Une météorite retrouvée au Maroc est bien martienne

par damino - 1808 vues - 0 com.
Univers, étoile

Une météorite rare de sept kilos, dont la chute a été observée au Maroc l'été dernier, vient de Mars, confirment des experts qui qualifient la découverte de précieuse tant pour la science que pour les courtiers de ces objets célestes.

Un groupe de huit experts de la Meteoritical Society, instance scientifique internationale de référence, a analysé pendant plus d'un mois des fragments de cette météorite et a conclu qu'elle provenait bien de la planète rouge, a précisé à l'AFP Carl Agee, directeur de l'Institute of Meteoritics à l'université du Nouveau Mexique (sud-ouest des Etats-Unis).

"Cette découverte est d'une énorme importance en raison de la qualité de la météorite", qui n'a pas été contaminée par un long séjour sur notre planète avant d'être découverte, a-t-il expliqué.

La rareté de cette roche martienne, baptisée Tissint, réside dans le fait qu'elle est la cinquième dans les annales dont la chute a été observée par des témoins, a souligné Carl Agee, dont l'institut vient d'en acquérir un morceau de 108 grammes.

Cette météorite provient de débris qui ont résulté de l'impact, dans le passé, d'un astéroïde qui s'est écrasé sur Mars. Ces débris peuvent voyager dans l'espace pendant des millions d'années avant de se retrouver sur la Terre.

Selon le rapport de la Meteoritical Society, "le 18 juillet, vers deux heures du matin, une boule de feu a été observée par plusieurs personnes dans la région de la vallée d'Oued Drâa à l'est de Tata au Maroc". "Un des témoins oculaires, M. Aznid Lhou, a dit que cette boule était d'abord de couleur jaune avant de tourner au vert, éclairant toute la région et se brisant apparemment en deux morceaux".

Ces témoins ont également indiqué qu'un "double bang supersonique" avait retenti.

Les morceaux de la météorite, dont le poids varie d'un à 987 grammes, ont été retrouvés éparpillés, fin 2011, par des nomades qui les ont vendus à des courtiers. Ces derniers les ont revendus à des collectionneurs privés et des musées du monde entier à des prix variant de 500 à 1.000 dollars le gramme, selon Carl Agee.

La valeur de cette météorite est ainsi de 10 à 20 fois supérieure à celle de l'or, dont le gramme s'échange à environ 56 dollars.

Carl Agee a souligné que des météorites venant de Mars, tombant sur la Terre, ne sont observés que tous les 50 ans en moyenne, la dernière fois en 1962 au Nigeria et la première fois en France en 1815 près du village de Chassigny (Haute-Marne). Cette météorite française est "probablement l'une des plus chères sur le marché", selon lui.

Au total, une centaine de météorites d'origine martienne ont été retrouvées à ce jour.

Il a fallu attendre les années 1980 pour que la science soit en mesure de déterminer l'origine de ces météorites qui contiennent de petites poches de gaz atmosphériques piégés à l'intérieur.

Ces gaz sont libérés en chauffant la roche dans les laboratoires afin d'en analyser la composition qui, dans ce cas, est identique aux analyses et mesures effectuées par les différentes sondes s'étant posées sur Mars ou évoluant sur son orbite.

"Toutes les planète du système solaire comme Vénus, Mars ou la Terre ont des atmosphères différentes et uniques un peu comme une empreinte digitale", explique M. Agee.

Les météorites d'origine martienne et lunaire sont rares. La plupart proviennent de la ceinture d'astéroïdes, région du système solaire située entre Mars et Jupiter. Fin 2011, la Meteoritical Society, avait répertorié quelque 41.600 météorites, un nombre qui augmente d’environ 1.500 chaque année.

Une météorite rare de sept kilos, dont la chute a été observée au Maroc l'été dernier, vient de Mars, confirment des experts qui qualifient la découverte de précieuse tant pour la science que pour les courtiers de ces objets célestes.

Un groupe de huit experts de la Meteoritical Society, instance scientifique internationale de référence, a analysé pendant plus d'un mois des fragments de cette météorite et a conclu qu'elle provenait bien de la planète rouge, a précisé à l'AFP Carl Agee, directeur de l'Institute of Meteoritics à l'université du Nouveau Mexique (sud-ouest des Etats-Unis).

"Cette découverte est d'une énorme importance en raison de la qualité de la météorite", qui n'a pas été contaminée par un long séjour sur notre planète avant d'être découverte, a-t-il expliqué.

La rareté de cette roche martienne, baptisée Tissint, réside dans le fait qu'elle est la cinquième dans les annales dont la chute a été observée par des témoins, a souligné Carl Agee, dont l'institut vient d'en acquérir un morceau de 108 grammes.

Cette météorite provient de débris qui ont résulté de l'impact, dans le passé, d'un astéroïde qui s'est écrasé sur Mars. Ces débris peuvent voyager dans l'espace pendant des millions d'années avant de se retrouver sur la Terre.

Selon le rapport de la Meteoritical Society, "le 18 juillet, vers deux heures du matin, une boule de feu a été observée par plusieurs personnes dans la région de la vallée d'Oued Drâa à l'est de Tata au Maroc". "Un des témoins oculaires, M. Aznid Lhou, a dit que cette boule était d'abord de couleur jaune avant de tourner au vert, éclairant toute la région et se brisant apparemment en deux morceaux".

Ces témoins ont également indiqué qu'un "double bang supersonique" avait retenti.

Les morceaux de la météorite, dont le poids varie d'un à 987 grammes, ont été retrouvés éparpillés, fin 2011, par des nomades qui les ont vendus à des courtiers. Ces derniers les ont revendus à des collectionneurs privés et des musées du monde entier à des prix variant de 500 à 1.000 dollars le gramme, selon Carl Agee.

La valeur de cette météorite est ainsi de 10 à 20 fois supérieure à celle de l'or, dont le gramme s'échange à environ 56 dollars.

Carl Agee a souligné que des météorites venant de Mars, tombant sur la Terre, ne sont observés que tous les 50 ans en moyenne, la dernière fois en 1962 au Nigeria et la première fois en France en 1815 près du village de Chassigny (Haute-Marne). Cette météorite française est "probablement l'une des plus chères sur le marché", selon lui.

Au total, une centaine de météorites d'origine martienne ont été retrouvées à ce jour.

Il a fallu attendre les années 1980 pour que la science soit en mesure de déterminer l'origine de ces météorites qui contiennent de petites poches de gaz atmosphériques piégés à l'intérieur.

Ces gaz sont libérés en chauffant la roche dans les laboratoires afin d'en analyser la composition qui, dans ce cas, est identique aux analyses et mesures effectuées par les différentes sondes s'étant posées sur Mars ou évoluant sur son orbite.

"Toutes les planète du système solaire comme Vénus, Mars ou la Terre ont des atmosphères différentes et uniques un peu comme une empreinte digitale", explique M. Agee.

Les météorites d'origine martienne et lunaire sont rares. La plupart proviennent de la ceinture d'astéroïdes, région du système solaire située entre Mars et Jupiter. Fin 2011, la Meteoritical Society, avait répertorié quelque 41.600 météorites, un nombre qui augmente d’environ 1.500 chaque année.

Une météorite rare de sept kilos, dont la chute a été observée au Maroc l'été dernier, vient de Mars, confirment des experts qui qualifient la découverte de précieuse tant pour la science que pour les courtiers de ces objets célestes.

Un groupe de huit experts de la Meteoritical Society, instance scientifique internationale de référence, a analysé pendant plus d'un mois des fragments de cette météorite et a conclu qu'elle provenait bien de la planète rouge, a précisé à l'AFP Carl Agee, directeur de l'Institute of Meteoritics à l'université du Nouveau Mexique (sud-ouest des Etats-Unis).

"Cette découverte est d'une énorme importance en raison de la qualité de la météorite", qui n'a pas été contaminée par un long séjour sur notre planète avant d'être découverte, a-t-il expliqué.

La rareté de cette roche martienne, baptisée Tissint, réside dans le fait qu'elle est la cinquième dans les annales dont la chute a été observée par des témoins, a souligné Carl Agee, dont l'institut vient d'en acquérir un morceau de 108 grammes.

Cette météorite provient de débris qui ont résulté de l'impact, dans le passé, d'un astéroïde qui s'est écrasé sur Mars. Ces débris peuvent voyager dans l'espace pendant des millions d'années avant de se retrouver sur la Terre.

Selon le rapport de la Meteoritical Society, "le 18 juillet, vers deux heures du matin, une boule de feu a été observée par plusieurs personnes dans la région de la vallée d'Oued Drâa à l'est de Tata au Maroc". "Un des témoins oculaires, M. Aznid Lhou, a dit que cette boule était d'abord de couleur jaune avant de tourner au vert, éclairant toute la région et se brisant apparemment en deux morceaux".

Ces témoins ont également indiqué qu'un "double bang supersonique" avait retenti.

Les morceaux de la météorite, dont le poids varie d'un à 987 grammes, ont été retrouvés éparpillés, fin 2011, par des nomades qui les ont vendus à des courtiers. Ces derniers les ont revendus à des collectionneurs privés et des musées du monde entier à des prix variant de 500 à 1.000 dollars le gramme, selon Carl Agee.

La valeur de cette météorite est ainsi de 10 à 20 fois supérieure à celle de l'or, dont le gramme s'échange à environ 56 dollars.

Carl Agee a souligné que des météorites venant de Mars, tombant sur la Terre, ne sont observés que tous les 50 ans en moyenne, la dernière fois en 1962 au Nigeria et la première fois en France en 1815 près du village de Chassigny (Haute-Marne). Cette météorite française est "probablement l'une des plus chères sur le marché", selon lui.

Au total, une centaine de météorites d'origine martienne ont été retrouvées à ce jour.

Il a fallu attendre les années 1980 pour que la science soit en mesure de déterminer l'origine de ces météorites qui contiennent de petites poches de gaz atmosphériques piégés à l'intérieur.

Ces gaz sont libérés en chauffant la roche dans les laboratoires afin d'en analyser la composition qui, dans ce cas, est identique aux analyses et mesures effectuées par les différentes sondes s'étant posées sur Mars ou évoluant sur son orbite.

"Toutes les planète du système solaire comme Vénus, Mars ou la Terre ont des atmosphères différentes et uniques un peu comme une empreinte digitale", explique M. Agee.

Les météorites d'origine martienne et lunaire sont rares. La plupart proviennent de la ceinture d'astéroïdes, région du système solaire située entre Mars et Jupiter. Fin 2011, la Meteoritical Society, avait répertorié quelque 41.600 météorites, un nombre qui augmente d’environ 1.500 chaque année.

Une météorite rare de sept kilos, dont la chute a été observée au Maroc l'été dernier, vient de Mars, confirment des experts qui qualifient la découverte de précieuse tant pour la science que pour les courtiers de ces objets célestes.

Un groupe de huit experts de la Meteoritical Society, instance scientifique internationale de référence, a analysé pendant plus d'un mois des fragments de cette météorite et a conclu qu'elle provenait bien de la planète rouge, a précisé à l'AFP Carl Agee, directeur de l'Institute of Meteoritics à l'université du Nouveau Mexique (sud-ouest des Etats-Unis).

"Cette découverte est d'une énorme importance en raison de la qualité de la météorite", qui n'a pas été contaminée par un long séjour sur notre planète avant d'être découverte, a-t-il expliqué.

La rareté de cette roche martienne, baptisée Tissint, réside dans le fait qu'elle est la cinquième dans les annales dont la chute a été observée par des témoins, a souligné Carl Agee, dont l'institut vient d'en acquérir un morceau de 108 grammes.

Cette météorite provient de débris qui ont résulté de l'impact, dans le passé, d'un astéroïde qui s'est écrasé sur Mars. Ces débris peuvent voyager dans l'espace pendant des millions d'années avant de se retrouver sur la Terre.

Selon le rapport de la Meteoritical Society, "le 18 juillet, vers deux heures du matin, une boule de feu a été observée par plusieurs personnes dans la région de la vallée d'Oued Drâa à l'est de Tata au Maroc". "Un des témoins oculaires, M. Aznid Lhou, a dit que cette boule était d'abord de couleur jaune avant de tourner au vert, éclairant toute la région et se brisant apparemment en deux morceaux".

Ces témoins ont également indiqué qu'un "double bang supersonique" avait retenti.

Les morceaux de la météorite, dont le poids varie d'un à 987 grammes, ont été retrouvés éparpillés, fin 2011, par des nomades qui les ont vendus à des courtiers. Ces derniers les ont revendus à des collectionneurs privés et des musées du monde entier à des prix variant de 500 à 1.000 dollars le gramme, selon Carl Agee.

La valeur de cette météorite est ainsi de 10 à 20 fois supérieure à celle de l'or, dont le gramme s'échange à environ 56 dollars.

Carl Agee a souligné que des météorites venant de Mars, tombant sur la Terre, ne sont observés que tous les 50 ans en moyenne, la dernière fois en 1962 au Nigeria et la première fois en France en 1815 près du village de Chassigny (Haute-Marne). Cette météorite française est "probablement l'une des plus chères sur le marché", selon lui.

Au total, une centaine de météorites d'origine martienne ont été retrouvées à ce jour.

Il a fallu attendre les années 1980 pour que la science soit en mesure de déterminer l'origine de ces météorites qui contiennent de petites poches de gaz atmosphériques piégés à l'intérieur.

Ces gaz sont libérés en chauffant la roche dans les laboratoires afin d'en analyser la composition qui, dans ce cas, est identique aux analyses et mesures effectuées par les différentes sondes s'étant posées sur Mars ou évoluant sur son orbite.

"Toutes les planète du système solaire comme Vénus, Mars ou la Terre ont des atmosphères différentes et uniques un peu comme une empreinte digitale", explique M. Agee.

Les météorites d'origine martienne et lunaire sont rares. La plupart proviennent de la ceinture d'astéroïdes, région du système solaire située entre Mars et Jupiter. Fin 2011, la Meteoritical Society, avait répertorié quelque 41.600 météorites, un nombre qui augmente d’environ 1.500 chaque année.

Une météorite rare de sept kilos, dont la chute a été observée au Maroc l'été dernier, vient de Mars, confirment des experts qui qualifient la découverte de précieuse tant pour la science que pour les courtiers de ces objets célestes.

Un groupe de huit experts de la Meteoritical Society, instance scientifique internationale de référence, a analysé pendant plus d'un mois des fragments de cette météorite et a conclu qu'elle provenait bien de la planète rouge, a précisé à l'AFP Carl Agee, directeur de l'Institute of Meteoritics à l'université du Nouveau Mexique (sud-ouest des Etats-Unis).

"Cette découverte est d'une énorme importance en raison de la qualité de la météorite", qui n'a pas été contaminée par un long séjour sur notre planète avant d'être découverte, a-t-il expliqué.

La rareté de cette roche martienne, baptisée Tissint, réside dans le fait qu'elle est la cinquième dans les annales dont la chute a été observée par des témoins, a souligné Carl Agee, dont l'institut vient d'en acquérir un morceau de 108 grammes.

Cette météorite provient de débris qui ont résulté de l'impact, dans le passé, d'un astéroïde qui s'est écrasé sur Mars. Ces débris peuvent voyager dans l'espace pendant des millions d'années avant de se retrouver sur la Terre.

Selon le rapport de la Meteoritical Society, "le 18 juillet, vers deux heures du matin, une boule de feu a été observée par plusieurs personnes dans la région de la vallée d'Oued Drâa à l'est de Tata au Maroc". "Un des témoins oculaires, M. Aznid Lhou, a dit que cette boule était d'abord de couleur jaune avant de tourner au vert, éclairant toute la région et se brisant apparemment en deux morceaux".

Ces témoins ont également indiqué qu'un "double bang supersonique" avait retenti.

Les morceaux de la météorite, dont le poids varie d'un à 987 grammes, ont été retrouvés éparpillés, fin 2011, par des nomades qui les ont vendus à des courtiers. Ces derniers les ont revendus à des collectionneurs privés et des musées du monde entier à des prix variant de 500 à 1.000 dollars le gramme, selon Carl Agee.

La valeur de cette météorite est ainsi de 10 à 20 fois supérieure à celle de l'or, dont le gramme s'échange à environ 56 dollars.

Carl Agee a souligné que des météorites venant de Mars, tombant sur la Terre, ne sont observés que tous les 50 ans en moyenne, la dernière fois en 1962 au Nigeria et la première fois en France en 1815 près du village de Chassigny (Haute-Marne). Cette météorite française est "probablement l'une des plus chères sur le marché", selon lui.

Au total, une centaine de météorites d'origine martienne ont été retrouvées à ce jour.

Il a fallu attendre les années 1980 pour que la science soit en mesure de déterminer l'origine de ces météorites qui contiennent de petites poches de gaz atmosphériques piégés à l'intérieur.

Ces gaz sont libérés en chauffant la roche dans les laboratoires afin d'en analyser la composition qui, dans ce cas, est identique aux analyses et mesures effectuées par les différentes sondes s'étant posées sur Mars ou évoluant sur son orbite.

"Toutes les planète du système solaire comme Vénus, Mars ou la Terre ont des atmosphères différentes et uniques un peu comme une empreinte digitale", explique M. Agee.

Les météorites d'origine martienne et lunaire sont rares. La plupart proviennent de la ceinture d'astéroïdes, région du système solaire située entre Mars et Jupiter. Fin 2011, la Meteoritical Society, avait répertorié quelque 41.600 météorites, un nombre qui augmente d’environ 1.500 chaque année.

Une météorite rare de sept kilos, dont la chute a été observée au Maroc l'été dernier, vient de Mars, confirment des experts qui qualifient la découverte de précieuse tant pour la science que pour les courtiers de ces objets célestes.

Un groupe de huit experts de la Meteoritical Society, instance scientifique internationale de référence, a analysé pendant plus d'un mois des fragments de cette météorite et a conclu qu'elle provenait bien de la planète rouge, a précisé à l'AFP Carl Agee, directeur de l'Institute of Meteoritics à l'université du Nouveau Mexique (sud-ouest des Etats-Unis).

"Cette découverte est d'une énorme importance en raison de la qualité de la météorite", qui n'a pas été contaminée par un long séjour sur notre planète avant d'être découverte, a-t-il expliqué.

La rareté de cette roche martienne, baptisée Tissint, réside dans le fait qu'elle est la cinquième dans les annales dont la chute a été observée par des témoins, a souligné Carl Agee, dont l'institut vient d'en acquérir un morceau de 108 grammes.

Cette météorite provient de débris qui ont résulté de l'impact, dans le passé, d'un astéroïde qui s'est écrasé sur Mars. Ces débris peuvent voyager dans l'espace pendant des millions d'années avant de se retrouver sur la Terre.

Selon le rapport de la Meteoritical Society, "le 18 juillet, vers deux heures du matin, une boule de feu a été observée par plusieurs personnes dans la région de la vallée d'Oued Drâa à l'est de Tata au Maroc". "Un des témoins oculaires, M. Aznid Lhou, a dit que cette boule était d'abord de couleur jaune avant de tourner au vert, éclairant toute la région et se brisant apparemment en deux morceaux".

Ces témoins ont également indiqué qu'un "double bang supersonique" avait retenti.

Les morceaux de la météorite, dont le poids varie d'un à 987 grammes, ont été retrouvés éparpillés, fin 2011, par des nomades qui les ont vendus à des courtiers. Ces derniers les ont revendus à des collectionneurs privés et des musées du monde entier à des prix variant de 500 à 1.000 dollars le gramme, selon Carl Agee.

La valeur de cette météorite est ainsi de 10 à 20 fois supérieure à celle de l'or, dont le gramme s'échange à environ 56 dollars.

Carl Agee a souligné que des météorites venant de Mars, tombant sur la Terre, ne sont observés que tous les 50 ans en moyenne, la dernière fois en 1962 au Nigeria et la première fois en France en 1815 près du village de Chassigny (Haute-Marne). Cette météorite française est "probablement l'une des plus chères sur le marché", selon lui.

Au total, une centaine de météorites d'origine martienne ont été retrouvées à ce jour.

Il a fallu attendre les années 1980 pour que la science soit en mesure de déterminer l'origine de ces météorites qui contiennent de petites poches de gaz atmosphériques piégés à l'intérieur.

Ces gaz sont libérés en chauffant la roche dans les laboratoires afin d'en analyser la composition qui, dans ce cas, est identique aux analyses et mesures effectuées par les différentes sondes s'étant posées sur Mars ou évoluant sur son orbite.

"Toutes les planète du système solaire comme Vénus, Mars ou la Terre ont des atmosphères différentes et uniques un peu comme une empreinte digitale", explique M. Agee.

Les météorites d'origine martienne et lunaire sont rares. La plupart proviennent de la ceinture d'astéroïdes, région du système solaire située entre Mars et Jupiter. Fin 2011, la Meteoritical Society, avait répertorié quelque 41.600 météorites, un nombre qui augmente d’environ 1.500 chaque année.

Une météorite rare de sept kilos, dont la chute a été observée au Maroc l'été dernier, vient de Mars, confirment des experts qui qualifient la découverte de précieuse tant pour la science que pour les courtiers de ces objets célestes.

Un groupe de huit experts de la Meteoritical Society, instance scientifique internationale de référence, a analysé pendant plus d'un mois des fragments de cette météorite et a conclu qu'elle provenait bien de la planète rouge, a précisé à l'AFP Carl Agee, directeur de l'Institute of Meteoritics à l'université du Nouveau Mexique (sud-ouest des Etats-Unis).

"Cette découverte est d'une énorme importance en raison de la qualité de la météorite", qui n'a pas été contaminée par un long séjour sur notre planète avant d'être découverte, a-t-il expliqué.

La rareté de cette roche martienne, baptisée Tissint, réside dans le fait qu'elle est la cinquième dans les annales dont la chute a été observée par des témoins, a souligné Carl Agee, dont l'institut vient d'en acquérir un morceau de 108 grammes.

Cette météorite provient de débris qui ont résulté de l'impact, dans le passé, d'un astéroïde qui s'est écrasé sur Mars. Ces débris peuvent voyager dans l'espace pendant des millions d'années avant de se retrouver sur la Terre.

Selon le rapport de la Meteoritical Society, "le 18 juillet, vers deux heures du matin, une boule de feu a été observée par plusieurs personnes dans la région de la vallée d'Oued Drâa à l'est de Tata au Maroc". "Un des témoins oculaires, M. Aznid Lhou, a dit que cette boule était d'abord de couleur jaune avant de tourner au vert, éclairant toute la région et se brisant apparemment en deux morceaux".

Ces témoins ont également indiqué qu'un "double bang supersonique" avait retenti.

Les morceaux de la météorite, dont le poids varie d'un à 987 grammes, ont été retrouvés éparpillés, fin 2011, par des nomades qui les ont vendus à des courtiers. Ces derniers les ont revendus à des collectionneurs privés et des musées du monde entier à des prix variant de 500 à 1.000 dollars le gramme, selon Carl Agee.

La valeur de cette météorite est ainsi de 10 à 20 fois supérieure à celle de l'or, dont le gramme s'échange à environ 56 dollars.

Carl Agee a souligné que des météorites venant de Mars, tombant sur la Terre, ne sont observés que tous les 50 ans en moyenne, la dernière fois en 1962 au Nigeria et la première fois en France en 1815 près du village de Chassigny (Haute-Marne). Cette météorite française est "probablement l'une des plus chères sur le marché", selon lui.

Au total, une centaine de météorites d'origine martienne ont été retrouvées à ce jour.

Il a fallu attendre les années 1980 pour que la science soit en mesure de déterminer l'origine de ces météorites qui contiennent de petites poches de gaz atmosphériques piégés à l'intérieur.

Ces gaz sont libérés en chauffant la roche dans les laboratoires afin d'en analyser la composition qui, dans ce cas, est identique aux analyses et mesures effectuées par les différentes sondes s'étant posées sur Mars ou évoluant sur son orbite.

"Toutes les planète du système solaire comme Vénus, Mars ou la Terre ont des atmosphères différentes et uniques un peu comme une empreinte digitale", explique M. Agee.

Les météorites d'origine martienne et lunaire sont rares. La plupart proviennent de la ceinture d'astéroïdes, région du système solaire située entre Mars et Jupiter. Fin 2011, la Meteoritical Society, avait répertorié quelque 41.600 météorites, un nombre qui augmente d’environ 1.500 chaque année.

Une météorite rare de sept kilos, dont la chute a été observée au Maroc l'été dernier, vient de Mars, confirment des experts qui qualifient la découverte de précieuse tant pour la science que pour les courtiers de ces objets célestes.

Un groupe de huit experts de la Meteoritical Society, instance scientifique internationale de référence, a analysé pendant plus d'un mois des fragments de cette météorite et a conclu qu'elle provenait bien de la planète rouge, a précisé à l'AFP Carl Agee, directeur de l'Institute of Meteoritics à l'université du Nouveau Mexique (sud-ouest des Etats-Unis).

"Cette découverte est d'une énorme importance en raison de la qualité de la météorite", qui n'a pas été contaminée par un long séjour sur notre planète avant d'être découverte, a-t-il expliqué.

La rareté de cette roche martienne, baptisée Tissint, réside dans le fait qu'elle est la cinquième dans les annales dont la chute a été observée par des témoins, a souligné Carl Agee, dont l'institut vient d'en acquérir un morceau de 108 grammes.

Cette météorite provient de débris qui ont résulté de l'impact, dans le passé, d'un astéroïde qui s'est écrasé sur Mars. Ces débris peuvent voyager dans l'espace pendant des millions d'années avant de se retrouver sur la Terre.

Selon le rapport de la Meteoritical Society, "le 18 juillet, vers deux heures du matin, une boule de feu a été observée par plusieurs personnes dans la région de la vallée d'Oued Drâa à l'est de Tata au Maroc". "Un des témoins oculaires, M. Aznid Lhou, a dit que cette boule était d'abord de couleur jaune avant de tourner au vert, éclairant toute la région et se brisant apparemment en deux morceaux".

Ces témoins ont également indiqué qu'un "double bang supersonique" avait retenti.

Les morceaux de la météorite, dont le poids varie d'un à 987 grammes, ont été retrouvés éparpillés, fin 2011, par des nomades qui les ont vendus à des courtiers. Ces derniers les ont revendus à des collectionneurs privés et des musées du monde entier à des prix variant de 500 à 1.000 dollars le gramme, selon Carl Agee.

La valeur de cette météorite est ainsi de 10 à 20 fois supérieure à celle de l'or, dont le gramme s'échange à environ 56 dollars.

Carl Agee a souligné que des météorites venant de Mars, tombant sur la Terre, ne sont observés que tous les 50 ans en moyenne, la dernière fois en 1962 au Nigeria et la première fois en France en 1815 près du village de Chassigny (Haute-Marne). Cette météorite française est "probablement l'une des plus chères sur le marché", selon lui.

Au total, une centaine de météorites d'origine martienne ont été retrouvées à ce jour.

Il a fallu attendre les années 1980 pour que la science soit en mesure de déterminer l'origine de ces météorites qui contiennent de petites poches de gaz atmosphériques piégés à l'intérieur.

Ces gaz sont libérés en chauffant la roche dans les laboratoires afin d'en analyser la composition qui, dans ce cas, est identique aux analyses et mesures effectuées par les différentes sondes s'étant posées sur Mars ou évoluant sur son orbite.

"Toutes les planète du système solaire comme Vénus, Mars ou la Terre ont des atmosphères différentes et uniques un peu comme une empreinte digitale", explique M. Agee.

Les météorites d'origine martienne et lunaire sont rares. La plupart proviennent de la ceinture d'astéroïdes, région du système solaire située entre Mars et Jupiter. Fin 2011, la Meteoritical Society, avait répertorié quelque 41.600 météorites, un nombre qui augmente d’environ 1.500 chaque année.

Une météorite rare de sept kilos, dont la chute a été observée au Maroc l'été dernier, vient de Mars, confirment des experts qui qualifient la découverte de précieuse tant pour la science que pour les courtiers de ces objets célestes.

Un groupe de huit experts de la Meteoritical Society, instance scientifique internationale de référence, a analysé pendant plus d'un mois des fragments de cette météorite et a conclu qu'elle provenait bien de la planète rouge, a précisé à l'AFP Carl Agee, directeur de l'Institute of Meteoritics à l'université du Nouveau Mexique (sud-ouest des Etats-Unis).

"Cette découverte est d'une énorme importance en raison de la qualité de la météorite", qui n'a pas été contaminée par un long séjour sur notre planète avant d'être découverte, a-t-il expliqué.

La rareté de cette roche martienne, baptisée Tissint, réside dans le fait qu'elle est la cinquième dans les annales dont la chute a été observée par des témoins, a souligné Carl Agee, dont l'institut vient d'en acquérir un morceau de 108 grammes.

Cette météorite provient de débris qui ont résulté de l'impact, dans le passé, d'un astéroïde qui s'est écrasé sur Mars. Ces débris peuvent voyager dans l'espace pendant des millions d'années avant de se retrouver sur la Terre.

Selon le rapport de la Meteoritical Society, "le 18 juillet, vers deux heures du matin, une boule de feu a été observée par plusieurs personnes dans la région de la vallée d'Oued Drâa à l'est de Tata au Maroc". "Un des témoins oculaires, M. Aznid Lhou, a dit que cette boule était d'abord de couleur jaune avant de tourner au vert, éclairant toute la région et se brisant apparemment en deux morceaux".

Ces témoins ont également indiqué qu'un "double bang supersonique" avait retenti.

Les morceaux de la météorite, dont le poids varie d'un à 987 grammes, ont été retrouvés éparpillés, fin 2011, par des nomades qui les ont vendus à des courtiers. Ces derniers les ont revendus à des collectionneurs privés et des musées du monde entier à des prix variant de 500 à 1.000 dollars le gramme, selon Carl Agee.

La valeur de cette météorite est ainsi de 10 à 20 fois supérieure à celle de l'or, dont le gramme s'échange à environ 56 dollars.

Carl Agee a souligné que des météorites venant de Mars, tombant sur la Terre, ne sont observés que tous les 50 ans en moyenne, la dernière fois en 1962 au Nigeria et la première fois en France en 1815 près du village de Chassigny (Haute-Marne). Cette météorite française est "probablement l'une des plus chères sur le marché", selon lui.

Au total, une centaine de météorites d'origine martienne ont été retrouvées à ce jour.

Il a fallu attendre les années 1980 pour que la science soit en mesure de déterminer l'origine de ces météorites qui contiennent de petites poches de gaz atmosphériques piégés à l'intérieur.

Ces gaz sont libérés en chauffant la roche dans les laboratoires afin d'en analyser la composition qui, dans ce cas, est identique aux analyses et mesures effectuées par les différentes sondes s'étant posées sur Mars ou évoluant sur son orbite.

"Toutes les planète du système solaire comme Vénus, Mars ou la Terre ont des atmosphères différentes et uniques un peu comme une empreinte digitale", explique M. Agee.

Les météorites d'origine martienne et lunaire sont rares. La plupart proviennent de la ceinture d'astéroïdes, région du système solaire située entre Mars et Jupiter. Fin 2011, la Meteoritical Society, avait répertorié quelque 41.600 météorites, un nombre qui augmente d’environ 1.500 chaque année.

Source : http://www.lemainelibre.fr/actualite/une-meteorite-retrouvee-au-maroc-est-bien-martienne-19-01-2012-27315

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