la femme de ce dernier avait alors tout vendu. Le terrain, l’atelier et la soucoupe. Le nouveau propriétaire, un policier, avait vendu l’appareil à un ferrailleur au prix du métal, pour le cuivre qu’il contenait. Et il s’était débarrassé du reste. La déception était grande pour Searl, car tout avait été détruit.
Par la suite, à partir de 1987, Searl, qui s’était séparé de sa femme, préféra pour sa tranquillité, vivre un moment dans la clandestinité sous un nom d’emprunt.(8)
Searl a malgré tout su rebondir. Il a depuis reprit ses activités de recherche, avec plus de moyens. La futur crise des énergies fossiles, comme le gaz et le pétrole, a sensiblement fait révisé le jugement qu’avait eu de nombreux scientifiques, sur son travail, en matière de production d’énergie libre.
Il y a une société crée par Searl, la « Searl Aerospace Corporation » (dans le but de protéger la technologie et les droits d’exploitation de ses disques « IGV », parce que certains essayèrent de s’approprier ses inventions). Cette société a même établit un contrat de licence, pour un partenariat d’exploitation avec des constructeurs Américains (The Boeing Compagny, Lockheed Martin Corporation, Northrop Gruman Corporation et la General Dynamic Space ont étaient approché) pour un éventuel développement des « IGV ». Comme vous pouvez le voir sur le contrat de licence ci-dessous (cliquez pour agrandir):
Les avantages des engins à antigravitation.
Donc la possibilité de fabriquer des engins à antigravité existe depuis bien longtemps, et serait parfaitement réalisable. Utilisé enfin pour des applications civiles, leurs avantages sont évident et font rêver:
- Plus besoin de carburant, puisque le système produit sa propre énergie,
- Plus de problème de pneumatique, donc tous les terrains deviennent accessibles, même les plus accidenté. (Sans parler du nombre de pneu, sans cesse croissant, qui devient problématique, du fait du manque de centres de traitement. Et la collecte des pneus en est à être, paradoxalement, en diminution, car ils n’arrivent plus à absorber la quantité à recycler).
- Plus aucune pollution,
- Plus de bruit de moteur gênant,
- Durée de vie bien plus longue des véhicules, qu’avec ceux avec un « moteur à explosion », qui s’use beaucoup plus vite, et se montre plus compliqué à construire,
- Des frais de fonctionnement réduits pour les utilisateurs et/ou les propriétaires, puisqu’il n’y a plus besoin d’acheter du carburant et de l’huile de moteur, ni de changer les pneus régulièrement.
- Rapidité des engins accru, donc une durée des trajets réduits.
- Tout-à-fait utilisable par les transports en commun, les compagnies aériennes, les entreprises de transport de marchandises.
- Possibilité pour les heureux propriétaires, de pouvoir se déplacer directement, partout dans le monde, sans être obliger d’avoir recourt aux transports de voyageurs privés (comme les compagnies aériennes).
- pour les Etats, une réduction des dettes, puisque il n’y aurait plus à acheter de pétrole.
Le seul inconvénient, serait d’apprendre à piloter de tels véhicule. Mais je pense que les gens, une fois formé, arriveraient à les piloter sans problème (ils savent bien conduire une voiture).
Pourquoi cette technologie n’est-elle pas mise en place et rendue accessible au public.
La suprématie Américaine sur l’espace.
Il y a une raison »technologiquement » parlant, auquel personne ne pense, mais qui est en fait très simple. Les Américains, ont construit des véhicules à antigravité dès les années cinquante-soixante, s’ils avaient procédé « normalement », comme pour toutes les découvertes, et avaient déposé officiellement à l’époque, les brevets de ces inventions, et bien, n’importe quels pays ou entreprises n’auraient eu qu’à payer les « droits d’exploitation », pour pouvoir utiliser cette technologie. Sans oublier qu’au niveau juridique, le droit de protection des brevets est valable vingt ans en moyenne. Ensuite, c’est la loi, n’importe quels brevets « tombe dans le domaine public et peut être librement utilisé » (pour les dessins et modèles, la durée est de 25 ans et renouvelable une fois seulement).
Voilà une des raisons pour laquelle, ils ne l’ont pas rendu public, avec dépôt de brevets. S’ils avaient procédé ainsi, et bien dès les années soixante-dix ou quatre-vingt, tous les pays du monde, disposant d’un minimum de moyens, auraient pût sans aucun problèmes, accéder à l’espace (et n’oublions pas que l’ARV est capable de voyager dans le système Solaire). Et vous imaginez bien que les Américains veulent rester à être les seuls à disposer de ce moyen de locomotion, pour pouvoir se rendre dans l’espace.(9)
Ils tiennent tout simplement à garder cet avantage indéniable, en matière d’accès et d’exploration de l’espace, vis-à-vis des autres nations. Vous pensez bien que si ils en avaient les moyens, les autres pays ne se gêneraient pas pour aller dans l’espace, au contraire. Mais voilà, les Etats-Unis veulent être les seuls à pouvoir y accéder « librement et totalement », si l’on peut dire. Tant que certains pays se limite à envoyer des fusées, pour mettre des satellites en orbite, ça leur est parfaitement égal et ils s’en moque complètement. Mais si d’autres pays pouvaient se rendre en n’importe quels points de notre système Solaire (et pourquoi pas plus loin), les Etats-Unis ne seraient plus les seuls, et ils devraient alors compter avec d’autres nations.
De plus, quand on connait toute la complexité des relations internationales, si ça se reproduisait à l’échelle de l’espace et de planètes entières, imaginez un peu la situation que cela pourrait engendrer: tels pays s’emparerait de telle planète, un autre ne serait pas d’accord… Bref, vous avez comprit (dès que l’on revendique ou réclame un territoire, cela provoque souvent des conflits ou une guerre).
Tandis que là, étant les seuls, les Américains disposent d’une parfaite liberté de mouvement et personne ne les dérange. Et ils tiennent à garder cet avantage, pour assurer leur suprématie, tant technologique que militaire.
L’argent.
L’autre raison est bien sur d’ordre financier. Ceux que cela dérangerait vraiment, ce sont évidemment les producteurs de pétrole et les compagnies pétrolières, tous les fournisseurs et les distributeurs de carburants et d’hydro-carbure de la planète. Et les Gouvernements. Qui pour les uns perdraient des milliards de chiffre d’affaire, et pour les autres, ne toucheraient plus les taxes et les impôts, liés à la ventes des carburants. Sans oublier le manque à gagner des péages sur les autoroutes. Puisque avec de tels véhicules, on peut se passer de route.
Restreindre la liberté de mouvement et facilement contrôler les déplacements de la population.
Mais au-delà des préoccupations financières, il y a aussi la question de la liberté de circulation et pour ne pas dire, de la liberté tout court.
le vrai obstacle, c’est bien les dirigeants de la planète eux-mêmes, qui n’auraient plus aucuns moyens de contrôle sur les mouvements de population, et ne pourraient donc plus contrôler vos déplacements. Il y a beau « ne plus y avoir de frontières parce qu’on a fait l’Europe », c’est assez facile de vous empêcher de vous rendre où vous voulez, quand vous voulez allez dans un autre continent (évidemment, difficile d’aller en Amérique du Sud ou en Australie, en se servant de sa voiture). Vous êtes donc bien obligé d’utiliser les compagnies aériennes, avec toutes les contraintes « sécuritaires », de plus en plus nombreuses, inhérentes à ce mode de transport: fouille des bagages, scanner corporel à rayons x, contrôle des papiers avec utilisation de passeports bio-mètrique à puce, total dépendance des passagers vis-à-vis des compagnies (on se souvient dernièrement, du voyageur Français qui fût évacué, « manu-militari », par les policiers Brésiliens et qui a était envoyé en prison).
Tous les dirigeants du monde, veulent pouvoir disposer d’un réel contrôle sur leur population, et bien-sûr sur ses déplacements, qu’ils soient à l’intérieur du pays ou à destination de l’étranger (10).
L’hypocrisie gouvernementale et politique.
Malgré la rhétorique habituelle des dirigeants et des politiques, sur la « liberté des individus et la démocratie des pays », il faut se rendre à l’évidence que nous ne sommes pas vraiment libre de nos mouvements. Puisque pour ces déplacement « longue-distance », nous dépendons tous des autorités et des compagnies privées. Voilà aussi pourquoi ils laissent systématiquement les gens dans l’ignorance la plus total, sur l’existence de ces nouvelles technologies. Si les véhicules à antigravitation étaient généralisé et produit en série, et bien la population mondiale se rendrait finalement compte, du manque de liberté (de mouvement), qu’elle devait subir auparavant.
Et il deviendrait alors impossible de revenir en arrière.
Que voulez-vous, un peuple qui a goûté à la vrai liberté, est ensuite beaucoup plus difficile à diriger et à exploiter.
(1) Pour plus d’informations, sur la récupération de la technologie Allemande, par les Américains, voir « Les Black Program: le Projet Paperclip », dans la catégorie « Les programmes secrets ».
(2) Pour plus d’informations, sur les opérations de récupération et sur les crash d’ovnis, voir « Les Black Program: le Projet Moon Dust », dans la catégorie « Les programmes secrets ».
(3) L’inventeur Canadien Hammel a reproduit, de manière empirique et sans le chercher vraiment, une version mécanique de ce moteur où les tornades de mercure sont remplacées par des cônes oscillants et superposés en aluminium.
(4) Pour plus d’informations, voir « Les soucoupes volantes du IIIème Reich ».
(5) Pour plus d’informations, voir « Les Black Program: le Projet Senior Citizen », et « Les Black Program: Le Projet Aquarius », dans la catégorie « Les programmes secrets ».
(6) Pour en savoir plus sur les autres travaux de Searl, voir « La production d’énergie illimitée non polluante ».
(7) Dans un véhicule « à antigravitation », on ne subît aucune accélération, étant donné que l’on se retrouve à être en apesanteur. Pas de contraintes des « G », pour l’équipage ou les passagers.
(8) Ce n’était pas trop difficile, étant donné qu’il n’existait pas de « carte d’identité », à cette époque. Il existe maintenant une carte (non obligatoire), mais les autorités ne sont pas encore parvenu à la faire accepter à l’ensemble de la population Anglaise.
(9) On se doute bien, de l’évidente mauvaise foi et de la complicité certaine, de la part des Gouvernements mondiaux (qui subissent aussi la pression des lobby, qu’ils soient pétrolier, financier ou autre). Mais l’éventualité d’une utilisation publique d’engins à antigravité, même si c’était improbable, était parfaitement possible. Il leur fallait donc, ne pas prendre de risque et garder cela secret.
(10) On peut tous ce rendre-compte que les « mesures de sécurité », de toutes sortes, augmentent sans cesse, limitant de plus en plus la liberté de circulation.
Sources:
www.Searlsolution.com;
www.magnetosynergy.com;
http://www.ovnisant.com/les-engins-a-antigravite-principes-et-realisations.html
patogaz21