Abductions et Implants Extra-Terrestres : des preuves physiques

par damino - 2400 vues - 0 com.
Alien, ovni, ufologie

Depuis 1995, une dizaine de personnes aux Etats-Unis ont subi une opération chirurgicale destinée à retirer de leur corps de minuscules et mystérieux « objets ». Le Dr Roger K. Leir, qui a pratiqué ces extractions pense avoir entre les mains les fruits d’une technologie non humaine. Au yeux de certains,
ces objets seraient la preuve d’une intervention extraterrestre.


Derrel Sims, un enquêteur américain, a découvert en utilisant une lumière UV sur plusieurs abductés des restes de substance sous-cutanée fluorescente à différents endroits de leur corps. Cette même substance fluorescente a été découverte sur des animaux mutilés aux USA, ces cas ne trouvant toujours pas d’explication.
Le Dr William C. Levengood, biophysicien, a examiné en 1997 l’habitat d’une femme ayant vécu plusieurs enlèvements. Un matin, elle le contacte, un mystérieux rayon lumineux étant apparu dans sa chambre pendant la nuit. Levengood relève des échantillons de poussière là où le rayon s’était posé. À l’aide d’un microscope, il y découvre de surprenantes particules en verre, d’une taille de 1 à 25 microns, à l’aspect sphérique ou cristallin. Ces microparticules de verre ont par la suite été trouvées dans toutes les pièces des logements d’abductés, mais rien de semblable n’a pu être décelé chez des personnes n’ayant aucune relation avec le phénomène ovni ou celui des enlèvements.


Extractions d’implants

Le Dr Roger K. Leir, docteur en podiatrie médicale, effectue depuis 1995 des opérations afin d’extraire des implants du corps d’abductés: il certifie que le phénomène existe, mais ne trouve pas d’explication scientifique. Les premiers implants découverts le furent par hasard, lors de radiographies.
L’extraction vise à déterminer si l’objet est de nature biologique humaine ou importé de l’extérieur. L’hypothèse de corps étrangers, pénétrant les victimes à leur insu, est vite écartée par l’absence d’infection et de cicatrice ainsi que la présence d’un réseau nerveux autour de l’implant. Leur composition atomique, qualifiée dans certains cas de nature mixte « biologique et minérale », ne correspond pas non plus à un phénomène naturel : calcium, aluminium, baryum, eu-ropium, ruthénium, samarium, les trois derniers étant très rares sur Terre et plutôt trouvés au coeur des météorites. Placés dans différentes parties du corps, mais presquet ouiours du cote du cœur, leur taille est comprise ente 1 et 10 mm.
En forme de T, de triangle ou de microbille, ils sont recouverts d’une membrane à base de trois protéines, jamais assemblées entre elles dans le corps humain; si la médecine était capable de la reproduire, tous les problèmes de rejets de greffes seraient résolus. Les implants peu-vent par simple pression être déplacés sur quelques centimètres, ont des propriétés magnétiques à l’intérieur du corps des patients, ou font preuve de fluorescence sous une lumière UV.
Preuve s’il en est que ces implants peuvent être reliés au système nerveux de l’abducté, certains patients ont ressenti une intense douleur lors de l’extraction.

Un mode de surveillance ?

Leur nature physique ne permet pas d’accuser les chercheurs d’avoir effectué des expérimentations sur ces cobayes humains, mais font penser aux expériences de Mind Control réalisées par des militaires sur des animaux, dont ils peuvent influencer le comportement et l’agressivité.
L’industrie américaine travaille actuellement sur des transpondeurs de l’ordre du millimètre, facilement injectables dans le corps d’un patient à l’aide d’une seringue. Les victimes auto-déclarées de programmes tels que le MK-Ultra rapportant des symptômes similaires aux abductés, certaines questions restent en suspens… Le Dr Leir pense que les implants sont le résultat d’une nanotechnologie, la structure atomique des substances métalliques étant utilisée pour des fonctions électroniques. Le but de ces implants ne serait pas de pister les abductés, mais de surveiller les changements génétiques que les extraterrestres déclencheraient à l’intérieur du corps humain.
Pourtant Leir a fait analyser, par différents laboratoires, des morceaux de métal extraits dans des circonstances sinon similaires, du moins aussi étrange. Et il en a conclu ceci :ces objets sont d’une nature mixte, biominérale; ils ont été manufacturés en vue d’être tolérés par un organisme pendant des années; ils ont été connectés au système nerveux de leurs hôtes; enfin, leur sophistication rendrait improbable une
fabrication humaine.

Ce que les analyses ont montré

Le Dr Leir a déclaré qu’il était étrange que son équipe n’ait pu trouver aucune plaie d’entrée et que la structure moléculaire de la peau des sujets et d’autres tissus n’ait pas été endommagée.
La découverte intéressante est que la membrane autour des objets était composée de matériel du propre corps des patients avant qu’ils n’aient été insérés. En fait, si la médecine pouvait reproduire cela, nous pourrions réaliser des procédures d’implant sans risque de rejet, a-t-il indiqué.
les cas exposés par le Dr Leir soulèvent de vraies questions : « Il n’y a pas de réaction inflammatoire autour du corps étranger, ni de rejet, ni d’enkystement. La présence de neurones dans le tissu cellulaire sous-cutané est aberrante. La combinaison de protéines constituant la membrane qui entoure les
objets est unique en biologie. […] La membrane est dure et insécable, mais se transforme en gelée dans un liquide et devient parfois transparente. On ne trouve pas de cicatrice, de « porte d’entrée » de l’objet sur la peau des hôtes. Les objets sont faits dans des alliages très particuliers de métaux et métalloïdes ; certains sont magnétiques ou magnéto-conducteurs, et virent au vert fluorescent à la lumière
noire ». A quoi ressemblent ces objets ? Il y a des pépins, des triangles, des microbilles, des T ( ces derniers sont composés de plusieurs pièces microscopiques ), leur taille varie de 1 à 10 mm. Et de quoi sont-ils faits ? Trois sphères blanches non métalliques sont constituées de nombreux éléments
atomiques ; placées dans le sérum du patient, elles prennent un aspect gélatineux ; à
l’air libre, elles redeviennent rigides. Certains objets sont formés de composants évoquant ceux que l’on trouve dans les météorites. Le laboratoire New Mexico Tech propose une analogie avec les céramiques utilisées en dentisterie, mais Leir rejette cette hypothèse, puisque ces matériaux provoquent des réactions
inflammatoires- or, ses patients ne présentaient aucune réaction de ce type. D’autres implants, transmis au laboratoire de Los Alamos, contiennent du fer, du calcium, de l’aluminium, du baryum, mais aussi de l’europium, du ruthénium, du samarium.
Ces trois derniers éléments n’existent pas sur Terre à l’état individuel, juste en mélange dans des minerais, et leur extraction est délicate. L’observation au spectroscope fait apparaître des structures inclues dans les objets : tige, coeur…
Certains implants créent un champ magnétique tant qu’ils sont dans le corps du patient mais ce magnétisme disparaît une fois qu’ils en ont été extraits. Bref, selon le Dr Leir, « rien dans ces objets n’indique une technologie connue ».

Cicatrices typiques

Des cicatrices, externes ou internes, produites par les extraterrestres selon les abductés, ont été examinées par des experts et n’ont pas encore trouvé d’explication. La plus commune, et la plus célèbre, laisse penser à un prélèvement cutané ou osseux, et apparaît en général sur la partie antérieure du tibia gauche de la victime, plus rarement sur le droit. Elle a l’apparence d’une légère dépression de la peau, et est parfois difficilement identifiable.

Ces étrangetés sont-elles suffisantes pour percevoir le phénomène abduction comme réel et tangible, et non issu des délires de personnes au psychisme perturbé ?

Conclusion : selon le Dr Leir, nous tenons peut être là la preuve physique qui indiquera que l’humanité a eu des interférences avec des extraterrestres. Quant aux motivations, la seule chose que nous puissions faire, de façon scientifique, est de proposer certaines théories. Elles devront être testées et démontrées dans les laboratoires. L’une de ces théories est qu’il s’agit de dispositifs permettant de suivre un individu, comme nous le faisons avec des animaux, ou de contrôler son comportement.

Source : http://depuislaubedestemps.e-monsite.com/pages/o-v-n-i/implants-extra-terrestres.html

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