Témoignage du sergent-chef Dan Morris retraité de l' U.S. Air Force et Agent de la N.R.O.

par damino - 2175 vues - 0 com.
Alien, ovni, ufologie


Témoignage du sergent-chef Dan Morris retraité de l' U.S. Air Force et Agent de la N.R.O.


Après avoir quitté l’Air Force, il a été recruté par la très secrète "National Reconnaissance Organization", ou "NRO", époque pendant laquelle il a spécifiquement travaillé au sein d’opérations en lien avec la question extraterrestre. Il possédait un droit d’accès ultra-secret "cosmique" (38 catégories au-dessus de l’Ultra-secret") qu’aucun Président américain n’a à sa connaissance jamais eu. 

Un très gros témoignage.

Vous savez ce qu’est un centre cryptographique ? C’est l’endroit où sont envoyés tous les messages codés, et c’est ultra-secret. Ça ne veut bien sûr pas dire grand chose, "ultra-secret" - il y a en gros 38 catégories au-dessus de l "’ Ultra-secret". J’avais une autorisation d’accès qui était 38 catégories au-dessus de l’ "Ultra-secret", ce qui correspond à l’ultra-secret cosmique - c’est le summum de toutes ces autorisations d’accès. C’est pour [un travail concernant] les OVNIs et les extra-terrestres, etc. Aucun président n’a bénéficié de cette catégorie ; n’a jamais eu un droit d’accès de cette catégorie - c’est Eisenhower qui en a été le plus proche. Eh bien il y a plusieurs agences de renseignements - l’Armée de Terre en avait, l’Armée de l’Air en avait, la Marine en avait. Et après, il y avait plusieurs agences de renseignements secrètes. Une qui n’existait pas, tellement elle était secrète, c’était la NRO. Vous ne pouviez pas mentionner la NRO. C’est la "National Reconnaissance Organization". Si vous êtes dans cette catégorie, il y a alors une organisation qui est mondiale et qui s’appelle l" "ACIO", ce qui veut dire "Alien Contact Intelligence Organization"*. Si vous payez votre écot et que vous vous soumettez aux règles, votre gouvernement a le droit de bénéficier des informations de cette organisation. Maintenant, il y a des gens qui l’appellent "la frontière suprême"**. Les Renseignements de la Marine se qualifient parfois eux-mêmes de cette façon. Ils travaillent tous ensemble - les Renseignements de l’Armée de l’Air, les Renseignements de la Marine et la NRO - et à une certaine époque, ils étaient tous à un endroit particulier de la base aérienne de Langley, en Virginie. La plupart des interprètes de données** satellite étaient là-bas ; la plupart des interprètes des données des Renseignements de l’Armée de l’Air, de l’Armée de Terre et de la Marine étaient là-bas ; c’est là qu’ils travaillaient et qu’ils interprétaient les données.

 

[Voir le témoignage de Karl Wolfe. SG]

 

Maintenant Eisenhower voulait que quelqu’un dirige tout ça - il a essayé avec le Directeur de la CIA, mais ça n’a pas marché. La CIA travaillait essentiellement pour son compte. La plupart des Directeurs des Renseignements de ces services travaillaient pour leur compte. Alors il a dit : " Je veux qu’il soit indépendant ; je veux qu’il soit civil ; je veux qu’il ait certains de nos scientifiques les plus doués. " Il a par conséquent été mis en place, mais le nom de "NRO" a été gardé secret pendant des années. C’est autour de 1968 qu’il a vu le jour, de manière indépendante.

 

Avant ça, pendant la guerre, on avait l’OSS, l"’Office of Strategic Services", et c’était la plupart du temps des soldats qui étaient espions - vous savez, des hommes de certaines parties des forces armées qui avaient été formés par POSS. Je n’ai jamais espionné pour l’OSS. J’étais dans les Renseignements de l’Air Force, et un autre truc qui m’a donné un droit d’accès de haute sécurité, c’est que j’étais un courrier "CONRAD". Maintenant, si vous ne savez pas ce que courrier "CONRAD" signifie quelquefois, pendant les guerres déclarées et la guerre froide, vous voyiez le Président, et il y avait toujours un fonctionnaire militaire adjoint avec lui ? Eh bien, il transportait une petite sacoche. C’est là que se trouvaient les codes de guerre, et il pouvait déclarer la guerre - il recevait le code pour la journée, et c’était sous le contrôle de deux hommes, tout ce qu’il y avait entre les sous-marins et les bombardiers, en passant par les installations de lancements de missiles. Chaque arme nucléaire était contrôlée par le Président, par le biais de cette petite sacoche que transportait cet unique fonctionnaire à côté de lui. Par conséquent, ces codes étaient transportés en permanence par deux hommes. C’était transféré à tous les commandants sur le terrain, et ils volaient parfois sur des avions civils. Les types de la base - deux types - toujours armés, allaient au terrain d’aviation et retrouvaient les deux types qui étaient courriers "CONRAD", et ceux-ci leurs donnaient les codes. J’étais donc courrier "CONRAD" en 1948, 1949 [et] 1950. Ensuite, il y a eu la guerre de Corée, et je suis parti pour la Corée. Après que j’aie pris ma retraite de l’Air Force - j’ai été 22 ans dans l’Air Force - on m’a offert l’opportunité suivante : " Vous voulez aller travailler pour quelqu’un d’autre ? Avec vos droits d’accès, vous pourriez aller travailler pour quelqu’un d’autre. " Et j’ai dit : " Pour faire quoi ? " Et ils ont dit : " La même chose que ce vous faisiez dans l’Air Force, mais pour quelque chose qui n’existe pas. " Et j’ai dit " Et combien vous allez me payer ? " " On va bien vous payer. " [Ont-ils répondu], ça valait donc le coup - plus le fait que j’aimais ça, parce que j’apprenais des trucs. Dans l’Air Force, j’avais déjà découvert qu’il y avait des OVNIs et des extra-terrestres. Bien sûr, tout ça était alors complètement clandestin : vous aviez l’Opération "Blue Book", et deux ou trois autres opérations qui ont suivi "Blue Book" et ainsi de suite, qui étaient destinées à dissimuler tout ça. Personnellement, je n’ai jamais pensé que tout ça était juste, je gardais donc des trucs - des informations - secrets. Quand je travaillais avec ce génie qui a inventé le Transpondeur en Mode Six, il me parlait alors qu’on était en train de travailler tard le soir, et il a commencé à me parler de trucs qui étaient secrets et sur lesquels il était en train de travailler. Ensuite, il se reprenait parfois et disait : " Mais vous n’avez pas le droit de savoir tout ça, je ne peux par conséquent pas vous en parler. " Mais il le faisait, parce qu’on travaillait seuls et tout ça. J’ai donc appris de lui un tas de trucs qui étaient classés - ultra-secrets, cosmiques et ainsi de suite. L’Air Force m’appelait de manière régulière et me demandait : " Est-ce qu’il vous a déjà parlé de telle chose ? " Et je disais que oui, quand j’ai par conséquent pris ma retraite de l’Air Force, ils savaient que je savais un certain nombre de trucs de ce genre-là - c’est pour ça qu’ils m’ont offert d’aller travailler pour quelqu’un d’autre qui était également au courant - la NRO.

 

[Voir le témoignage de John Maynard. SG]

 

La "National Security Agency" - les tueurs travaillent làdedans. Ce sont les types qui, quand il devient nécessaire de régler un "problème", ils vont... Si vous avez vu des "James Bond", ce sont des agents "double 0", si vous voyez ce que je veux dire. Forestall, le Ministre la Défense, a été le premier personnage connu et réellement puissant à avoir été éliminé, parce qu’il allait révéler des informations - et personne n’a jamais payé pour ce crime ; il n’y a jamais eu d’enquête vraiment approfondie menée par les forces de police, pour voir ce qui lui était arrivé. La plupart des gens savent qu’il a été jeté par la fenêtre d’un hôpital - mais ce n’est pas le fait d’avoir été jeté par la fenêtre qui avait causé sa mort - mais il n’en est jamais sorti vivant...

 

Il y a d’autres gens qui ont été éliminés pour ce qu’ils savaient. L’un deux était un ami à moi, Phil Schneider, qui travaillait là-bas, au Nouveau Mexique, à construire les galeries souterraines - la plus grande à laquelle il avait participé, c’était l’installation souterraine de Dulce. Il était expert en explosifs, et quand il a tiré dans cette zone, ce n’était pas la nôtre - c’était un autre emplacement extra-terrestre. Ce qu’il est par conséquent naturel de faire - notre façon de répondre - c’est de tirer. C’est ce qu’on a fait, et ils ont tiré, et il a été touché par un laser à radiations, et c’est depuis ce jour-là qu’il portait une cicatrice qui allait directement de là à là. Quand il a commencé à être connu et qu’il parlait en public - révélant au public un tas de trucs qui étaient sur son ordinateur - ils étaient en passe de se débarrasser de lui, et il le savait. La dernière fois que je l’ai vu, il m’a dit comme ça : " Ça tu vois, je m’en fous, je souffre tellement - que s’ils se débarrassaient de moi, ce serait une véritable bénédiction. " Eh bien, ils se sont effectivement débarrassés de lui. Il se trouve que son colocataire était capitaine dans la police du Nevada, à Las Vegas, et tout ça serait passé comme une lettre à la poste s’il ne s’était pas agit de lui. Ils ont dit qu’il s’était suicidé. Eh bien, ce n’était pas le cas, et son colocataire est allé trouver le Coroner* et il a dit comme ça : " Venez avec moi en bas, je veux que vous regardiez ce corps. Vous allez examiner ce type encore une fois - regardez cette marque circulaire autour de son cou : ça a été fait avec une corde de piano - vous allez vérifier ça. Il ne pouvait pas rapprocher ses mains, et il ne pouvait pas lever les bras au-dessus de la tête depuis qu’il avait été touché par ce laser. Comment aurait-il pu se suicider ? " Eh bien, le Coroner a effectivement modifié son compte-rendu - que ce n’était pas un suicide, mais cela n’a jamais été modifié officiellement. Je sais que Phil adorait ce pays, et il pensait que ces programmes outrepassaient notre forme de gouvernement. La façon dont c’était mis en place, il y avait trop d’opérations opaques qui avaient lieu - et aucune d’elles n’avait l’approbation du Congrès.

 

[Voir le témoignage de Clifford Stone. SG]

 

Aucun Congrès n’a jamais voté à propos de la moindre de ces opérations opaques, et il pensait que le peuple américain avait le droit de savoir comment ils utilisaient son argent, et ce que nous étions capables de faire - et il a commencé à parler, et ils se sont alors débarrassés de lui. Toute cette opération consistant à révéler ça au public va probablement emporter encore d’autres gens. Mais moi-même -j’ai 73 ans et j’ai eu une belle existence et pas de regrets, et j’ai adoré ce pays, et j’ai été chrétien toute ma vie dès que j’ai eu à peu près 11 ans - par conséquent, je pense que Dieu veut que tout ça se sache, et je pense que le cosmos veut que tout ça se sache. Et je pense que si nous ne brisons pas ce secret... Nous allons faire beaucoup de tort aux gens de chez nous, à tenir tout ça aussi secret, et si nous ne le brisons pas nousmêmes, je pense que quelqu’un d’autre le fera - quelqu’un d’extérieur à cette planète. Je pense qu’un certains nombre des gens qui ont été avec nous ces cinquante dernières années vont briser ce secret. Je vais vous dire, quand j’étais en régiment au commandement du Groupe d’Expérimentation de l’Armée de l’Air en Floride, ils m’ont envoyé à la base aérienne de Warner Robbins avec une équipe, et avec les deux radars les plus puissants qu’on avait à l’époque. Et le SAC - c’était quand le SAC était tout le temps en alerte - allait effectuer des missions de pénétration contre nous. Les gens qui étaient là, c’était entièrement secret. Le commandant de la base savait que cette unité était là - et ils pensaient tout simplement - on nous avait fait passer pour un escadron météo, et on n’avait rien à voir avec la météo. Quoi qu’il en soit, on avait notre matériel installé à Warner Robbins, et on travaillait - on était là depuis à peu près un mois. Un jour on travaillait sur la grande tour ; elle était arrêtée pour cause de maintenance, et il y en avait cinq d’entre nous qui étaient dans la tour et deux types en bas dans la salle de contrôle. Quelqu’un a dit : " Regardez, des OVNIs ! " "Ouais, Ouais... " Je ne crois pas qu’il y ait eu la moindre personne à se retourner pour regarder. C’était l’époque de "Blue Book", et si vous disiez que vous aviez vu un OVNI, ils vous envoyaient à l’hôpital et vous étiez examiné par un psychiatre pour savoir pourquoi vous vouliez quitter l’Air Force. Ou ils vous expédiaient quelque part ailleurs pour vous faire taire. Ensuite J. Allen Hynek, qui a été conseiller technique pour "Rencontres rapprochées du troisième type" - il avait été officiellement engagé dans le cadre de l’Opération "Blue Book" pour faire taire tout le monde ; il débarquait avec un truc - soit L’autosuggestion, soit l’hypnose collective, soit des feux follets - c’était les trois affirmations avec lesquelles il débarquait habituellement. Par conséquent quelqu’un a dit "Retournez-vous juste et regardez ! " On s’est alors tous retournés et là - immobiles, je dirais à environ un demi-mille de la tour (900 m), et à environ 3000 pieds (900 m) d’altitude - il y avait trois OVNIs argentés. Il y a une photo de ça ici. On a tous été jusqu’au cordon de sécurité et on a dit : " Ouais, ce sont de vrais OVNIs. " Et j’ai dit : " O.K., et si Hynek venait par ici, qu’est-ce que vous allez dire ? S’ils envoient une équipe par ici, qu’est-ce qu’on va dire ? " Quelqu’un a dit : " Il y a environ 20.000 civils et environ 10.000 militaires sur cette base - il y a obligatoirement quelqu’un d’autre qui les a vus, alors quand ils disent que c’est de l’hypnose collective, de l’autosuggestion ou des feux follets - descendons mettre le radar en route, parce rien de tout ça ne s’affiche au radar. " Alors on est tous descendus. Maintenant les deux types qui étaient là, en bas - je leur [ai demandé] : " Vous avez vos appareils photo - vos appareils photo officiels de l’Air Force ? Allez dehors et prenez des photos ; allez dehors et dites-moi ce que vous voyez. " Ils sont revenus et ils ont dit : " Il y a des OVNIS immobiles en formation, là-dehors ! " J’ai dit : " Très bien, prenez des photos - récupérez vos appareils photo et prenez des photos. " Et j’ai dit aux deux autres " Allumez les appareils photo du radar. " Parce qu’on avait des appareils photo sur les radar qui prenaient également des photos. Par conséquent tout ça était là, et ce bâtiment où on était avait tout un côté qui était équipé de portes-fenêtres, si vous mettiez par conséquent le radar en marche, vous regardiez à l’extérieur et vous voyiez qu’il y avait bien trois OVNIs, alors j’ai appelé le quartier général. J’ai dit : " O.K., on a un contact. " Il dit : " Vous voulez dire que le SAC est en train d’effectuer une mission contre vous ? " J’ai dit : " Pas le SAC, pas le SAC. " Il dit : " Quoi, alors ? " Et j’ai dit " Le cosmos. " Il a dit : " Attendez une minute - décrivez-les par téléphone. " Il y avait une commande que vous pouviez actionner et qui brouillait tout, alors j’ai dit : " O.K., mon téléphone est brouillé ; est-ce que le vôtre est brouillé ? " " Le mien est brouillé " Il dit : " Qu’est-ce que vous voulez dire quand vous affirmez que vous avez un contact cosmique ? " J’ai dit : " Je veux dire qu’il y a trois OVNIs immobiles là-dehors. " " Vous prenez des photos ? " " On prend des photos. " " Vous prenez des photos radar ? " " On prend des photos radar - des vrais photos. " Il dit : " O.K., ne dites pas un mot de plus ; je vais envoyer un courrier là-bas ; il sera là dans à peu près six heures - vous lui remettez tout ce que vous avez. " Et j’ai dit O.K.. Environ six heures plus tard, il arrive ; on lui avait tout mis sous enveloppe ; on le lui a donné ; et il repart pour le commandement du Groupe d’Expérimentation de l’Armée de l’Air - et ils ne nous ont jamais avisés officiellement qu’ils avaient bien reçu ces photos. C’est devenu secret ; c’est devenu opaque - comme si ça n’était jamais arrivé. Mais j’avais des copies de ces photos, alors j’ai dit aux gars - aux cinq - je leur ai dit : " O.K. les gars, voilà une copie pour chacun d’entre vous. Gardez-les pour vos petits-enfants. " Maintenant, pour autant que j’en sache, cette mission a été arrêtée - mais ça nous avait tous intéressé, parce qu’on avait vu des faits, vous savez ? - pas du radar, pas des trucs codés - mais on était là, et on avait des photos d’eux. Quand ils ont commencé à bouger et que l’antenne radar s’est mise à tourner - le faisceau de votre radar tournait en effectuant quatre balayages par minute - le temps qu’on les "balaye", ils étaient hors de vue. Une fois qu’ils ont commencé à bouger, ils sont montés tout droit et ils ont fait : zap ! Et ils se sont retrouvés hors de notre portée. On avait une portée de 260 milles (480 km) ; alors quand vous faites le calcul, c’était plutôt rapide. Dans l’inventaire de ce qu’on avait, on n’a jamais retrouvé quoi que ce soit qui allait à une telle vitesse [ceci se passait dans les années 1940]. Vous savez pourquoi on a arrêté de faire exploser des armes nucléaires ? On a reçu l’ordre d’arrêter de la part de ces ETs d’Orion. Orion - ils sont descendus et ils nous ont dit : "Ecoutez, vous pourriez vous détruire vous-mêmes ; par conséquent, nous ne tolérerons pas ça. Si vous faites ça - si vous faites exploser cette planète - et vous en avez maintenant les capacités... " C’est à ce moment-là qu’on a vraiment attiré leur attention, et ils sont descendus et ils ont dit : "Ecoutez, nous ne vous laisserons pas détruire votre planète, par conséquent nous voulons que vous arrêtiez tous vos essais nucléaires. " Ils nous avaient déjà empêchés d’utiliser des armes et ils nous ont dit : " Plus d’essais nucléaires. " Maintenant la Russie et les Etats-Unis - on croyait alors fermement que ces gens-là étaient capables de faire ce qu’ils disaient. Et vous avez vu l’époque où ils se sont tous montrés au-dessus de Washington D.C., et on a lancé nos jets à leur poursuite, et à chaque fois que les jets décollaient, les OVNIs filaient hors de portée, où ils allaient dans une autre dimension. Les jets revenaient à la base, et les OVNIs revenaient au-dessus de Washington - en foutant sacrément la frousse à tout le monde à Washington - qu’est-ce qu’ils vont faire ?

 

[Voir le témoignage du Colonel Dedrickson, le fonctionnaire de ZAEC et de l ’Air Force (t. 1). SGJ

 

Ce qui s’est passé, c’est qu’on a découvert que les radars à grande puissance agissaient sur leur stabilité, parce qu’on pouvait voir les amplificateurs et les stabilisateurs descendre quand ils étaient bas et lents. Le radar avait un effet sur les OVNIs quand ils étaient bas et lents. On savait déjà ça : on le savait avant 1947, avant qu’ils descendent. Où étaient la plupart de nos radars ? White Sands, et en bas à Roswell. Qui était stationné à Roswell ? La seule escadrille au monde à avoir des bombes nucléaires. Par conséquent - ça les intéressait, et on avait un tas de radars là-bas, parce qu’on s’était mis à protéger tout ça du mieux qu’on pouvait. Eh bien on a concentré sur eux les faisceaux de plusieurs gros radars très puissants, et ça a provoqué la collision de deux d’entre eux. L’un deux est celui qui est tombé et qui a atterri dans le ranch ; l’autre était celui qui est tombé sur la berge, et il transportait deux extra-terrestres ; [ils étaient] allongés à l’extérieur quand on est arrivés là-bas. L’un d’eux était blessé ou assommé, et l’autre était vivant à ce moment-là mais il a décédé avant même qu’on ait pu l’amener à un endroit quelconque.

 

Mais l’autre [ET du deuxième crash] - a été gardé là-bas, à Los Alamos, pendant près de trois ans. Il est tombé malade. On a émis [des signaux] sur toutes les fréquences qu’on pouvait, qu’il était malade ; que ce n’était pas nous qui avions fait ça, qu’ils pouvaient venir le prendre s’ils le voulaient-mais il est mort avant qu’ils viennent là-bas. Ils sont venus et ont pris son corps, et c’est à ce moment-là qu’ils sont allés sur Washington et ont constitué cette formation au-dessus de Washington ; par conséquent, ils ont récupéré son corps. Une fois on en a abattu un, et on s’est fait sacrément engueuler pour ça. Mais que croyez-vous qu’on faisait avec toutes ces armes nucléaires qu’on avait, nous et les Russes ? On a envoyé des armes nucléaires dans l’espace pour constituer une ligne de défense - et on était près à les faire sauter s’ils commençaient. Quoi qu’il en soit je suis devenu un "E-9", sergent-major de l’Air Force, et j’y étais de 1947 à 1968, et j’avais un droit d’accès cosmique ultra-secret. C’est seulement pour les gens qui ont le droit de savoir en ce qui concerne les extraterrestres, les OVNIs et les contacts avec les extraterrestres. J’ai progressivement passé les étapes, comme je vous le disais avec mon poste de courrier "CONRAD" et les renseignements cryptographiques, et ainsi de suite. Ensuite, après le contact sur le site radar, c’était devenu indéniable - je savais qu’ils étaient là parce que j’avais ces photos... Je suis devenu membre d’un groupe qui devait enquêter et rassembler des informations, et au début, ça dépendait encore de "Blue Book", de "Snowbird" et de divers programmes clandestins. Je devais aller interroger des gens qui affirmaient qu’ils avaient vu quelque chose et essayer de les convaincre qu’ils n’avaient rien vu ou qu’ils avaient eu des hallucinations. Bien, si ça ne marchait pas, une autre équipe venait et ils faisaient toutes sortes de menaces. Et les menaçait eux et leurs familles, et ainsi de suite. Et ils étaient chargés de les discréditer et de les ridiculiser, et ainsi de suite. Maintenant si ça ne marchait pas, il y avait alors une autre équipe qui mettait fin au problème, d’une manière ou d’une autre. Quand cet événement-là s’est produit, il y a 24 hélicoptères noirs du "54-12" qui se sont assez vite ramenés - les équipes de gestion des rumeurs* - l’Air Force avait ces équipes de gestion dans le monde entier. "54-12", c’est leur nom de code. Maintenant, il fallait que vous interrogiez tous ces gens qui vivaient tout autour, parce que vous ne pouvez pas cacher 24 hélicoptères, alors voilà un exemple de ce que ça donnait : " Qu’est-ce que vous avez vu ; vous avez vu les triangles ? " -" Non. " -" Vous avez vu les hélicoptères ? " -" Oui, mais ils étaient tous noirs. " Etc. Et ainsi de suite - c’était par conséquent sur ce genre d’incident-là que j’enquêtais. Prenez les équipes de gestion - leur couverture était qu’elles s’occupaient d’engins nucléaires ou de détonateurs nucléaires, alors si on en perdait un, si on perdait un bombardier, si un hélicoptère s’écrasait, si on en transférait un d’un endroit à un autre, ... etc.

 

[Voir le témoignage de Clifford Stone qui était dans une équipe de ce genre, laquelle était mise en place sous la forme d’une équipe de gestion du NBC - nucléaire, biologique, chimique. SG] Par conséquent, on sortait délibérément des histoires bidons qui étaient ensuite discréditées. Information et désinformation vont leur train depuis 50 ans. On a besoin de l’aide de la plupart des gars qui ont signé des déclarations sous serment concernant la sécurité. C’est pour cette raison qu’il faut qu’il continue ce qu’il est en train de faire. Vous savez, le Dr. Greer - et qu’il nous sorte de là-dessous. Il faut que tout ça sorte.

 

L’Allemagne avait déjà récupéré des OVNIs avant - c’était en 1931, 1932 - et ils les ont ramenés en Allemagne et ont commencé - comme nous le faisons maintenant - à faire de la rétro-ingénierie. Ils ont lancé ça et avant même que la guerre commence, ils avaient un OVNI qui fonctionnait. Ils lui donnaient le nom de - maintenant je ne saurais pas le prononcer exactement comme un Allemand - mais c’était les "Heun-di-dou"* [transcr. phon.] Un et Deux. Le Deux est celui que vous voyez et qui fait environ trente à quarante pieds (9 à 12 m) de diamètre, avec trois sphères qui pendent en dessous, qui montent et qui descendent quand ils atterrissent - quand ils rebondissent à l’atterrissage. Alors à l’époque, les "Foo Fighters" n’avaient personne à bord - ceux-là c’était des engins sans équipage, mais ils avaient un moyen de propulsion qui faisait qu’ils pouvaient rester directement à la hauteur des boucliers de protection latéraux des pilotes de chasseurs, et il lui était impossible de faire quoi que ce soit pour l’esquiver - ça lui était impossible ; il restait directement là. Maintenant le truc, c’est qu’il pouvait voler à travers nos formations et flinguer votre moteur, ça peut arrêter des blocs moteurs, parce que ça utilise une propulsion électromagnétique à antigravité. On a par conséquent commencés à être confrontés à ça dans les formations de bombardiers. Et les chasseurs - il leur était impossible de faire quoi que ce soit pour s’en débarrasser. On a des tas de films - des films documentaires - qui montrent ça dans les archives. Et ensuite, on a encore eu toute une tripotée de trucs des Allemands après la guerre, parce qu’on a ramené - pas seulement von Braun - mais on a ramené Schauberger jusqu’ici, et un certain nombre de gens de l’électromagnétique de chez eux qui travaillaient sur les OVNIs. Il nous a donné une sacrée avance sur tous les autres. Les Russes ont également pris des gens, mais on avait les plus importants. Schauberger était ici au Nouveau Mexique, et il nous a aidé à White Sands et à d’autres endroits dans le coin du Nouveau Mexique. Ensuite il a senti qu’on l’avait trompé et il est rentré chez lui, et deux semaines après qu’il soit rentré chez lui, il a été assassiné. Les OVNIs sont à la fois extraterrestres et de la main de l’homme. Les gars qui faisaient les OVNIs - on peut dire qu’ils ne roupillaient pas - et Townsend Brown était un de nos gars qui était presque aussi fort que les Allemands. Par conséquent on a eu un problème - il fallait qu’on garde le secret au sujet de Townsend Brown - de ce qu’il faisait à propos de l’antigravité, de la propulsion électromagnétique. Même si on remonte à l’époque de Tesla, on avait de l’énergie libre qu’on pouvait transférer. Tout ce que vous aviez à faire c’était de dresser une antenne et de planter un piquet dans le sol, et vous pouviez éclairer cette maison et avoir toute l’énergie qu’il vous fallait.

 

Mais à quoi tournons-nous ? Tout le siècle dernier, on a tourné au pétrole. Qui contrôle le pétrole dans le monde ? Un tas de gens croient que c’est l’Irak, l’Iran et ainsi de suite. Ce n’est pas eux. C’est nous qui le contrôlons - nous et les intérêts britanniques. Un certain nombre de gens font référence à ça comme étant le gouvernement secret : un groupe d’hommes les plus riches du monde contrôle le pétrole. Vous n’avez pas besoin de voiture sauf si vous avez un moteur à combustion interne. Eh bien si vous disposez d’une de ces unités qui fait environ quarante centimètres de long sur vingt centimètres de large et vingt-cinq centimètres de profondeur, vous n’avez plus besoin de vous brancher sur le réseau électrique local. Ces dispositifs ne consomment rien - pas de pollution ; ça ne s’use jamais parce qu’il n’y a pas de parties mobiles - ce qui bouge, ce sont les électrons au sein du champ magnétique ; du champ électronique ; et ils tournent dans des directions opposées, O.K. ? Vous en mettez un dans une voiture - et la voiture rouillera et tombera en morceaux tout autour de lui avant même qu’il soit usé. Par conséquent, qu’est-ce que tout ça va bien pouvoir faire à une économie mondiale qui tourne au pétrole ? Par conséquent, ce n’est pas que notre gouvernement et le reste du monde ne veuillent pas que nous sachions qu’il y a d’autres gens sur d’autres planètes qui existent depuis des milliers d’années. Ce que les gens en ce moment même au pouvoir ne veulent pas que nous sachions, c’est que cette énergie libre est disponible pour tous. Toyota a une voiture qui marche à ça ; Ford en a produit une qui marche à ça. Maintenant Toyota va probablement lâcher le morceau là-dessus et le faire passer ici - soit en 2001, soit en 2002 - parce qu’ils paient le pétrole au prix fort, et d’ici peu de temps on va nous aussi le payer au prix fort. Quand les gens seront au courant de cette connaissance, ils vont demander à notre gouvernement de rendre cette technologie publique, et ça va changer le monde. C’est ce secret plus important qu’ils veulent garder - par conséquent les OVNIs sont secrets à cause de la question de l’énergie. Le peuple américain est plus fort que ce que veut bien en dire le gouvernement, et je crois beaucoup à ça ; je suis arrivé à cette conclusion par moi-même - que le peuple américain se trouve en position de connaître la vérité, et il faudrait qu’il sache la vérité, et c’est une des raisons pour lesquelles je suis là. Je veux qu’ils sachent qu’ils peuvent espérer une existence meilleure. Eh bien, à la vérité, les premières photographies de la Zone 51 que j’ai vues venaient de Russie. Ce sont les Russes qui ont dit à tout le monde qu’il y avait un truc de ce genre dans la Zone 51 ; ils ont révélé leurs images satellite à ce sujet - par conséquent, on a finalement dû admettre qu’il y avait un truc de ce genre dans la Zone 51. J’ai également vu des photos d’autopsie d’extraterrestre qui venaient de Russie. Vous avez vu ce qu’on a dit être l’autopsie d’un extraterrestre à la TV ? Ils avaient des coussinets sur leurs doigts - des ventouses, ça ressemblait vraiment à ça. Il y avait des organes de ces extraterrestres qu’ils étaient incapables d’expliquer. Maintenant, j’ai vu des trucs qui définissent ceux qu’on a autopsiés - qu’ils ne peuvent pas se reproduire ; ils ont physiquement perdu ça.

 

[Voir le témoignage du colonel Corso qui affirme que ces créatures étaient des clones produits par les premiers ETs. SGJ

 

Vous savez, le gouvernement sud-africain admet qu’ils ont récupéré un engin ET. Ils n’ont pas hésité à le dire. Ils ont diffusé un documentaire où il y a un sergent de police qui dit qu’ils en ont récupéré un - il montre même des images de la récupération et ainsi de suite. Maintenant, ce que j’ai lu, c’est qu’il y a eu un accord passé entre notre gouvernement et eux - que nous ne dirions rien au sujet de la mise au point et de l’utilisation de leur première arme nucléaire ; que si nous ne pouvions pas leur apporter notre soutien aux Nations Unies ; que nous garderions le silence - et qu’ils nous donneraient ce vaisseau. Et on a convenu de ça ; et eux aussi. On a envoyé un "C-5A Galaxy" là-bas et on a ramené le vaisseau, et en même temps les deux extraterrestres qu’ils en avaient retirés. Tout ça est allé à la base aérienne de Wright Pat’ à Dayton, dans l’Ohio, où on envoyait habituellement la plupart des choses qu’on récupérait. Ils sont à environ huit niveaux sous terre, et c’est là qu’on stocke tout ça. Par conséquent, qui est maintenant notre ennemi ? Certains aimeraient nous faire croire, et voudrait faire naître l’idée que ce sont maintenant les extraterrestres qui sont nos ennemis. Je n’ai jamais trouvé aucune preuve dans quelque document officiel que ce soit - à moins qu’ils aient été attaqués - qu’ils aient jamais tiré. Il y a un exemple que je vais vous citer à propos de l’implication des Russes : ça concernait un amiral russe qui avait un fils qui était pilote de MIG dans l’Armée de l’Air. On avait un F-18 là-haut dans l’Alaska, et les Russes faisaient sortir leurs "Badgers" et leur "Beavers" ; ils faisaient sortir leurs MIG ; par conséquent, la 21 e Escadrille de Chasse d’Alaska - ils ont décollé et ils les ont interceptés, et ils étaient tous armés. Heureusement personne n’a tiré. Alors notre contrôleur a vu - au moment où ces MIG posaient des problèmes - qu’il y avait un autre vaisseau qui arrivait, et notre contrôleur entendait les Russes qui disaient : " Interceptez ce vaisseau. " Ils le qualifiaient de "vaisseau" - ce n’était pas quelque chose que nous connaissions ou que les Russes connaissaient. Par conséquent, les deux MIG ont débuté leur manceuvre d’interception. Notre contrôleur a dit au gars de chez nous : " Ecartez-vous de là ; restez en vue, mais n’essayez pas d’intercepter ce vaisseau ! " Alors, au moment où les Russes ont actionné leurs armes, en prenant l’OVNI pour cible - les missiles ont tous les deux été détruits, tout simplement comme ça - l’un après l’autre. Le gars de chez nous ne s’est pas fait tirer dessus, et il est revenu à la base. C’était un général russe "deux étoiles" qui racontait cette histoire, et ils ont également interviewé l’amiral dont le fils lui avait raconté cette histoire. Ainsi, les Russes ont intercepté un de ces OVNIs, et quelqu’un leur a dit de faire feu sur lui. Mais il y a immédiatement eu un contrordre à ça - mais avant qu’ils aient pu annuler cet ordre - le type en question avait déjà lâché son missile. Et il a immédiatement été détruit - si près de l’auteur du missile, que le MIG qui avait lancé le missile a été endommagé. Je pense que les extraterrestres sont conscients que nous sommes en train de construire des armes dirigées contre eux. Maintenant je vais vous dire, on a effectivement une Défense ; on est capable d’en abattre quelques-uns. On a acquis cette capacité. Eisenhower a mis le public américain en garde : " Ne laissez pas les producteurs d’armement de l’armée et de l’industrie infiltrer le pouvoir. " Il a toujours eu peur de ça, et si vous regardez son dernier discours, il a dit ça au public. Ne les laissez pas devenir trop puissants. Alors on ferait mieux de se réveiller. On a essayé d’abattre plusieurs OVNIs - et on a réussi - on en a fait s’écraser un à White Sands, au Nouveau Mexique. A l’époque, on a suivi sa trajectoire et on a réussi à l’endommager suffisamment pour qu’il s’écrase.

Et, oui, il y avait des extraterrestres dedans ; et, oui, ont les a pris. Ça se passait en 1968 ou 1969, à peu près à la même époque où les Sud-Africains ont fait ça. Je voudrais juste dire que les Allemands sont vraiment beaucoup plus libres que nous ne le sommes. En Allemagne, en France et en Espagne, ils ont admis tout ça. En Australie, ils ont admis tout un tas de choses, et en Afrique du Sud ils l’exposent aux yeux du monde entier.

Alors qu’est-ce qu’on est en train de faire ? La Russie ne représente plus une menace pour nous, mais si nous continuons à tirer sur ces extraterrestres, ce sont eux qui pourrait représenter une menace. On devrait arrêter avec ça. On devrait avec ça. On devrait demander à ce que notre gouvernement vesse d’abattre ces extraterrestres. On devrait coopérer.

Source : http://www.divulgation-extraterrestre.org/t%C3%A9moignages-militaires-civils/dan-morris-sergent-chef/

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