Le mystère des boules parfaites du Costa-Rica.
I Introduction
Il existe de par le Monde, un nombre étonnant de faits anciens, qui dans l'état actuel des connaissances, ne s'expliquent pas, comme par exemple, les murs cyclopéens de Bimini, découverts en 1969 dans les Bahamas, les fabuleuses cartes du monde de Piri Reis de 1513 et 1528, découvertes lors d'un inventaire le 9 novembre 1929 au musée de Topkapi à Istambul en Turquie, les surprenants tracés de la plaine de Nazca dans les Andes péruviennes, dont certains font près de 15 km de long. Mais les boules parfaites de granit d'une moyenne de 12 tonnes, découvertes dans les forêts du Costa Rica, représentent aussi jusqu'à, nouvel ordre, une fantastique énigme dont la science officielle aura bien du mal à trouver la solution.
II Genèse de l'affaire
De par le monde, on découvre souvent disséminés au hasard et plutôt dans des régions inhospitalières des objets de formes géométriques parfaites comme des oeufs, des cercles ou des sphères. On en a, par exemple, découvert des sphères aux USA dans le Tennessee, l'Arizona , la Californie et l' Ohio et le professeur Marcel Homet archéologue et auteur du livre " Les fils du soleil " a découvert en 1940 dans la partie supérieure du Rio Branco au nord de l'Amazonie, un gigantesque œuf de pierre de 100 m de long et 30 m de haut , couvert de symboles solaires et qui n'est pas, a dit cet archéologue, un "caprice de la nature", mais qui a nécessité un travail de sculpture s' étendant sur des dizaines d'années et exécuté par un nombre incalculable d'artistes. Mais la véritable sensation archéologique, qui nous interpelle maintenant, nous dit le célèbre l'explorateur suisse Erich von DÄNIKEN dans son remarquable ouvrage "Retour aux étoiles" publié chez R. Laffont en 1971 ou plus récemment chez J'ai Lu (numéro A 322) , attend toujours d'être déchiffrée, dans le petit État du Costa Rica, en Amérique Centrale.
En effet au milieu de la jungle, sur de hautes montagnes, dans les deltas des fleuves et sur des collines, on découvre dispersées çà et là, des centaines de boules artificielles de granit ou de lave. Leur diamètre va de quelques centimètres à près de 3 mètres. Actuellement la boule la plus lourde qu'on ait déterrée parait-il (nous aimerions bien en voir une photo) pèse environ 30 tonnes (Voir à ce sujet la page 303 du livre de Gérard DEMARCQ :Les PARATERRESTRES Editions RAMUEL Juin 1997.)
Voici donc des modèles de boules parfaitement sphériques déposées sur une place publique:
Vous pouvez aussi en découvrir au Musée:
Et elles sont surtout nombreuses en pleine forêt:
Vous avez aussi bien sûr, celle de 12 tonnes, que montre notre page d'accueil, et qui est analysée par le Dr Stirling et sa femme:
Ces boules admirables sont-elles un caprice de la Nature ? Certaines d'entre elles sont-elles des boules de lave qui se seraient formées naturellement en dévalant les flancs d'un volcan ? S'agit-il de galets géants qui auraient roulé dans le lit d'une rivière durant des siècles et à qui la puissance de l'eau aurait donné cette forme sphérique parfaite ?
Erich Von DÄniken nous avoue en avoir découvert éparpillées sur un terrain plat, et placées en groupes au sommet de diverses collines. Certaines boules étaient toujours placées au centre de l'axe de la colline. Il en a aussi trouvé des troupeaux groupés selon un ordre étrange, dans la vase d'un fleuve, et dans la plaine de Diquis, où règne une chaleur torride, il découvrit 45 de ces boules qui cuisent au soleil.
Erich Von DÄniken nous précise surtout qu'il a dû parcourir, dans la région de Piedras Blanca, au sud-est, près de 100 km en Landrover, dans une jungle hostile, où il fallait soulever la voiture au levier pour lui faire traverser certains virages et finalement elle refusa, à un certain moment, d'aller plus loin. Et pendant encore une heure de marche, aidé d'un guide expérimenté qui courrait devant lui pour écarter les araignées géantes aux morsures mortelles, il réussit à se trouver en face de deux énormes boules parfaitement sphériques et tout à fait impressionnantes par leurs masses au milieu de cette forêt. C'était justement parce que ces boules de Piedras Blanca "se trouvaient au plus profond de la jungle, que cela valait la peine d'aller les filmer". En effet, il faudra bien se poser alors la question de savoir comment ces objets sphériques de la forêt, qui vu leur perfection, ne peuvent qu'être qu'artificiels et remontent à n'en pas douter à une époque très reculée, se sont trouvés projetés inexplicablement, en pleine jungle.
Trois possibilités s'offrent alors à nous :
- Soit que ces boules ont été taillées (avec une habileté ahurissante qui reste à définir), il y a seulement quelques centaines d'années dans une carrière lointaine ( puisse qu'il n'en existe aucune à moins de 100 km dans la région ), dans des blocs forcément plus lourds et dépassant au moins 24 tonnes pour les boules de 2,5 m de diamètre, pesant on le sait, près de 16 tonnes, (une telle carrière ne manquerait pas d'être aperçue, vu le chantier qu'elle entraînerait ), puis on doit alors penser que ces boules ont été transportées par un moyen inconnu qui dépasse largement notre entendement au travers de toutes les embûches de la forêt, et abandonnées là, de plus pour une raison incompréhensible.
- Soit que, et cela dépasse de loin les thèses officielles, que ces boules été placées là, avant l'arrivée de cette forêt ce qui nous place, dans des temps plus que préhistoriques où les hommes étaient incapables d'élaborer des objets d'une géométrie aussi parfaite qu'une sphère.
- Soit encore plus fort, ce sont les dieux dont parlent tant de mythologies qui avec leur technologie supérieure ont élaboré ces blocs sphériques pour des raisons que nous ne pouvons évidemment pas encore comprendre, puisque l'existence réelle même de ces dieux est sujette à caution, dans notre enseignement universitaire. Nous avons eu l'occasion de développer cette thèse hors normes dans notre article:
L'un des précurseurs ayant préconisé cette thèse en France a été Jean Sendy auteur de l'ouvrage surprenant:"La Lune clé de La Bible" paru chez l'Éditeur Julliard en 1968 et en collection de poche J'ai lu n°208 en 1974 et on peut dire ainsi qu'il a initialisé une nouvelle discipline (non encore officielle) que l'on appelle l'Astroarchéologie.
Il est vrai en effet, que l'on a aujourd'hui, aucune explication de la part des archéologues sur les habiles sculpteurs et sur les techniques qu'ils ont utilisées pour réaliser ces superbes boules du Costa Rica dont ont a constaté, que les irrégularités qu'elles présentaient était souvent infimes. La perfection de ces objets montre effectivement que les artisans qui les ont fabriqué, connaissaient bien la géométrie spatiale et avaient à leur disposition des instruments techniquement bien conçus. En effet, à notre époque, nous ne pourrions réaliser une boule parfaite de 2,5 m de diamètre qui représente environ une aire de 5 m2 et un volume de 8 m3, dans une roche aussi dure que le granit, qu'en utilisant des machine-outils programmables très perfectionnées.
Il nous reste donc qu' à découvrir vraiment comment ces extraordinaires artisans sont arrivés à réaliser ces objets avec une telle maîtrise et de plus comment certaines boules ont été transportées jusqu'au sommet d'une montagne ou encore, on l'a déjà évoqué en pleine forêt vierge et dans quel but. Une légende locale raconte que chaque boule appelée Indians-ball ou Sky-ball par les indigènes représente le symbole de l'astre du jour notre Soleil. Mais les archéologues rejettent cette interprétation, car d'après eux à ce degré de latitude, le soleil a toujours été représenté par un cylindre, une roue, ou un disque doré mais jamais par une forme sphérique, pas plus chez les Incas, que chez les Mayas ou les Aztèques. D'ailleurs les indigènes eux mêmes répugnent à conduire les visiteurs sur les lieux où se situent ces boules parfaites car ils les considèrent comme des objets sacrés et dont les emplacements sont des sanctuaires tabous.
Quelques rares boules ont été sculptées, mais l'interprétation des symboles gravés ne fait pas l'unanimité, on s'en doute :
reconnaître la réprésentation d'une constellation.
III Conclusion
En 1940, l'United fruit Company défricha les marais et les bois au pied de la Cordillera Brunquera, dans le territoire du Rio Diquis et à cette occasion l'archéologue Doris Z. Stone découvrit de nombreuses boules parfaitement sphériques artificielles. Elle rédigea un rapport détaillé se terminant par cette constatation tout à fait résignée:
"Nous devons classer les boules parfaites du Costa Rica parmi les énigmes mégalithiques indéchiffrables."
Voilà donc encore, un élément insolite qui ne peut que nous inviter une fois de plus, à nous interroger sur l'extraordinaire passé des civilisations disparues, dont les seules vestiges en pierre, découverts de nos jours, représentent déjà pour nous, un inconcevable mystère.
PS: La revue Top secret n°8 d' Aout-Sept 2003 , dont le site est à :
nous a fait l'honneur de publier un condensé de cet article et pour certaines illustrations, nous nous devons aussi de remercier les sites :
Enfin pour une étude scientifque du sujet, prière de se reporter au site :
IV Prolongement révélateur spécifique en date du 16/07/06.
Dès le 20 Avril 2006, de nombreux amis internautes ont eu la gentilesse de nous faire part de la découverte d'une construction pyramidale en Bosnie et les sites suivants en ont fait admirablement l'écho :
http://www.bosnianpyramids.org/forum/viewtopic.php?p=200#200
http://www.piramidasunca.ba/eng/default.asp
Des pyramides en Europe, voilà qui va relancer le débat sur le pourquoi de la réalisation de telles structures...N'est-ce pas ?
Mais ce qui nous a surpris en plus, c'est que l'on a aussi découvert dans la région des sphères de granit analogues à celles du Costa Rica. Le site suivant nous en dit plus :
Les deux images suivantes de ce site, ne peuvent que nous interpeller sur les motivations des sculpteurs de ces extraordinaires artefacts :
en médaillon une sphère du Costa Rica
qui contient plus de 20 de ces boules de pierre
Nous remercions donc ce site pour ces belles images. Mais nous attendons évidemment des développements plus minutieux de cette affaire et développements qui ne pourront que mettre encore davantage en exergue les interrogations du site ARTivision sur le prodigieux Passé de notre planète.
Source : http://www.artivision.fr/docs/costa.html