Rencontre Alien avec des militaires Américains au Cambodge…Part 1.
Des militaires Américains ont rencontré des Aliens au Cambodge en 1971.Un officier en retraite nommé Joe des forces spéciales de l’armée américaine déclare qu’en 1971, lors d’une mission secrète au Cambodge, lui et sa compagnie ont fait une terrifiante rencontre avec des humanoïdes aliens.
Cet officier a servi en Thaïlande durant la guerre du Viêt-nam et son entraînement spécial était en électronique. Ce qui suit est son interview par Peter Bostrom, relayée dans le livre « High Strangeness » de Linda Moulton Howe publié en 1998.
"Ce qui suit est une conversation enregistrée au milieu des années 1980, avec l'autorisation d'un officier en retraite des forces spéciales militaires. Il a servi en Thaïlande durant la guerre du Viêt-nam. Son entraînement spécial était en électronique.
À l'époque de cette conversation, "Joe" (sur sa demande son vrai nom n'est pas mentionné) était en retraite et réparait des postes de télévision, des magnétoscopes et d'autres pièces d'équipement électronique dans une ville du Middle West. Voici le récit de sa rencontre avec plusieurs EBE (entités biologiques extra-terrestres) et leur véhicule spatial.
À la différence d'autres relations innombrables de rencontres aussi étranges avec des extra-terrestres, ce récit est peut-être encore plus intéressant parce qu'il a eu lieu dans les temps de la guerre, au Cambodge - théoriquement hors de la zone des troupes.
De plus, il est fait mention de MJ-12 comme d'une entité du gouvernement impliquée dans la collecte d'informations sur les objets non identifiés dans l'espace aérien de et autour de la Thaïlande, et il montre à quel point le gouvernement est déterminé à tirer autant d'informations que possible sur le sujet. Et également, il est fait mention d'une autre étrange rencontre dans le même secteur.
J'ai parlé avec Joe à plusieurs reprises et pendant plusieurs semaines. Quand il parlait de sa rencontre il ne changeait jamais l'histoire et je crois qu'il veut en faire un récit vrai, comme il a vu les choses se produire. Comme mes conversations avec lui duraient encore en 1985, il me dit qu'un de ses amis officier encore en service l'avait contacté et lui avait dit qu'il pouvait parler librement de sa rencontre avec les extra-terrestres au Cambodge et de toute autre chose à ce sujet.
Il dit que l'officier lui avait dit : "De toute façon, le grand public sera mis au courant dans quelque temps." Mais on dit à Joe de ne pas indiquer spécifiquement la véritable raison de sa présence au Cambodge.
Cet autre officier parla également des ovnis en général, dit à Joe que le crash de Roswell avait réellement eu lieu, et décivit les méthodes selon lesquelles les personnes qui ont besoin de voir les aliens et leurs véhicules sont transportées, dans des conditions de haute sécurité. L'officier mentionna aussi deux différentes sortes d'êtres aliens, disant "les Gris" ou "les Nordiques".
Plusieurs mois plus tard Joe dit qu'il allait reprendre du service pour le gouvernement. Il donnait l'impression d'avoir encore, au gouvernement, des amis avec une bonne le marge de haute sécurité.
LA RENCONTRE DE JOE AVEC DES ETRES NON HUMAINS…
JOE -
En septembre 1971 j'étais stationné avec l'armée en Thaïlande. Au départ c'était une mission de routine au Cambodge, dans une région appelée Tonle Sap, juste au sud d'Angkor Wat, là où il y a les temples. On avait fait une mission pour résoudre quelques problèmes et on était revenus avec une mission de nettoyage.
Dans la région qui nous préoccupait pas mal il y avait des insurgés des Khmers rouges, des hommes de Pol Pot. À cette époque ils faisaient réellement des ravages chez les indigènes du coin. On poursuivait un groupe et en entrant dans la jungle on a entendu des bruits, ça faisait penser à des générateurs, ou à des machines. Quelque chose avec un bourdonnement.
PETER BOSTROM -
Et ça vous a attirés ?
Oui. On s'est dit qu'ils avaient peut-être une espèce de station de ravitaillement ou un truc comme ça là. C'était un peu dans les façons de faire des Khmers rouges et du Pathet Lao d'utiliser un endroit élevé dans la jungle pour faire une clairière artificielle où ravitailler les hélicoptères, des trucs comme ça. La plupart étaient fabriqués en Russie et ils pouvaient faire le plein.
Une fois dans la clairière on a été plutôt surpris de trouver quelque chose qui n'avait rien de commun avec tout ce que j'avais pu voir auparavant. À l'époque j'avais le grade de lieutenant. On avait avec nous à peu près 14 gars des forces spéciales de chez nous et plusieurs douzaines de Thaïlandais qui s'étaient entendus avec nous.
Vous étiez donc dans les forces spéciales ?
Oui. Au début j'étais avec la 101ème unité aéroportée de tactique spéciale, et on a été déplacés avec la 506ème compagnie de chasseurs envoyée en Thaïlande. Ils étaient sous les auspices d'un groupe dont on ne parlera pas pour des raisons évidentes. Vers ces moments-là on avait entendu pas mal d'histoires, des situations bizarres où des choses volaient à travers les arbres. Nous on se fichait un peu d'eux, on pensait que c'étaient des gars qui avaient la trouille au combat.
On est entrés dans la clairière. Ce qu'on a vu était presque de forme sphérique et suspendu près du sol sur quatre pattes. Et il y en avait plusieurs - la meilleure description que je pourrais dire est "humanoïdes". Ils étaient au moins aussi nombreux que nous.
Combien, vous pensez ?
Je dirais quelque chose comme entre 16 et 21. Leur apparence n'avait rien de commun avec des êtres humains que j'avais pu voir sur Terre. Leur peau était d'une couleur grisâtre/blanchâtre. Ils portaient ce qui semblait être une combinaison d'une seule pièce, de couleur argentée un peu comme un costume ignifugé Mylar métallisé - Ca n'avait en tout cas pas l'air d'être un scaphandre pressurisé d'aucune sorte.
On a vu un peu plus tard que c'était de l'équipement plutôt solide. Quand on s'est approchés ils ne nous ont pas vraiment remarqués au début, et quand ils nous ont vus ils se sont tournés vers nous. Certains d’entre eux portaient des espèces d'instruments. J'ai pas vu d'armes, nulle part. J'ai vite pesé la situation. Ça ne ressemblait pas à des armes que j'avais déjà pu voir, j'en ai déduit que c'était peut-être pas dangereux.
On avait avec nous un jeune caporal, George. Bon, enfin, c'était sa seconde expérience au combat et il ne réagissait pas très bien. Eux - je vais les appeler les aliens - un des aliens s'est tourné vers lui avec quelque chose en main. Bien sûr, George a aussitôt pensé que c'était une arme quelconque, il s'est senti menacé et il a lâché une courte rafale de Browning FNFAL, qui est littéralement une Winchester à trois canons. Chargé en balles de 150, ça a la même puissance de frappe que le 30-0-6 à 150 mètres.
Le tir le plus court qu'on peut faire est quelque part entre 8 et 12 salves, ce qui, à la distance de 9 à 10 mètres d'où il a tiré sur le gars, aurait déchiqueté un être humain normal. On portait des vestes pare-balles la plupart du temps. Le tissu (sur l'humanoïde), peu importe ce que c'était, c'était comme la veste en tissu "seconde chance" que nous on porte ; c'est un matériau compact, léger, à l'épreuve des balles.
J'ai été touché à plusieurs reprises alors que je portais ça - cage thoracique brisée, plein d'hématomes partout, t'as l'impression que tu vas mourir - mais en règle générale, à moins que ce soit une balle qui transpercerait une armure ou que t'aies une espèce de veste amovible en téflon, les balles ne pénètrent pas. J'ai vu des cartouches de 50 traverser mais jamais rien de plus petit. Rien ne la percera, sauf le gros calibre ou la vitesse ultrarapide. Occasionnellement, une balle traçante fera un gros trou dedans, en la brûlant.
Quand l'humanoïde a été touché, il est tombé comme une pierre, comme s'il était mort. On a pensé qu'il était mort. Dans ce groupe d'humanoïdes la plupart étaient tous à peu près de la même taille. Je dirais que quelques-uns mesuraient 1 m 50, peut-être moins, peut-être 1 m 45 ou 48, quelque chose comme ça. Ils étaient très petits plutôt comme des nains, et parfaitement proportionnés. Il n'y en avait qu'un de plus grand, dans les 1 m 68/1 m 70. Il est intervenu à ce moment-là. J'ai baissé l'arme que George tenait et je me suis dit : "Dieu du ciel, cet humanoïde va nous tuer !
Là j'étais complètement terrorisé. On ne savait pas qui étaient ces types. Un truc comme ça se passe et tous les films de science-fiction que vous avez vus dans votre vie se mettent à défiler dans votre tête. Vous vous dites : "Oh mon Dieu, est-ce qu'ils vont sortir des fusils à rayons ? Est-ce qu'ils vont nous atomiser ?"
Est-ce qu'un d'eux a dit quelque chose ?
Pas entendu un mot ! Ce gars (le plus grand des humanoïdes) s'est tourné vers moi, évidemment au courant que c'était moi qui commandais la section. Il a levé la main, paume face à nous et doigts pointés vers le haut dans un geste pacifique, s'est arrêté, puis il a marché vers George et l'a frappé sur la joue. Pas vraiment fort. George s'est effondré comme un chiffon mou, tout à fait comme si un choc électrique l'avait traversé.
La seule chose que je me suis dite est que soit ce gars (l'humanoïde) est bien plus fort qu'on a pu le penser, ou alors il a fait quelque chose d'autre. On voit des fois des coups, même dans les arts martiaux, qui n'ont pas l'air d'être forts mais qui ont un effet dévastateur. George est tombé comme une pierre, tout à fait comme un chiffon mouillé.
Quand j'essayais de le relever je n'avais aucune idée de ce qu'on allait bien pouvoir faire après. Je voulais que personne d'autre ne tire, je me disais que si on ouvrait le feu sur ces types on était morts. J'avais la trouille. J'ai souillé mon pantalon à ce moment-là - réaction nerveuse. Je savais pas du tout quoi faire.
À part George, on était tous des vétérans avec au moins 20 ou 25 batailles au feu. On était des vétérans du combat relativement bien aguerris. C'était peut-être la troisième sortie de George, mais probablement la seconde, et il était vert, et paniqué, et je me suis dit : "Eh ben il a tout simplement payé la facture !
Ce type (l'humanoïde) l'a tué." Mais George a vite repris ses esprits. J'ai essayé de le relever et je me suis retourné au moment où le gars (l'humanoïde) sur qui George avait tiré se relevait et s'époussetait. J'ai pensé "Oh merde ! Ces types-là vont nous ratiboiser ! Si un FNFAL ne l'a pas abattu en 8 ou 10 rafales, ça c'est du sacré bonhomme !"
La seule chose que je pouvais imaginer était que le tissu (de son vêtement) était assez résistant pour agir comme un coussin, juste comme une veste. Nous on passait beaucoup de temps à retirer les balles de nos vestes pare-balles. Elles sont super ! Ça te donne parfois un sacré coup de froid, à cause de l'impact.
C'est comme d'avoir une forte décharge électrique qui te traverse le corps. Ce qui abat les gens, ce qui les sonne complètement, c'est pas vraiment l'impact de la balle, c'est la réaction nerveuse à l'impact - et t'es déjà aplati avant d'avoir touché le sol. Tous les muscles du corps se raidissent. Alors j'imagine qu'eux (les aliens), ils ont à peu près la même réaction physiologique que nous.
Quand lui (le plus grand des humanoïdes) il s'est retourné vers moi avec sa main paume à nouveau face à moi pour arrêter, j'ai eu la sensation que tout allait bien. Je ne dis pas que c'était une espèce de message par télépathie, ça ne ressemblait pas vraiment à ça, c'était plutôt : "Hé, c'est chouette ! Il a paniqué et je comprends la situation."
À ce moment les humanoïdes ont remballé tous leurs petits instruments, ont rembarqué dans leur vaisseau et sont partis presque sans aucun son. Il était là, posé au sol sur quatre pattes, avec des tampons au bout des pattes. Elles se sont rétractées dans le corps du vaisseau, qui était sphéroïde. Alors il s'est élevé verticalement. Je ne voyais aucun moyen de propulsion. Il y avait un léger bruit. Dur à dire si c'était seulement le vent qui soufflait par là ou quoi. Et puis ça a été comme une accélération instantanée de la vitesse.
À votre avis, le diamètre était de combien ?
Je dirais que c'était au minimum une quinzaine de mètres. Il était peut-être à
150 mètres de nous, c'est très difficile à dire. La surface reflétait. Vous regardez un truc et la jungle se reflète, alors c'est difficile de juger la taille. Je sais que c'était au moins aussi grand qu'un immeuble de cinq étages. Ce que je n'arrivais pas à comprendre c'était sa forme sphéroïde. Quel système de propulsion il faut pour ça ? Je n'en sais rien. Peut-être que c'est une propulsion anti-gravité, et alors tout se passe comme dans un fauteuil !
Est-ce qu'il était rond comme une balle ?
Rond comme une balle. Parfaitement rond, pour autant que je puisse dire. Il y avait un symbole sur le côté, avec ce qui selon moi ressemblait à de la peinture noire. Soit ça, ou alors il n'y avait pas de revêtement à cet endroit. C'était un simple symbole d'arc, presque comme une pyramide avec une ligne de dessinée dessous. ..
Source : http://homme-et-espace.over-blog.com/article-25168386.html