Les recontres rapprochées du 2eme type et les effets sur l'environnement
Champ de soja de Van Horne
Rappelez-vous ce champ de soja situé à Van Horne, en Iowa, dont une partie circulaire fut calcinée le 12 juillet 1969 vers 23h (NICAP Report #390).
Les deux adolescentes qui rapportèrent l'incident eurent la plus grande frayeur de leur vie quand elles virent, en regardant par la fenêtre de leur chambre, un objet éclairé s'éloigner de la ferme en vol plané, accompagné d'un son proche de celui d'un avion à réaction. L'observation ne dura pas plus de deux minutes.
Le fermier, père d'une des jeunes filles, avait précisément inspecté son champ ce jour-là sans rien y remarquer d'anormal.
Etant donné qu'il avait plut la nuit, le lendemain il retourna vérifier s'il n'y avait pas eu de dégâts. C'est alors qu'il découvrit une surface dévastée d'environ 12 mètres de diamètre qui, assurait-il, n'existait pas la veille au soir. L'endroit où les jeunes filles avait vu l'objet s'envoler coïncidait grossièrement avec l'aire calcinée.
Le Dr Hynek visitera le site plusieurs semaines plus tard et constata que le centre de la zone était complètement dénudé. Alentour, "sur chaque plant les feuilles pendaient, flétries comme si elles avaient été soumises à une chaleur intense, mais les tiges elles-mêmes n'étaient ni brisées ni courbées, et le sol ne portait aucune marque. Tout se passait comme si la chaleur ou l'agent destructeur avait été dirigé d'en haut et de très près, mais sans qu'il y ait eu de contact direct."
Les deux jeunes filles qui avaient vu l'OVNI par la fenêtre (à 1500 mètres de distance environ) précisèrent que l'objet disparut en laissant une lueur orange dans le ciel. Il tournait sur lui-même dans le sens contraire des aiguilles d'une montre et avait la forme d'une écuelle au fond concave. Il était d'une couleur métallique gris-noir mat et cerclé à peu près aux deux tiers de sa hauteur par un anneau lumineux orange tirant sur le rouge. C'est le rayonnement de la lumière orange qui dessinait la forme de l'objet. Les deux jeunes filles ne remarquèrent ni protubérances ni lumières isolées - rien que l'anneau lumineux orangé. Quant à sa taille, il avait de trois à quatre fois le diamètre de la Lune, l'une des jeunes filles estimant que l'objet était aussi grand qu'une voiture vue à la même distance.
Pour accréditer cette observation, précisons que le fermier interdit que l'on interroge directement les deux jeunes filles mais accepta volontiers de répondre lui-même aux questions des enquêteurs. Il préféra qu'on ne fasse pas de publicité autour de cette affaire et ne tenta en aucune façon de tirer avantage de la situation. Habituellement, si un fermier perd une partie de ses cultures, il est normal qu'il désire récupérer la contrepartie financière, le manque à gagner.
On peut donc en conclure que ce fermier fut bel et bien le témoin d'un évènement inexpliqué, qu'il ne s'agit en aucun cas d'un "coup monté" de sa part. Le cas échéant, il faudrait tout de même expliquer par quel procédé non conventionnel il aurait créé cet effet qui resta visible durant des années, laissant le sol aride pendant plusieurs saisons...
Citons également quelques observations plus étonnantes qui nous apportent quelques indices sur la nature des OVNI.
OVNI à Trans-en-Provence
Le 8 février 1981 vers 17 heures, à Trans-en-Provence (F), un homme était en train de construire un abri dans son jardin quand un reflet évoluant dans le ciel attira son attention. L'OVNI descent puis atterrit brutalement sur un terre-plein situé en contrebas de sa maison. L'objet d'aspect métallique était silencieux. De forme ovoide, il ne présentait aucune aspérité apparente, ni aile, gouverne ou moteur, permettant de l'assimiler à un quelconque aéronef. L'objet resta quelques instants sur le terre-plein sans émettre aucun bruit puis décolla et disparut à une vitesse très élevée dans le ciel bleu azur.
L'homme avertit la gendarmie qui prit contact avec le GEPAN. Des experts furent dépêchés sur le terrain et prélevèrent des échantillons de terre et de végétaux. Les analyses des échantillons montrèrent sans équivoque qu'un objet métallique pesant non identifié s'était réellement posé sur le terre-plein. L'analyse des végétaux (une variété de luzerne sauvage) montra que la végétation avait été profondément affectée par un agent extérieur qui en avait modifié le système de photosynthèse. En effet, les chlorophylles ainsi que certains acides aminés des plantes présentaient des variations importantes de concentration, variations décroissant avec la distance au centre de la trace mécanique.
Deux ans plus tard, ces mêmes effets avaient disparus, révélant que les végétaux avaient subis un traumatisme temporaire. Selon le Pr Michel Bounias, du laboratoire d'écologie et de toxicologie de l'INRA qui effectua les analyses, la cause des profondes perturbations enregistrées sur la végétation présente dans cet écosystème pourrait être vraisemblablement un puissant champ électromagnétique pulsé dans la gamme des hautes fréquences (micro-ondes), mais d'autres pistes ont été proposées sans qu'aucune n'ait pu satisfaire l'ensemble des conditions permettant d'identifier avec certitude l'objet qui était présent à cet endroit ni son origine.
Implications des militaires
L'épave du Spitzberg
L'année 1952 fera l'objet de deux incidents très curieux. L'un survint en Norvège. Des pilotes militaires repérèrent une épave sur l'île du Spitzberg. L'objet ressemblait à un disque argenté posé sur la glace dans un fouillis de fils. Au centre on distinguait une cabine de pilotage partiellement détruite. L'engin disposait de moteurs à réactions.
La patrouille norvégienne regagna la base de Narvick et le commandant de la base envoya sur les lieux le Dr Norsel, spécialiste des fusées. Il déclara que l'engin possédait un noyau de plutonium et un transmetteur capable d'émettre sur toutes les longueurs d'ondes. Il était d'origine soviétique...
Mais une commission de l'Etat-major norvégien infirma cette identification. Dans le journal Stuttgarter Tageblatt[4] daté du 4 septembre 1955, le colonel Gernod Darnbyl, président de cette commission d'enquête déclara : "Il y a quelques temps, un malentendu s'est élevé sur l'origine de l'engin. On l'a prétendu soviétique. Le disque du Spitzberg n'est pas, j'insiste, de construction terrestre. Les matériaux sont complètement inconnus des experts qui ont participé à l'enquête".
L'US Navy tire sur un OVNI
Le second incident, toujours en 1952, se produisit à Washington. Un avion de l'US Navy prend en chasse un OVNI et tire sur lui une rafale de mitrailleuse. Un éclat brillant se détache de l'engin.
Après ratissage de la région, le débris est récupéré. L'analyse officielle ne put déterminer sa nature mais les chercheurs sous-entendirent qu'il pourrait s'agir d'une météorite.
Grâce à un enregistrement sur bande magnétique, on apprit que l'Armée de l’air confia le fragment au Dr Wilbert Smith, spécialiste canadien des télécommunications et directeur de la première station officielle de repérage d'OVNI. Il sera en contact avec au moins deux chercheurs de l'Ohio. Il conclut sans le moindre doute qu'il s'agit là d'un fragment de soucoupe volante dont il a défini la composition : orthosilicate de magnésium.
Ecoulement liquide d'un OVNI au Brésil
Le 14 décembre 1954, trois disques non identifiés survolent la ville de Campinas, au Brésil. L'un des OVNI oscille et de nombreux témoins voient couler de sa base un mince filet de liquide argenté. L'engin se redresse ensuite et disparaît.
Ce liquide se déposa en plusieurs endroits sur les toits de la ville et les témoins recueilleront plusieurs grammes de cette matière, aussitôt confisquée par l'Armée de l’air brésilienne. Le Dr Risvaldo Maffei, un chimiste local, réussi malgré tout à prélever une infime partie du métal. Son analyse révèle la présence d'étain et d'autres métaux non identifiables. Le métal n'était pas radioactif. Pour sa part, le porte-parole de l'Armée de l’air fit un communiqué assez laconique, parlant d'étain, mais de rien d'autre.
Explosion d'un OVNI au Brésil
Trois ans plus tard, le 14 septembre 1957, toujours au Brésil, dans la baie d'Ubatuba de Sao Paulo, des passants voient exploser sous leurs yeux un engin en forme de disque. Une pluie de fragments brillants tombe dans l'océan, à quelques mètres du rivage. Des témoins se jettent à l'eau et repêchent quelques débris de la taille d'une pièce de monnaie. Analysés, ils s'avèrent être du magnésium à l'état pur. Leur teneur explique qu'ils aient laissé des traces brillantes en brûlant dans l'air.
L'APRO américaine analysera à son tour les fragments, mais ses résultats restèrent secrets. Dirigée par M.L.Lorenzen, de Tucson, l'APRO avait pourtant la réputation d'être une organisation objective, comptant parmi ses membres plusieurs scientifiques et des professeurs.
L'hélicoptère de Lawrence Coyne
Enfin, il y a l'aventure arrivée au capitaine Lawrence Coyne[5] dans la nuit du 18 octobre 1973, à 23h10, près de Mansfield en Ohio. Coyne, qui avait dix ans de vol à son actif, était aux commandes d'un hélicoptère-ambulance Bell UH-1 Huey de la Force terrestre avec trois hommes à son bord. A 750 mètres d'altitude, le sergent Robert Janacseck, chef d'équipage, repéra sur la droite, à l'horizon, en direction de l'est, une lumière rouge. Coyne demanda à Janacseck de vérifier son observation et ce dernier lui précisa que la lumière semblait escorter l'hélicoptère, suivant une trajectoire parallèle à celui-ci.
Soudain la lumière fonça droit sur l'appareil. Coyne amorça un mouvement de descente afin de l'esquiver : "Mais elle volait à plus de 600 mph (960 km/h)... Elle est venue de l'horizon jusqu'à notre appareil en 10 secondes environ. Avec les routes suivies, la collision semblait inévitable".
L'hélicoptère de Coyne descendit ainsi jusqu'à 500 mètres d'altitude : "A 1700 pieds (500 m environ), j'ai rassemblé toute mon énergie en prévision du choc avec l'autre engin. Il arrivait par notre droite. J'étais effrayé : nous disposions de si peu de temps pour réagir. La "chose" était terriblement rapide".
Alors qu'il était en train de signaler la présence de ce qu'il pensait être un avion à réaction à la base aérienne de Mansfield, au moment où la lumière se rapprocha rapidement, son émetteur radio est soudain tombé en panne de façon inexpliquée. C'est à ce moment que Coyne effectua sa manoeuvre de décrochage.
L'objet qui était à moins de 150 mètres de l'hélicoptère réduisit sa vitesse, estimée à 600 mph, à 100 mph (160 km/h) et s'est maintenu au-dessus de l'hélicoptère.
Il n'y eut pas d'impact. L'équipage leva les yeux et aperçut que l'objet s'était arrêté au-dessus d'eux. L'objet ne portait pas de marque visible ni rien qui ait pu ressembler à des hublots, des trous d'entrée ou d'autres orifices de ce genre. Il avait une coque grise, d'apparence métallique, d'environ 18 m de long, en forme de cigare caréné, portant sur l'avant une lumière rouge.
Le bord d'attaque était rougeoyant sur une courte distance à partir du nez et présentait un dôme central. Il y avait une lumière verte à l'arrière qui se reflétait également sur la coque. Coyne la décrit : "Cette lumière pivotait comme le faisceau d'un projecteur. Très brillante, elle traversait le dôme de notre hélicoptère, effaçant par son intensité les lueurs des voyants rouges de notre tableau de bord et rendant toutes choses vertes à l'intérieur".
L'objet survola l'hélicoptère pendant quelques secondes puis s'éloigna rapidement vers le nord. Le danger d'une collision étant écarté, Coyne se ressaisit et arrêta la descente de l'hélicoptère. C'est alors que l'équipage connut l'événement le plus extraordinaire de son vol.
Lorsque l'OVNI fonça sur l'appareil, ce dernier était à 1500 pieds sol (450 mètres) et continuait de descendre. Mais lorsque l'objet eut disparu vers le nord, l'altimètre indiquait une altitude de 3800 pieds sol (1150 mètres)... Autrement dit, l'hélicoptère de Coyne fut soulevé de 700 m par l'OVNI avant d'être relâché sans autre explication. Ceci était d'autant plus étrange que cette performance ne pouvait être accomplie en quelques secondes par ce type d'appareil.
Coyne quitta la zone pour éviter que l'objet de revienne sur lui et il constata dix minutes plus tard que sa radio de bord fonctionnait à nouveau.
De retour à sa base Coyne avoua que "s'il avait piloté l'hélicoptère seul, il n'aurait pas rapporté l'incident parce qu'il était par trop invraisemblable et n'aurait pas voulu risquer ainsi sa position de commandant d'unité". Les quatre témoins firent le même récit au commandant de la base ainsi qu'aux enquêteurs. Plusieurs explications furent suggérées : déplacement d'une masse d'air en même temps que l'hélicoptère, erreur de l'altimètre, plasma...
Pendant cet incident, 11 témoins divisés en trois groupes ont observé la scène à partir de leur voiture ou de leur domicile. Plusieurs membres de la famille Elias corroborent la présence d’une lumière verte persistante, intense et localisée autour de l’hélicoptère.
Aucune des hypothèses proposée n'explique la coupure de radio, la poursuite, la collision évitée de justesse et les lumières rouges et vertes localisées. De plus elles mettent en doute la compétence technique du pilote et l'appréciation visuelle des membres de l'équipage et des témoins au sol. Il est impensable qu'il s'agisse d'une méprise ou d'un phénomène météo.
La conclusion de P.J.Vollmer, chef d'opération de la FAA (Federal Aviation Administration) publiée dans le National Enquirer ne laissa planer aucun doute : "Cette observation d'OVNI ne ressemble à rien dont nous ayons eu à nous occuper auparavant. Nous nous demandons quelle sorte de machine volante et quelle sorte d'équipage pourraient passer de 960 à 160 km/h sans dommages apparents. Et, d'après les instruments de bord du capitaine [Coyne], son hélicoptère s'est élevé, à travers les couches d'air, à une vitesse qui est impossible".
A ce jour des centaines de cercles calcinés, roussis ou dénudés, des traces d'atterrissages, quelques traces de radioactivité et quelques menus fragments ont été découverts autour du monde. La plupart sont associés à l'observation rapprochée d'un OVNI, parfois à l'aplomb de sa position. Les témoins en question comprennent une majorité de personnes ayant une formation technique poussée - chercheurs, médecin, pilote de ligne, ingénieur - ainsi que des fermiers, des prêtres, des ouvriers, des enfants.
Si l'on se demande si les principaux acteurs ont prémédité leur "découverte", la réponse la plus probable est non. Elle devient une certitude lorsque l'objet devient une cible militaire ou explose en vol. Il ne fait aucun doute que les témoins ont assisté à des événements inexplicables, qu'aucun physicien ne peut aujourd'hui expliquer.
Concernant les marques au sol, lorsqu'il s'agit d'une observation de jour, les traces sont aussitôt décelées. Lorsqu'elle survient la nuit, c'est le lendemain qu'on les découvre, preuve qui renforce l'idée que le témoin ignorait son existence au moment des faits. Elles s'inscrivent habituellement dans un schéma type : soit une aire circulaire aplanie, déprimée, brûlée ou érodée, soit un anneau de plusieurs mètres de diamètre. De façon générale le site persiste durant des semaines, et parfois même des années.
Que pouvons-nous conclure de ces notifications ? Reprenons les mots même du capitaine Coyne : "J'ai toujours été sceptique quant aux OVNI, et j'espère encore qu'il y a quelque explication logique pour ce qui s'est passé [...]. Mais, pour la sécurité des vols futurs dans cette région, j'espère que quelqu'un apportera une explication".
A partir de ces quelques cas se dessine le prototype de la rencontre rapprochée du 2eme ype. Tous ces événements demeurent très étranges et défient toute description en terme physique. Nous devons toutefois déplorer le manque de données, tant qualitative que quantitative et la maigre quantité de photographies et de fragments qui nous permettraient d'élaborer de véritables hypothèses scientifiques telles que l'exigent la démarche des physiciens et des ingénieurs.
Les canulars
Lorsqu'il s'agit d'un canular, les acteurs avouent parfois leurs méfaits quelques années plus tard, exhibant l'objet de la supercherie et les moyens mis en action en reconstituant les faits. A d'autres occasions une analyse rigoureuse finit par révéler la supercherie.
Truquages photographiques
Nous verrons dans d'autres articles que parfois le truquage est grossier et l'oeil averti d'un photographe distingue directement la différence de contraste entre le soi-disant OVNI et l'environnement, les différences de mise au point, l'orientation des reflets ou des ombres, le défaut optique, etc. A défaut, une analyse des performances de l'appareil photographique ou de la caméra vidéo ou même une reconstitution des événements sur site permet de révéler les incohérences, comme l'impossibilité de certaines prises de vue, les ombres portées, la position ou le déplacement des objets, la poussière éventuellement soulevée, etc. Parfois le truquage est démasqué par un traitement d'image qui fait ressortir de fins détails (empreintes, fils tendus, etc.) ou des différences de contraste imperceptibles sur une photographie ordinaire. N'est pas contrefacteur qui veut !
Enfin, le plus souvent c'est l'auteur du canular lui-même ou son acolyte qui vend la mèche quelques années plus tard au grand désarroi des médias et des scientifiques qui auraient cru en cette histoire !
Ballons et dirigeables
Parfois, le canular n’est même pas remarqué. C’est ainsi qu’en décembre 1954 l’agence d’investigation du phénomène OVNI du gouvernement canadien mis sur pied le projet Magnet[6]. Elle lança une montgolfière sous laquelle était suspendue une nacelle lumineuse ressemblant à un OVNI afin de tester l’attitude du public. Comble de malchance, bien que le ballon stationna à plus de 1500 m au-dessus d’un stade de baseball et d’un théâtre drive-in personne ne le remarquera !
En revanche, le 1 avril 1989, à 5h du matin tous les Anglais habitant dans la banlieue de Londres virent l’OVNI lumineux à bord duquel avaient pris place le fameux aérostier Richard Branson et ses deux acolytes martiens ! A d'autres occasions, la supercherie est démasquée par le traitement informatique des images qui fait apparaître de fins détails (empreintes, fils tendus, etc.) imperceptibles sur une photographie ordinaire.
Les "crop circles"
Rappelez-vous le canular "topographique", ce champs de culture aplati découvert en 1986 dans le Hampshire en Angleterre, au lieu-dit "Devil's Punchbowl", le "Bol à punch du Diable"[7], situé près de Winchester (à ne pas confondre avec le site naturel du même nom situé en Californie).
Deux pensionnés, Doug Bower et Dave Chorley, tenaillés par l'envie de duper leur voisinage s'étaient amusés à aplanir une aire circulaire d'environ 20 m de diamètre, créant un motif géométrique au moyen d'une grande planche en bois qu'ils déplaçaient devant eux, la tenant au moyen de cordes. Ils pratiquaient cet exercice de nuit, à l'insu de leur femme. En quelques années ils réalisèrent plus de 200 motifs de ce type !
Ces "crop circles" comme on les appelle, ou cercles de culture ou encore les agriglyphes comme les ont baptisés pompeusement les scientifiques ont été découverts aux quatre coins du monde. Ils ont par la suite été exploités dans des campagnes publicitaires, notamment par AUDI. Imagination, quand tu nous tiens...
Si la majorité des "crop circles" sont de toute évidence des oeuvres artificielles créées par des personnes très habiles et intelligentes (la plupart représentent des logos ou des motifs de notre culture dont certains ont même été simulés au cours de compétitions), il reste cependant quelques cas où les scientifiques sont confrontés à d'étranges phénomènes (porc-épics compressés et ayant glissé sur les céréales, plants courbés mais non cassés, plants couchés en spirale, brûlures sur les plants ou dans les graines, etc) et des motifs parfois tellement complexes et précis qu'on se demande de quelle manière ils ont été réalisés car personne n'a encore vendu la mèche... L'énigme demeure donc, du moins partiellement. Je vous propose de consulter cet article pour plus de détails sur ce phénomène et ce qu'il faut en penser.
Source : http://www.astrosurf.com/luxorion/ovni-rencontre-2type2.htm