Le marteau de Londres
par damino - 4318 vues - 0 com.
Le marteau de Londres
traversons l'Atlantique, car le Londres dont il est question ici n'est pas la capitale de la Grande Bretagne, mais une petite ville du Texas.
Nous sommes en 1936 (1934 selon d'autres versions, ça commence bien ...).
Max Hahn et sa femme Emma se promènent le long de la Red Creek lorsque leur regard capte quelque chose d'étonnant : un morceau de bois semblant sortir d'un bloc de pierre, comme enchâssé ...
Ils le ramassent et le ramènent à la maison.
Les années passent, et leur fils, George, prend la décision d'"ouvrir" le bloc de pierre. Et ô suprise! la tête d'un marteau apparaît.
Selon les géologues, le lent processus de fossilisation préhistorique a eu lieu dans cette zone il y a près de 140 millions d’années. Une rapide déduction du contexte de la découverte laisse supposer qu’il existait non seulement une civilisation humaine antérieure au processus de solidification mais que cette civilisation possédait une technologie suffisamment avancée pour créer un marteau ayant les caractéristiques modernes.
Selon les études de l’Institut métallurgique de Colombie, la tête du marteau est constituée de 97 % de fer pur, de 2 % de chlore et d’1 % de soufre. Fait surprenant, il a été démontré que le fer avait subi un processus de purification et de durcissement digne des métallurgies du XXe siècle. La partie de terre qui entoure la tête du marteau présente également certaines anomalies. Elle s’est totalement fondue à l’objet formant ainsi une sorte d’étui pour le marteau. Comment l’existence de la preuve physique de cet « emballage » peut-il être régulièrement remis en cause ?
L’analyse chimique de cet étui a permis de détecter des traces de potassium, de chlore, de soufre, de calcium et de silicium.
Cette composition contredit les hypothèses selon lesquelles la tête du marteau appartiendrait à un fragment de météorite puisque les corps de notre système solaire ne possèdent pas tant de variété dans la nature chimique.
Selon les scientifiques, le fait que la tête se soit trouvée fondue dans la roche semble démontrer que le processus d’incrustation a eu lieu sous des conditions atmosphériques différentes de celles actuelles (pression atmosphérique différente) qui correspondrait plus à une époque antérieure.
Certains voient la possibilité peu convaincante d’un morceau de bois d’un météorite de composition chimique très étrange et de morphologie exceptionnelle datant de la préhistoire. Des scientifiques plus aventureux ont vu dans cet oopart un indice supplémentaire de la découverte d’une période de l’histoire de notre planète, de civilisations aux capacités techniques avancées, desquelles nous conservons aujourd’hui seulement des légendes. Et peut-être aussi l’existence de vestiges retenus par la roche.
Selon les études de l’Institut métallurgique de Colombie, la tête du marteau est constituée de 97 % de fer pur, de 2 % de chlore et d’1 % de soufre. Fait surprenant, il a été démontré que le fer avait subi un processus de purification et de durcissement digne des métallurgies du XXe siècle. La partie de terre qui entoure la tête du marteau présente également certaines anomalies. Elle s’est totalement fondue à l’objet formant ainsi une sorte d’étui pour le marteau. Comment l’existence de la preuve physique de cet « emballage » peut-il être régulièrement remis en cause ?
L’analyse chimique de cet étui a permis de détecter des traces de potassium, de chlore, de soufre, de calcium et de silicium.
Cette composition contredit les hypothèses selon lesquelles la tête du marteau appartiendrait à un fragment de météorite puisque les corps de notre système solaire ne possèdent pas tant de variété dans la nature chimique.
Selon les scientifiques, le fait que la tête se soit trouvée fondue dans la roche semble démontrer que le processus d’incrustation a eu lieu sous des conditions atmosphériques différentes de celles actuelles (pression atmosphérique différente) qui correspondrait plus à une époque antérieure.
Certains voient la possibilité peu convaincante d’un morceau de bois d’un météorite de composition chimique très étrange et de morphologie exceptionnelle datant de la préhistoire. Des scientifiques plus aventureux ont vu dans cet oopart un indice supplémentaire de la découverte d’une période de l’histoire de notre planète, de civilisations aux capacités techniques avancées, desquelles nous conservons aujourd’hui seulement des légendes. Et peut-être aussi l’existence de vestiges retenus par la roche.