VAISSEAUX FANTÔMES Une énigme qui n’a toujours pas été résolue
Aucune explication sérieuse explique ces abandons de navires. Avec les navires, l’absence totale de trace de violence exclut l’hypothèse d’actes de piraterie ou de mutinerie. Il est impossible de relater toutes les disparitions tant ces énigmes sont nombreuses y compris à notre époque. Des navires et autres engins modernes connaissent encore ce type d’aventure. |
LE MARY CELESTE |
Le 5 décembre 1872, le cargo anglais Dei Gratia repère un brick qui dérive dans l’Atlantique Nord à mi-chemin entre les Açores et le Portugal. Le voilier zigzague curieusement et presque toutes ses voiles sont carguées. Le capitaine du cargo, David Moorehouse, s’aperçoit avec stupeur qu’il s’agit de la Mary Celeste. Fait du hasard, il a dîné à bord du voilier avec son capitaine, Benjamin Spooner Briggs, un mois plus tôt. |
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Quelques jours après, la Mary Celeste appareillait pour Gênes avec une cargaison de 1 700 tonneaux d’alcool pur. A bord, en plus des sept hommes d’équipage, se trouvaient la femme du capitaine et sa petite-fille de deux ans. |
Le compas et les autres instruments de navigation sont cassés ou ont disparu. La dernière mention portée au journal de bord date du 25 novembre. Apparemment, le navire dérive depuis près de deux semaines et a parcouru environ 500 milles. |
LE HOLLANDAIS VOLANT |
La légende du vaisseau fantôme, commandé par un "Hollandais volant" date du XVIIème siècle mais varie selon les versions. Dans l'une d'elles, le maître du navire le Hollandais est un capitaine nommé Barent Fokke qui vit à Amsterdam vers les années 1650. Ses colères et ses orgies sont célèbres auprès des marins, et son vaisseau est le plus rapide de tous il va d'Amsterdam à Batavia en trois mois, exploit exceptionnel à l'époque, qui ne peut s'expliquer, pour beaucoup, que par l'intervention du diable. Aussi, lorsqu'il disparaît en mer, une tradition naît qui lui fait parcourir à jamais les océans, maudit pour avoir passé un pacte semblable à celui de Faust. Dans d'autres versions, le triste héros de la légende est le capitaine Van der Staten, qui subit la même punition pour avoir appareillé un vendredi saint. |
LE BOMBARDIER LANCASTER |
En 2004 un bombardier du type Lancaster de la 2ème guerre mondiale avait déjà été vu par des témoins et détecté au radar en 2004, puis à nouveau en 2006, aperçu à Bankfield (Grande Bretagne). De nombreux témoins ont vu ce bombardier de la deuxième guerre mondiale voler à basse altitude au-dessus d'une piste d'atterrissage de secours utilisée pendant la guerre. L'avion ne produisait aucun bruit (alors que le Lancaster fait un bruit infernal) et les témoins affirment qu'il ne s’agissait pas d'un avion de transport moderne. |
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On a montré aux témoins des images d'avions modernes de RAF de type "Hercules" et ils ont confirmé que ce n'était pas ce qu'ils avaient vu, faisant bien la différence avec le double aileron arrière du Lancasters et celui de l'Hercule. De plus la RAF n'a pas "droit de survol" à basse altitude au dessus des lieux denses d'habitations comme Barnoldswick. |
Rolls-Royce a confirmé que sa compagnie possédait encore des Spitfires (avions de type "chasseurs"), mais ils sont beaucoup plus petits que le Lancaster et leurs derniers vols dans la région de Barnoldswick date d'octobre 2004. Ce que les témoins ont vu ressemblait à une scène de la deuxième Guerre mondiale et un "ancien" s'est rappelé qu'un Lancaster avait fait ici un atterrissage d'urgence pendant la dernière guerre. M.Cooper qui enquête sur le dossier semble croire que les témoins sont tous "équilibrés" et crédibles; il invite n'importe qui, pouvant apporter toute autre lumière sur le mystère à le contacter. |
LE GREAT EASTERN |
Le Great Eastern est sans aucun doute l’un des plus grands navires qui aient jamais vogué sur les sept océans. Ce fut aussi l’un des plus marqués par la fatalité. La malédiction s’était abattue sur lui avant même sa mise à flots sous la forme du fantôme de l’un des ouvriers qui l’avaient construit et qui était mort emmuré dans sa cale. |
Avec son tirant d’eau estimé à 100 000 tonnes, il pouvait faire rougir de honte tout ce qui flottait. Dix énormes chaudières alimentées par 115 fournaises activaient deux roues à aubes de 10 mètres et un propulseur d’appoint de 7 mètres. La fumée s’échappait par cinq cheminées. Le Great Eastern avait un matériel auxiliaire qui aurait pu équiper une petite armada – dont deux ancres de cinq tonnes chacune, six mâts immenses et son propre générateur de gaz. |
AUTRES VAISSEAUX FANTÔMES |
En 1812 le deux-mâts carré le Yarmouth a probablement fait naufrage alors qu'il revenait des Caraïbes. Il a tout simplement «disparu». Un an plus tard, la légende veut que le navire entra au port de Yarmouth et jeta l'ancre sur le quai. Les gens de cette ville furent stupéfaits par cette apparition du deux-mâts qu'ils croyaient perdu en mer. Quelques hommes de Yarmouth allèrent à la rencontre du bateau, mais le deux-mâts disparaissait aussitôt qu'on s'en approchait trop. On dit que cette apparition fantomatique du Yarmouth avait lieu à la même période chaque année, et qu'elle devenait de plus en plus faible, jusqu'en 1872, puis elle s'arrêta complètement. Source : http://secretebase.free.fr/etrange/fantomes/vaisseaux/vaisseaux.htm |