Quand les ovnis nuisent à la souveraineté des Etats-Unis

par damino - 2464 vues - 0 com.
Alien, ovni, ufologie

Les survols d’installations militaires par des ovnis ou les apparitions de crop circles sont les manifestations les plus spectaculaires d’une intelligence extraterrestre qui tente d’entrer en contact avec nous par tous les moyens. 

Christel Seval décrypte et réunit dans son livre Le Plan pour sauver la Terre , ces modes d’approches et l’intention qui s’en dégage : empêcher l’irréparable et neutraliser notre force de destruction, notamment nucléaire. Ce que les gouvernements, États-Unis en tête, refusent d’entendre…

Le 20 août 2001, sont apparus à proximité de l’antenne parabolique de Chilbolton (Angleterre) un agroglyphe représentant un visage humain et, dans l’axe du téléscope, la réponse en code binaire au message envoyé du radiotélescope d’Arecibo (Porto Rico) vingt-sept ans plus tôt (en 1974).

OVNIS Leur présence enfin décryptée…

Article tiré de NEXUS.

Dans le cadre du SETI (Search for Extra Terrestrial Intelligence), le radiotélescope d’Arecibo à Porto Rico envoya, en décembre 1974, un message radioélectrique en binaire à destination d’une galaxie voisine, en vue de communiquer avec une possible intelligence extraterrestre.

Cette bouteille dans l’espace fut envoyée par la plus grande antenne parabolique du monde en direction de l’amas d’étoiles M13 située à 22 800 années lumière dans la constellation d’Hercule. Le message d’Arecibo, écrit sous la direction de Frank Drake, professeur d’astronomie de la Cornell University, codifia les numéros atomiques des principaux éléments constitutifs de la vie sur Terre (H = 1, C = 6, N = 7, O = 8, P = 15).

Il décrivait également les sucres et les bases qui entrent dans la composition de l’ADN, le nombre de nucléotides, un schéma stylisé de la double hélice de l’ADN, présentait une silhouette humaine, en précisant sa taille, indiquait le nombre d’habitants terrestres en 1974, la composition du système solaire, en distinguant la Terre comme l’origine du message, et les caractéristiques de l’antenne radar émettrice.

Vingt-sept ans plus tard, le 20 août 2001, à proximité de l’antenne parabolique géante de Chilbolton (Angleterre) apparaissent gravés dans les champs deux agroglyphes géants rectangulaires. L’un représente un visage humanoïde non terrestre (d’après des études morphologiques) et le second une réponse au message radioélectrique envoyé d’Arecibo en 1974.

Que dévoile le décryptage de cet agroglyphe ?

La réponse est codifiée, cryptée rigoureusement de la même manière que le message émis en 1974. L’ADN décrit est plus court que le nôtre, le silicium ayant pris la place du phosphore, ce qui provoque un crépissage de l’hélice d’ADN précisément représentée dans les champs de Chilbolton.

À la place d’un homme stylisé mesurant un mètre soixante seize, ressort une silhouette classique de « Gris » [une espèce d’extraterrestre désigné ainsi d’après la description fournie par de nombreux témoins à travers le monde], un être de petite taille, un mètre environ, macrocéphale, dont on identifie clairement les bras, les jambes et les yeux.

Cet être est originaire d’un autre système planétaire. Sa planète totalise

17 milliards d’habitants, et se place en cinquième position depuis un petit soleil, égal au 4/9e du nôtre, accompagné de neuf planètes. Dans ce système, les planètes 3 et 4 sont désignées comme étant habitées. Le message représente également le schéma d’une antenne parabolique avec le symbole de la planète émettrice associée à un chiffre signifiant la puissance électromagnétique utilisée pour répondre.

Silence radio des autorités…

L’observatoire de Chilbolton appartient au gouvernement britannique. Il a été construit en 1965 dans le but d’étudier les émissions d’ondes radios en provenance de l’espace et des satellites. Son accès est interdit au public.

La première réaction des chercheurs britanniques comme Paul Vigay a été naturellement de comparer la formation de code binaire de 2001 à la

transmission radiotélescopique de 1974 à Porto Rico. Malgré des photos, le décryptage du code binaire et toutes les correspondances relevées avec le message d’Arecibo par des chercheurs indépendants, aucune explication officielle n’a été donnée.

Les astronomes de Chilbolton ont déclaré qu’ils ne s’étaient pas aperçus de l’apparition des glyphes, ceux-ci n’étant pas complètement visibles, même du point le plus élevé de l’antenne (sic !).

Un an plus tard, toujours dans un champ de Chilbolton, une silhouette d’alien tramée dans un gigantesque rectangle nous présente un disque rond d’une cinquantaine de mètres de diamètre dont la moitié sort du cadre.

L’intérieur du cercle végétal comporte un sillon spiralé divisé en une multitude de paquets de blés couchés ou relevés : une suite binaire. Le code en est simple, il s’agit de l’ASCII (American Standard Code for Information Interchange).

Le message est le suivant : « Prenez garde aux porteurs de faux cadeaux et aux promesses non tenues. Beaucoup de douleur, mais il est toujours temps. Il y a du bon là-haut. Nous nous opposons à la tromperie. Fin de transmission… »

Il n’y aura aucune déclaration officielle à propos de cette formation. Alors s’agit-il d’un authentique contact ou d’une manipulation de l’armée ? À quelle fin ?

Après Nagasaki et Hiroshima, de très nombreux ovnis ont survolé les États-Unis et se sont positionnés avec précision au-dessus de tous les sites impliqués dans les activités militaires atomiques, comme s’ils cherchaient à s’informer sur les développements des armes atomiques terrestres.

Dès 1946, les sites du Manhattan Project, les sites d’essais d’explosions atomiques comme l’atoll de Bikini, le site de Trinity, Roswell et les bases du Nouveau Mexique en 1947, Albuquerque, Sandia en décembre 1948, Los Alamos en janvier 1949, Camp Hood au Texas en mars 1949. Toute la filière atomique est découverte : des sites de recherche et d’essais, jusqu’aux lieux de stockage en passant par la chaîne de production des bombes.

Pas un site secret n’est épargné. Les officiels de la Défense américaine sont aux abois. Leur pire cauchemar vient de prendre forme. Toutes les installations les plus secrètes du pays sont survolées par des ovnis. Il suffirait à un espion de relever la carte des apparitions d’ovnis de 1946 à 1950 pour obtenir avec précision la situation géographique de toutes les installations nucléaires de l’armée américaine panique dans les rangs américains…

En juillet 1952, le Pentagone et la Maison Blanche sont survolés à deux reprises, en plein centre d’une zone névralgique strictement protégée, interdite à la circulation aérienne. Rien n’échappe aux ovnis, de la filière militaire à la filière politique.

Dès l’arrivée au pouvoir de D. Eisenhower en 1953, Nelson Rockefeller sera chargé de présider une commission de refonte du département de la Défense. À partir de cette date, l’empire Rockefeller, le CFR (Council on Foreign elations), la Trilatérale et les Bilderbergs vont gérer le secret ovni dans tous ses prolongements, scientifiques, technologiques, militaires, renseignements, désinformation, jusqu’aux financements et infiltrations des associations ufologiques.

En 1954, est survolée l’installation de Fort Meade, siège du NSA (National

Sécurity Agency), qui plus tard mettra en œuvre le réseau mondial d’écoute électronique Echelon. En 1963 et 1964, les satellites mis en orbite par les États-Unis tombent systématiquement en panne, et, étrangement, se remettent à fonctionner spontanément. Novembre 1965 : une gigantesque panne d’électricité affecte New York et le sud canadien. Un disque lumineux est aperçu au-dessus de la station de distribution électrique de Clay, point d’interconnexion de plusieurs réseaux haute tension.

Décembre : une panne identique touche plusieurs États, le Nouveau Mexique, le Texas. Les bases militaires Holloman, White Sands et Fort Bliss sont privées de courant. C’est le scénario que les responsables de la Défense craignaient le plus : des actions agressives paralysant à la fois l’économie de la Nation et les capacités des forces militaires.

En 1967, la base de Malmstrom, Montana, qui abrite 120 missiles  intercontinentaux du Strategic Air Command, est survolée par des ovnis. Le 16 mars, par une nuit glaciale, des lumières zigzaguent dans la nuit à des vitesses incroyables. L’officier de tir est alerté. Puis une soucoupe rougeoyante s’avance, survole la grille d’entrée au grand dam des gardes.

En quelques secondes, ce sont huit silos de missiles qui sont déclarés hors  service. Puis dix. Un commando chargé de s’approcher de l’ovni stationnaire a été légèrement blessé et évacué. Plusieurs commandos partis inspecter les silos signalent des ovnis à leur tour.

Dans une autre unité de silos, plus au nord-est, un ovni évolue aux alentours de la zone interdite. Dix missiles sont à leur tour mis hors service. Il faudra plus d’une journée avant qu’ils ne soient déclarés à nouveau opérationnels. L’enquête technique conclura qu’il n’y a aucune explication rationnelle à la défaillance simultanée des vingt missiles ICBM.

En novembre 1975, les ovnis retournent sur la base de Malmstrom dans le Montana. Sept ovnis lents, qui déjouent les intercepteurs lancés contre eux, reproduisent le scénario de 1967 et déprogramment les ogives nucléaires.

 À partir de cette date, rien ne sera plus comme avant affirme Jean-Gabriel

Greslé [ancien pilote de chasse et commandant de bord] :

« Des puissances inconnues s’ingénient à rendre leur présence évidente par des manifestations aériennes non conventionnelles. Elles disposent de moyens techniques nécessaires pour convaincre l’ensemble du monde, une fois pour toutes, de leur présence et de leur supériorité. »

Une pression d’outre espace pour une autre politique…

De leur côté, le gouvernement américain et le département de la Défense utilisent leurs moyens considérables, renforcés en 1953, pour dissimuler eux aussi cette réalité au public.

Entre 1947 et 1967, les mêmes puissances inconnues ont exercé une pression croissante sur les gouvernements américains. De toute évidence, elles cherchent à obtenir quelque chose. Le gouvernement américain pourtant dominé par une technologie supérieure à la sienne a refusé, en apparence, de céder ».

Le gouvernement refuse effectivement d’inverser sa politique de développement des armes nucléaires. Tous les gouvernements engagés dans la course aux  armements de destruction massive sont confrontés aux mêmes problèmes de survols de leurs installations nucléaires par des ovnis.

Une pression venue d’outre espace, demande une autre politique pour la sauvegarde de la planète. De quelle genre d’intervention s’agit-il ?

La marge de manoeuvre des intelligences à l’oeuvre est très mince. Imposer la paix avec une technologie qui neutralise toutes les technostructures militaires de la planète serait perçu comme une dictature venue d’outre espace entraînant un ethnocide généralisé.

Le remède serait pire que le mal. Par contre, ne rien faire signifierait à moyen terme laisser l’humanité s’autodétruire volontairement ou par accident. Le développement des armes à plasma fait peser un péril pire que l’arme nucléaire. La pression globale sur l’écosystème ne saurait continuer encore des décennies.

Il est donc essentiel d’intervenir progressivement en exerçant une pression toujours plus forte. L’augmentation du nombre de crop circles est significative ces dernières années. Certains agroglyphes révèlent des schémas d’appareillages militaires ultra secrets, d’autres portent sur des symboles de sociétés secrètes influentes, ou encore répondent à un message envoyé il y a vingt-sept ans vers la constellation d’Hercule…

Au Mexique, les soucoupes volantes sont omniprésentes sans affoler les autorités ou les populations. Gorbatchev lui-même s’est toujours opposé à l’idée que les ovnis constituaient une menace pour l’humanité. Alors un premier contact officiel est-il possible ?

Non, car la technostructure gouvernementale américaine n’a pas intérêt à ce que des ovniens entament une procédure de contact avec l’humanité. Un obstacle à l’oligarchie militaro-industrielle US. Tout contact avec une race extraterrestre technologiquement plus avancée que nous engagerait un processus collégial de représentation de l’humanité auprès des visiteurs qui nuirait à la souveraineté des États-Unis.

Il s’ensuivrait des réformes économiques et écologiques proposées et impulsées par les extraterrestres pour améliorer la situation de l’humanité dans son ensemble, ce qui nuirait à l’hégémonie américaine. La révélation ou le partage de données techniques et scientifiques jusque-là classées secret défense nuirait également aux États Unis.

Aussi les États-Unis peuvent-ils être amenés à envisager d’entretenir volontairement un foyer mondial de perturbations économiques afin de repousser au plus loin le jour du contact qui nécessite maturité et stabilité.

L’accélération et l’amplification d’une politique de domination et d’annexion du reste du monde, notamment par le biais du vecteur pétrolier et de programmes d’armes de nouvelle génération semblent être à l’ordre du jour.

Ainsi, au moment du contact, les États-Unis occuperont une place prépondérante, un fait accompli qui ne sera peut-être pas remis en cause par les extraterrestres par respect pour la liberté de l’humanité.

Les États-Unis auront à leur disposition un arsenal technologique qui leur permettra de faire pression sur les volontés extraterrestres si ceux-ci en émettent. Car, quel est le mobile qui peut pousser les stratèges militaires américains à construire des bombes à antimatière dix mille fois plus puissantes qu’une bombe thermonucléaire, si puissantes qu’elles ne peuvent pas être utilisées sur Terre ?

La peur d’un astéroïde ? La probabilité d’un géocroiseur spatial en approche dangereuse dans les parages de la Terre ? Foutaises !

C’est la paranoïa anti-extraterrestre, c’est le désir forcené de l’oligarchie  militaro-industrielle des États-Unis de faire obstruction aux extraterrestres et, le jour du contact, d’avoir à leur portée un maximum de moyens de pression contre eux, voire d’armes efficaces, car tel semble être leur rêve de domination mondiale.

À propos de l’auteur : Christel Seval est informaticien au ministère de la Défense. Ce texte a été publié par Morphéus n° 13, janvier-février 2006, à partir d’extraits de son livre Le Plan pour sauver la Terre (JMG Éditions, 2005).

Il a également publié Ummo, un dieu venu d’ailleurs (JMG Éditions, 2003).

La face cachée du black-out…

Le 9 novembre 1965, 30 millions d’habitants de la côte Est des États-Unis furent plongés dans l’obscurité totale pendant treize heures. À l’origine de l’incident, une sur tension dans une centrale survenue juste après son survol par des ovnis…

Pendant ce temps, en Virginie, la base militaire de Mount Weather se met tait en aler te nucléaire maximale…

Le 1er décembre 1974, un Boeing 727 de la TWA s’écrasa sur la pente embrumée d’une montagne de Virginie, tuant les quatre-vingt-douze occupants. Des journalistes rendus sur place remarquèrent à proximité la présence d’une base militaire hautement sécurisée et se mirent à enquêter sur sa fonction.

Le lendemain, le Washington Post précisait que cette base était connue sous le nom de Mount Weather [litt. « la Montagne Météo »]. Tout en reconnaissant l’existence de Mount Weather, un porte-parole de l’armée « refusa poliment d’émettre tout commentaire sur la fonction de la base, le nombre de personnes y travaillant ou depuis quand elle était opérationnelle ».

Au fil des ans, des détails commencèrent cependant à filtrer. La base que virent les journalistes est implantée sur un terrain de 175,64 ha, mais cela n’est que la partie émergée de l’iceberg. Profondément enfouie dans la montagne, se trouve une forteresse massive conçue pour abriter le président et les principaux membres du gouvernement, en cas de guerre nucléaire ou de catastrophe majeure.

Cette casemate souterraine contient la plupart des éléments nécessaires à la survie, y compris de l’eau, un système d’épuration sanitaire et des générateurs électriques. On l’a comparée à une ville souterraine dotée d’un lac artificiel, d’hôpitaux, de bureaux, de routes, de voies piétonnes, de studios de production de radio et de télévision, un puissant réseau d’ordinateurs et même un  crématorium.

La base est censée pouvoir accueillir plusieurs milliers de personne si nécessaire ; quant à savoir lesquelles, cela est évidemment top secret. Le personnel militaire de Mount Weather était chargé de surveiller des dispositifs, répartis dans toute l’Amérique du Nord, destinés à détecter les signes d’explosions nucléaires.

Dans l’éventualité d’une telle attaque, les détecteurs devaient transmettre, par les lignes télégraphiques, un message à divers postes de surveillance.

Panique à Mount Weather…

NEW YORK 1965…

Le 9 novembre 1965, les « alertes à la bombe » commencèrent à envoyer des informations inquiétantes à Mount Weather. Vingt et un détecteurs avaient été mystérieusement mis hors service et des voyants jaunes clignotaient partout sur le panneau de contrôle. Plus inquiétant encore, les détecteurs situés à Salt Lake City en Utah, et à Charlotte, en Caroline du Sud, clignotaient rouge, signifiant qu’il y avait bien eu des explosions nucléaires. Au même moment, une grande partie de la côte Est, y compris la ville de New York, subissait une rupture de courant, plongeant 30 millions de personnes dans l’obscurité pendant près de 13 heures ! Le Colonel J. Leo Bourassa commandait Mount Weather depuis sa création vers la fin des années 1950. Ce site top secret se trouva officiellement sous le contrôle du Office of Emergency Preparedness [centre d’alerte préventive] qui deviendrait plus tard la Federal Emergency Management Agency (FEMA) [agence fédérale de gestion d’urgences].

La FEMA est chargée de gérer les désastres, comme les ouragans et les  tremblements de terre, et fit face notamment aux conséquences du 9/11. Outre la mission de guider l’action gouvernementale en pareilles circonstances, la FEMA est chargée d’assurer les capacités de fonctionnement du gouvernement lors d’une catastrophe. Du fond de la forteresse secrète, Bourassa fut convaincu que le pays subissait une attaque nucléaire soviétique. Il plaça le dispositif de Mount Weather en état d’alerte maximale et prit les premières mesures préparatoires à un engagement nucléaire total des États-Unis. Fort heureusement, d’autres instances militaires découvrirent rapidement la nature des alertes et les systèmes d’armes nucléaires ne furent pas activés.

L’affaire fut résolue rapidement, mais l’on considère encore aujourd’hui être passé à deux doigts d’une conflagration. Si l’alerte nucléaire fut bien déclenchée par la panne de courant, quelle était l’origine de celle-ci ?

On suppose que la panne fut déclenchée par une brusque surtension provenant d’une centrale près de Niagara Falls. Les centrales électriques sont toutes connectées à un réseau, de sorte que lorsqu’il y a surcharge dans l’une d’entre elles, cela se propage tout au long des lignes, les mettant l’une après l’autre hors service…

Ce jour de novembre 1965, la majeure partie de la côte Est fut ainsi privée de courant. Les responsables des compagnies d’électricité furent sommés de fournir des explications. On leur demanda notamment de s’expliquer sur les mystérieuses« boules de feu » qui avaient plané au-dessus de leurs installations.

Les journaux de l’époque firent le rapprochement entre la mystérieuse surcharge et une série d’observations d’ovnis dans le voisinage des centrales, avant, pendant et après la panne.

La rivière Niagara coule entre les lacs Erie et Ontario, dessinant une frontière naturelle entre les États-Unis et le Canada. Au fil de ses 56 km, ce puissant cours d’eau forme les célèbres chutes. En fait, il s’agit d’un groupe de cascades, les deux plus grandes constituant l’un des sites touristiques les plus fréquentés des États-Unis. En amont des chutes, une importante part du débit est déviée vers des centrales électriques, situées de part et d’autre de la frontière et qui produisent une grande partie de l’électricité de la côte Est. On suppose que la centrale Sir Adam Beck, du côté canadien, fut à l’origine de la surtension. La région des chutes du Niagara était déjà réputée pour ses nombreuses apparitions d’ovnis. Le 22 septembre 1965, peu de temps avant la panne, la Niagara Falls Gazette publia un rapport selon lequel un grand nombre de témoins avaient vu des ovnis survolant les chutes et les centrales avoisinantes : « Les objets, brillants et lumineux, aux couleurs changeantes, se trouvaient sous le plafond nuageux et sont demeurés assez bas pendant presque toute la période d’observation.

Les témoins ont affirmé qu’il ne s’agissait ni d’hélicoptères ni d’avions conventionnels. À un moment donné, vers 20 h, deux objets, qui avaient déjà été aperçus auparavant loin l’un de l’autre, se sont rapproché sur des trajectoires convergentes puis, ensemble, sont parti dans la direction de Buffalo.

L’après-midi du 9 novembre, deux pilotes de l’Ohio signalèrent par radio avoir vu deux objets brillants, en forme de disques, poursuivis par des jets militaires. Les ovnis accélérèrent et s’éloignèrent, laissant les jets pratiquement sur place.

Les observations à Niagara Falls débutèrent une heure plus tard et, peu après, les lumières commencèrent à s’éteindre. Plusieurs personnes signalèrent des lumières brillantes dans le ciel et un pilote approchant de l’aéroport de Niagara Falls fit rapport d’un « curieux objet » survolant la centrale électrique de la ville.

La surtension courut sur les lignes en direction de Syracuse, État de New York, accompagnée de traînées de lumières dans le ciel. Tandis que la lumière s’éteignait, à Syracuse, des centaines de témoins déclarèrent avoir vu des boules de feu survolant les lignes à haute tension.

Elles furent observées pendant plusieurs heures et photographiées par un prêtre, William Stillwell, qui en fit la description suivante : « Le centre était en rotation constante. Cela venait de DeWit [New York], changea brusquement de direction et fit rapidement demi-tour. »

En quelques minutes, l’extinction atteignit la ville de New York et le reste de la côte Est. Nombreux furent les témoins de lumières dans le ciel au-dessus de New York, et un journaliste de Time Magazine prit une photo qui, de l’avis  général, est celle d’un ovni au-dessus d’une ville plongée dans le noir.

Les médias s’enflammèrent sur le sujet. De nombreux articles parurent sur les mystérieuses boules de feu et plusieurs éditoriaux réclamèrent une enquête gouvernementale.

La Indianapolis Star insista : « L’explication est évidente : objets volants non identifiés ! C’est une des pistes que l’enquête ne peut ignorer. »

Les plus grandes chaînes de télévision s’y intéressèrent aussi. Sur la Nightly News de la NBC, des millions de téléspectateurs furent informés de l’apparition d’ovnis dans la région privée d’électricité.

Une explication officielle fut finalement émise : un dispositif défaillant d’importance secondaire n’aurait pas intercepté la brusque surcharge. Cette explication sembla calmer quelque peu la controverse. Ce dont on ne parlait pas, c’était de la source de la surtension.

Lorsque les lumières s’éteignirent, le célèbre acteur hollywoodien Stuart Whitman fut bloqué au douzième étage d’un hôtel de Manhattan. Il prétendit par la suite avoir vu deux ovnis en vol stationnaire devant sa fenêtre et que ceux-ci lui communiquèrent un message :

« Ils me dirent que c’était eux, les intelligences animant les ovnis, qui étaient responsables de la coupure de courant. Ils dirent avoir fait cela pour prouver aux populations du monde leur existence réelle et leurs extraordinaires capacités

d’action…

Ils me dirent leur inquiétude de nous voir persister à développer et essayer des armes nucléaires. Leur intervention était une manifestation de puissance pacifique…

Ils dirent que cette occultation n’était qu’une petite démonstration du pouvoir dont ils disposent pour nous empêcher de détruire notre civilisation et les planètes voisines. Ils furent assez clair sur leurs intentions d’intervenir si nous allions trop loin dans nos manoeuvres belliqueuses. Ils déclarèrent être capables, à n’importe quel moment, de bloquer le fonctionnement de tous nos appareils électriques et d’interrompre le cours de nos activités habituelles.

Le gouvernement entreprit finalement une enquête sur trois plans. En 1968, le comité du congrès américain sur la science et l’astronautique questionna le Dr James McDonald, de l’université de l’Arizona, sur le lien entre les ovnis et les coupures de courant.

Le professeur fit état de nombreux cas où des observations d’ovnis avaient été suivies de perturbations électriques allant des interférences radio et des arrêts de moteurs de véhicules jusqu’à des coupures totales de courant. À propos de l’événement de 1965, l’estimé astrophysicien déclara aux congressistes :

« Des ovnis ont souvent été aperçus survolant les centrales électriques. Un nombre restreint, et cependant un peu trop élevé pour être attribué au hasard, de pannes électriques coïncident avec des observations d’ovnis… Même la plus célèbre, celle de New York, s’est s’accompagnée de la présence d’ovnis. »

 Source :http://homme-et-espace.over-blog.com/article-quand-les-ovnis-nuisent-a-la-souverainete-des-etats-unis-45628918.html

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