OVNI : une rencontre très rapprochée en 1979.
Voici une intéressante observation, faite en 1979 en Californie, d'un engin discoïdal :
Dirk Vander Ploeg est le fondateur et éditeur de ‘‘UfoDigest.com’’. Il a reçu et publié un rapport de Ed et Gloria Towers. L’observation d'un OVNI par ce couple date du 13 juillet 1979, alors qu'ils habitaient Santa Clarita Valley, en Californie.
Dirk Vander Ploeg :
« Ce cas me semble exceptionnel parce que les témoins ont fourni de nombreux détails et quelques dessins de l'objet, qui s'est trouvé très près au-dessus de leurs têtes. A cette époque nous n'avions pas encore d'appareils numériques ni de téléphones portables avec caméra.
Il était 22 h quand il ont vu cet engin discoïdal d'un diamètre d'environ 25 à 30 mètres, et ils ont estimé son altitude à 15-25m. Il était de couleur blanc argenté, d'apparence métallique. L'évènement avait duré environ 45 secondes. »
Ed Towers lui a écrit ceci :
« C'était une chaude soirée d'été. J'étais occupé à nettoyer la piscine afin que les enfants puissent en profiter le lendemain. J'étais monté sur une plateforme d'environ un mètre de haut pour manier le long manche du râteau, et en le remontant j'ai aperçu un objet dans le ciel qui venait de l'ouest en direction de la maison ; il suivait une trajectoire vers le sud-est. J'ai tout de suite constaté que ce n'était pas un hélicoptère ni un avion.
Il était aplati et assez étendu, avec des lumières en cercle vers l'avant. J'ai couru vers la maison et j'ai appelé ma famille, mais seule ma femme est sortie me rejoindre. L'objet était alors à la verticale de la maison et de la piscine, à 15-25 m au-dessus de nous. Il ne faisait aucun bruit et il s'est maintenu stationnaire pendant environ 40 secondes. Il avait seulement oscillé légèrement, puis il s'est incliné.
J'en avais déduit qu'il prenait acte de notre présence. Durant toute la scène nous sommes resté figés en ne parvenant pas à réaliser ce qui se passait. C'est une sensation étrange de réaliser qu'on regarde une chose qui n'est pas censée exister et n'est pas d'ici. Imaginez un autocar volant au-dessus de votre maison ! »
Ed a décrit de petits hublots et des lumières placées autour du dôme supérieur. L'objet était métallique et brillant. Il semblait fait d'une seule pièce, sans soudures apparentes. La partie inférieure de l'objet était de forme concave vers le centre, qui était encadré de deux formes rectangulaires de la même longueur que ce renflement. Ces formes rectangulaires devaient faire environ 3 mètres de large.
« J'ai également remarqué des sortes de skis vers l'avant et de chaque côté du rebord du hublot situé vers l'avant. Mon attention avait été attirée par le fait que ces dispositifs n'étaient pas au "centre de gravité" de l'engin, mais vers l'avant. Les skis étaient en forme de S, pointant vers l'avant, mais d'une manière que je ne saurais représenter.
Lorsque l'engin s'était incliné nous avions pu voir une sorte de fenêtre, comme un cockpit vitré situé en dessous. Il se trouvait placé sous le rebord frontal.
Cette fenêtre rectangulaire devait faire 1,20 m de haut sur 4 ou 5 m de large. Une lumière orangée et bleutée émanait de l'intérieur, mais nous ne pouvions distinguer ni pilote ni machine à l'intérieur.
Il est resté incliné vers l'avant pendant une dizaine de secondes. Nous avions tous les deux la sensation d'être observés. A ce moment-là j'ai remarqué qu'une lumière émanait de la partie supérieure, qui n'était pas dirigée vers la piscine.
Il m'avait semblé qu'il irradiait sa propre lumière par son enveloppe. Les premières lumières qui avaient d'abord attiré mon attention étaient dirigées vers l'avant, et elles venaient de la partie inférieure de l'engin.
Ma femme et moi ne nous sommes pas parlés pendant cette expérience, mais elle n'avait cessé de se répéter "Oh mon Dieu !". L'engin s'est ensuite éloigné tranquillement à 50 ou 60km/h. J'ai sauté sur un muret d'enceinte pour continuer à l'observer s'éloigner d'une dizaine de kilomètres. J'ai demandé à ma femme de garder le silence tant que nous n'aurions pas chacun dessiné ce que nous avions vu, afin de pouvoir comparer.
Nos croquis coïncidaient, sauf que les miens étaient plus détaillés. »
Ed Towers a travaillé pour une compagnie qui produit des systèmes de propulsion ; il a ensuite dirigé plusieurs sociétés informatiques. Il a ajouté :
« J'ai vu de très près un engin très concret, extrêmement bien profilé. Mon bagage d'ingénieur aéronautique me permet d'affirmer que les humains ne maîtrisent pas ce genre de technologie. »
Ed et Gloria Towers résident maintenant à Oceanside, en Californie. Ed a co-fondé une société de conseil en entreprises qui traite avec d'importantes sociétés européennes, et un cabinet spécialisé dans l'immobilier. Il est aujourd'hui retraité.
Mise à jour du 20 septembre 2009 :
« J'ai oublié de vous dire que j'avais contacté le SETI l'année suivante, et nous avions fini par nous accrocher parce que j'avais affaire à une personne qui occupait de hautes fonctions. Elle n'avait cessé de nier la possibilité que la Terre puisse être visitée.
Elle m'avait semblé surtout préoccupée d'empiler des rapports sans aucune ouverture d'esprit ou curiosité scientifique. Elle s'était comportée comme un agent du gouvernement, essayant de me convaincre que c'était impossible. J'avais trouvé cette attitude particulièrement choquante.
J'ai eu d'autres entretiens, avec un chercheur de la NASA qui faisait des études sur l'automatisation des aéroports, du moins c'est ce qu'il m'avait dit.
Nous avons eu plusieurs conversations au téléphone et des échanges par email. C'est lui qui m'avait téléphoné, et je l'avais rappelé pour vérifier qu'il travaillait bien à la NASA. Il était vivement intéressé par notre témoignage et m'avait posé toutes sortes de questions sur les caractéristiques de l'engin.
J'ai lu beaucoup de témoignages, et je pense que peu de gens se sont trouvés comme nous aussi près d'un engin. - Sincèrement, Ed Towers »
Ed Towers a précisé ceci par email :
« Cela ne me dérangeait pas de publier mon identité à l'époque, parce que je pense que trop de gens hésitent à parler ou craignent le ridicule. Ce n'est pas notre cas. Cette observation nous a convaincus que le gouvernement cache la vérité. Les autorités doivent redouter des mouvements de panique et l'impact de cette réalité sur notre société. »
Source : http://www.mondenouveau.fr/index.php?option=com_content&task=view&id=173&Itemid=50