Gary McKinnon / Antigravitée
02 Apr 2014, 16:57 par damino - 5798 vues - 0 com.
temoignage d'un ufologue
Gary McKinnon, né à Glasgow en 1966, également connu sous le nom Solo, est un hacker britannique accusé par les États-Unis d'avoir réussi le « plus grand piratage informatique militaire de tous les temps.
Cet administrateur système de 42 ans, au chômage, est accusé d'avoir pénétré dans 97 ordinateurs des États-Unis appartenant à l'armée et à la NASA, en 2001 et 2002. Les réseaux informatiques américains qu'on l'accuse d'avoir pénétrés appartenaient à la NASA, à l'armée, à la marine, au Ministère de la Défense,à l'armée de l'air, ainsi qu'au Pentagone.
Les États-Unis estiment que les dépenses nécessaires pour le retrouver et corriger les problèmes dont on le croit responsable se montent à environ 900 000 USD.
McKinnon a protesté qu'il cherchait seulement à établir l'existence des OVNIS et a dit être absolument certain que les Américains ont réussi à récupérer une technologie antigravité extra-terrestre. Le journal Le Figaro a décrit un homme qui ne se lave plus, vit en peignoir dans son appartement, perd son travail et que sa petite amie quitte]. Il passe ses journées et ses nuits à pirater les ordinateurs militaires américains, obsédés par la recherche d'informations sur les extra-terrestres et tout cela depuis sa chambre dans le nord de Londres.
McKinnon a d'abord été poursuivi et arrêté sur la base du Computer Misuse Act (Loi concernant les délits informatiques) par la National Hi-Tech Crime Unit britannique en 2002, mais a été relâché sans être inculpé et sans supplément d'information.
Il a été à nouveau arrêté en juin 2005, et cette fois-ci relâché sous caution et sous conditions, entre autres qu'il n'aurait plus le droit d'accéder à internet. S'il est extradé aux É.-U. et reconnu coupable, McKinnon risque jusqu'à 70 ans de détention. Il a fait savoir qu'il se battrait contre les procédures d'extradition et qu'il préférait passer devant un tribunal britannique puisqu'il n'a que peu confiance dans le système judiciaire américain.
Note de l'auteur :